L Aîné Des Orphelins

des biens, de la famille, des successions, sauf droit du mariage, droit des contrats). On commence déjà à distinguer de grands groupes de coutumes par exemple il y-a des coutumes qui décident de transmettre tous les biens à un seul individu : le fils aîné. Il y-a d'autres coutumes qui décident de partager les biens à égalité entre tous les enfants. Par delà ces grands groupes, il y-a même parfois des notions que l'on retrouve dans toutes les coutumes. Ex:notion de SAISINE (notion qui remplace la propriété

du corps du Christ, l’unité du peuple chrétien. Elle perçoit que si on divise cette unité ce sera le retour des luttes entre les royaumes comme aux temps mérovingiens. En effet l’ordinatio imperii prévoit qu’à la mort de Louis le Pieu, son fils aîné, Lothaire en l’occurence, sera seul à lui succéder en tant qu’empereur. En guise de compensation pour les cadets, Pépin et Louis, il est prévu que chacun aurait le titre de roi et un territoire à savoir l’Aquitaine pour Pépin et la Bavière pour

pour cela que la Bible dit : « Oriente le jeune garçon sur la voie qu'il doit suivre ; même quand il sera vieux, il ne s'en écartera pas. » Vous conviendrez que la personne la plus chère et la plus proche, pour un cœur d'enfant, est sa mère. Un orphelin est un enfant infortuné, bien plus exposé aux attaques du diable qu'un enfant qui a ses parents. Une maman assure la « protection » du corps et de l'âme, mais c'est une double tragédie lorsqu'un enfant perd ses deux parents, et encore plus lorsque

centrales et locales. L'administration centrale est composé de deux sortes de conseillers : d'une part la mesnie royale et d'autre part la « curia regis ». La mesnie c'est la famille royale au sein de laquelle deux personnages émergent d'une part le fils ainé (celui qui va accéder au trône) et d'autre part la reine. On trouve également dans cette mesnie les grands officiers qui ont à la fois des fonctions gouvernementales et domestiques. La « curia regis », la cour du roi est dominée par des grands féodaux

convaincre celui qui sentait «l’instinct du pays» se réveiller en lui à renoncer au désir de venger son père. Chapitre 5  Colomba, soeur d'Orso, jeune écuyère sombre, farouche et virile, mais à la beauté remarquable, survient pour rencontrer son frère aîné, qui a du mal à la reconnaître. Elle intrigue Lydia par l’orgueil familial et la tristesse qu’elle sent en elle. Elle montre une vive émotion à la lecture de l’épisode de Francesca da Rimini dans ‘’L’enfer’’ de Dante, et en improvisant un «vocero»

boulevard Saint-Germain). Appartenant à une famille de toute petite noblesse, il était le fils du vicomte Victor-Donatien de Musset-Pathay, chef de bureau au ministère de la guerre, et d’Edmée-Claudette-Christine Guyot-Desherbiers. Il avait un frère aîné, Paul, et une jeune sœur, Charlotte-Amélie-Hermine. Un premier enfant, Louise-Jenny, née en 1802, était morte en 1805, et en 1814, allait naître Oscar, qui allait décéder en 1818. Enfant nerveux, à I'intelligence précoce, Alfred fut aimé et protégé

«Son roman» (p.24) se résume en un peu plus d'une page. Après une brève passion pour un poitrinaire, le comte de Moréas, qui mourut subitement, elle se dévoua au Christ, lui offrant un amour chaste et immortel et à la tutelle de sa nièce, devenue orpheline à la mort de son père, Jean de Vénérande tout en se préparant à son entrée au couvent dès que celle-ci se sera mariée. Elle est décrite comme dévote (p.24), et sa chambre, totalement nue et grise acier, «désolant le regard» (p.23), nous suggère une

Il s'impose comme un arbitre. En principe, ce pouvoir est exercé sur l'ensemble des sujets du royaume, on parle d'un Mundium général. Dans la pratique, certains individus seront plus protégés que d'autres, parmi eux, on retrouve les veuves, les orphelins mais aussi les Clercs. Les autres personnes peuvent réclamer la protection du roi, mais en général les autres préfèrent se faire justice eux même. On retrouve alors les guerres privées. Le ban c'est le pouvoir de commander. Le roi a donc le pouvoir

travaillais pas. Je ne voulais pas qu'il soit gardé à temps plein, je n'en voyais pas l'intérêt. Je m'étais mise en tête qu'il fallait qu'il se socialise. Donc en fait je les fais garder au départ dans une crèche sur PERPIGNAN, c'était la crèche des orphelins d'Auteuil. Voilà. M. : D'accord. S. : C'est la fondation d'Auteuil et il était gardé quelque chose comme deux matinées par semaine, il n'avait pas la possibilité d'accueillir pour un enfant ( pendant le repas ) . En fait il fallait le récupérer

boulevard Saint-Germain). Appartenant à une famille de toute petite noblesse, il était le fils du vicomte Victor-Donatien de Musset-Pathay, chef de bureau au ministère de la guerre, et d’Edmée-Claudette-Christine Guyot-Desherbiers. Il avait un frère aîné, Paul, et une jeune sœur, Charlotte-Amélie-Hermine. Un premier enfant, Louise-Jenny, née en 1802, était morte en 1805, et en 1814, allait naître Oscar, qui allait décéder en 1818. Enfant nerveux, à I'intelligence précoce, Alfred fut aimé et protégé