L Autodafé

qui décrit un paradis utopique où les habitants n’ont pas la valeur de l’argent et sont très heureux. F comme FEU : Le feu fait référence à un moment dans le livre où après un tremblement de terre à Lisbonne les sages du pays décident de donner un autodafé (mot synonyme d’exécution par le feu). G comme GUERRE : La guerre est omniprésente dans ce conte aussi bien avec des ennemis que des jadis amis (le frère de Cunégonde) H comme Héros : Candide est le personnage principale de l’histoire et le conte

captivité et la torture. A l’arrière-plan, des silhouettes d’hommes se tuent en cascade. (une guerre en entraîne une autre). Référence a la guerre : Les armes (lance, javelot, faux, glaive, le poignard ensanglanté, au centre), le bouclier, le char, autodafé. Le personnage démoniaque semble porter sur son dos un filet contenant des cadavres (associés à la fumée, ces corps décharnés ne sont pas sans évoquer les camps d’extermination. Et dans sa main, il tient un écu dont des figures horribles (insectes

inspiré de l'harmonie écologique et du refus de production (comme dans des sociétés primitives). Lorsqu'un parti totalitaire prend le pouvoir dans un pays, il élimine toutes les représentations du monde concurrentes - du moins il s'y acharne - Les autodafés du IIIème Reich (qui détruisirent des millions de pages de littérature qui résistaient à l'idéologie nazie) ainsi que l'exposition des arts dit " dégénérés " participent de cette volonté de mise au pas de la pensée par l'embrigadement de la culture

Voltaire dénonce l'Opt philo ds le fait que les méchants (le marin) soient récompensés alors que les bons (Jacques) meurent. Chap 6: Autodafé (cérémonie où hérétiques=condamnés) pour empêcher tremblements de terres. Fanatisme religieux. L’inquisition (tribunal religieux pour la répress°, les crimes de pas croyants, les faits de sorcellerie et de magie) org un autodafé pour demander pardon à dieu : Candide fessé/Pangloss pendu/autres brulés. Nouv tremblement de terre, Candide se lamante. Rencontre

justice (balance sur sa lance). En face de lui, l’autre homme est démoniaque et nu. Il est sur un char tiré par des chevaux noirs. Il porte un sac avec des cadavres dedans et a un couteau ensanglanté. On voit aussi, en bas, un livre en feu, c’est un autodafé (cérémonie où l’on brûle les livres interdits par le régime nazi). * Au 2e plan, il y a des silhouettes d’hommes qui se battent et qui s’entretuent. Le personnage qui représente la justice est de couleur chair tandis que les personnages du

même sort et parviennent à la ville portugaise. A leur arrivée, un violent tremblement de terre se produit. Les deux compères sont saisis et déférés à l’Inquisition pour propos subversifs. Pangloss est pendu et Candide flagellé, à l’occasion d’un autodafé censé empêcher la terre de trembler de nouveau (IV-VI). Une vieille dame recueille le jeune homme et le soigne. Elle lui présente une belle jeune femme qui n’est autre que Cunégonde. Elle confirme à Candide qu’elle a été violée, puis éventrée. Sa

spectacle enseignant = didactique 1. L’ironie, la dénonciation - Voltaire décrit ce spectacle comme légitime, mais il n’y croit pas, il dit le contraire de ce qu’il pense, pour montrer l’absurdité de ce jugement au lecteur. • Oxymore « bel autodafé » = spectacle de la cruauté. • Euphémisme « quelques personnes brûlées à petit feu » = dire moins pour suggérer l’horreur de tuer des personnes sans raison valable, comme si elles étaient « cuites à feu doux ». • Association de la violence

Cunégonde. Il est enrôlé dans l’armée Bulgare. Après avoir assisté à une bataille il s’enfuit en Hollande où il fait la connaissance de l’anabaptiste Jacques puis retrouve Pangloss. Ils partent pour Lisbonne et Jacques meurt dans une tempête. Un autodafé a lieu pour empêcher la terre de trembler à Lisbonne. Pangloss est pendu. Une vieille femme emmène Candide chez elle ; il y retrouve Cunégonde. Candide, Cunégonde et la vieille s’enfuient à Cadix, d’où ils embarquent pour le Paraguay. Les trois personnes

les affiches, la presse, la radio sont des mayens de diffusion de ce culte de la personnalité. La culture est contrôlée car on interdit certains livres (communiste ou écrit par des juifs) qui, parfois, sont brûlés en place publiques (autodafés). Enfin, le régime nazi est raciste et plus particulièrement antisémite, il considère qu’il y a des races inférieures à d’autres et que les juifs en font partie. La race la plus supérieure est la race aryenne. Les juifs sont

devient rapidement un best-seller et est suivi par d'autres romans de la même veine : Après, Trois camarades, etc. L'auteur, pourchassé dès 1930 par les nazis – qui l'accusent d'être juif – émigre en Suisse, puis aux États-Unis ; son livre subit un autodafé nazi le 10 mai 1933[2]. Le roman[modifier]Paul Bäumer est un jeune Allemand de 19 ans. Après avoir été soumis à un bourrage de crâne patriotique par leur professeur, Kantorek, tous ses camarades de classe et lui-même s'engagent volontairement