L Economie Agricole Et Industrielle De La Cedeao

Ici c’est la vrai croissance des exportations y’a pas le pb de l’inflation. (car on évalue la croissance en volume) Echanges multipliés par 15 entre 70 et 2005 alors que prod mondiale multipliée par 6. b) Extraversion croissante des économie. Se mesure à l’aide de plusieurs ratios. Import/ Prod => Degré de dép. d’un pays Import d’NRJ/ à conso d’un pays France imp. 40 % des autos => Aspect de l’extraversion ( ↑ de ce qu’on importe) Ou taux de pénétration.(voir

de 1960 à 1972 : c’est la période d’économie libérale de développement, de mise en place de l’appareil de production surtout dans le domaine agro-industriel (base sur le palmier à huile) et aussi dans l’équipement des grandes villes, centres de transactions internationales. le développement des villes, bénéficiaires de ces infrastructures industrielles, commerciales et socio-administratives, comme Cotonou, prend un essor assez remarquable, du fait de l’arrivée massive de ruraux en quête d’emploi

européennes (carte 1), mais elle bouleverse en profondeur l’organisation traditionnelle des sociétés africaines. Parallèlement, le partage du continent permet aux puissances coloniales de construire une économie de rente. Bien que marquée par un déséquilibre au profit des métropoles, cette économie permet des progrès dans de nombreux domaines. En 1876, le roi des Belges, Léopold II, fonde une association internationale africaine dans le but d’explorer le continent. Les missions d’explorations

ressortir les différences pouvant exister d’un pays à l’autre. Nous nous intéresserons également aux effets de la politique d’intégration économique et politique régionale dans les domaines de l’éducation et des langues dans la sous-région (UMEOA, CEDEAO, OHADA, Conseil de l’Entente, CILS& LIPTAKO-Gurma, etc). 4 _-.- .~.._ _ Methodologie, definitions et cadre Planijication et politiques linguistiques danscertains pays selectionnes d’afrique de l’ouest 6 Methodologie, dejînitions

........................................................................................ 32 Annexe 1 : Productions, superficies, rendements du café et du cacao 1960-1996.............................................. 34 Annexe 2 : la production industrielle depuis 1994 ............................................................................................. 35 2. LA STABILISATION MACRO-ECONOMIQUE OU LE ROCHER DE SISYPHE ............... 36 2.1. Avant la dévaluation, des efforts de stabilisation

(2008) | Coefficient de Gini | 41,3 (1995) | Cette stabilité fait du Sénégal, la troisième économie de la sous-région ouest-africaine après le Nigéria et la Côte d'Ivoire et est l’un des pays africains les plus industrialisés avec la présence de multinationales qui sont majoritairement d'origine française et dans une moindre mesure d’autres nationalités telles que américaine, marocaine…… Son économie est principalement tournée vers l'Europe et l'Inde. Ses principaux partenaires économiques sont

son indépendance en 1960, la Côte d’Ivoire a opté pour le libéralisme économique basé sur l’initiative privée et l’ouverture sur l’extérieur pour le développement de son économie et les échanges de biens et services. 2.A cette époque, le potentiel économique de la Côte d’Ivoire reposait essentiellement sur quelques produits agricoles de base, notamment le café, le cacao et le bois qui étaient exportés presque exclusivement à l’état brut. 3.Malgré le choix de l’économie libérale, la Côte d’Ivoire a opté

La ville de Saint-Louis devient capitale de l'Afrique-Occidentale française puis ce sera la ville de Dakar en 1902 laquelle deviendra ensuite la capitale de la république sénégalaise au moment de l'indépendance en 1960. Le pays fait partie de la CEDEAO. Depuis le 2 avril 2012, le président du pays est Macky Sall. Intégré aux principales instances de la communauté internationale, le Sénégal fait également partie de l'Union africaine (UA) et de la Communauté des États sahélo-sahariens. Sommaire

économique le rôle de pivot. Le libéralisme économique accentue davantage la nécessité d’avoir une économie compétitive et capable d’affronter les multiples soubresauts qu’il engendre. Une telle économie est inconcevable sans une monnaie forte et compétitive sur la scène internationale. Vu l’état actuel des économies africaines, seule une monnaie unique englobant le maximum des pays, dans une union aux économies homogènes, peut concourir à la réalisation d’une monnaie africaine forte. Comment mettre en

................................................................................... 32 2.3.1.5.4. Hydraulique agricole .................................................................................................... 32 2.3.1.5.5. Sécurité alimentaire..................................................................................................... 33 2.3.1.6. Déploiement industriel et transformation agroalimentaire ............................................. 34 2.3.1.7. Mines et carrières