L Embellie De 1936

entre 1929 à 1936), se révèlent impuissants et favorisent ainsi la montée de l’antiparlementarisme et la montée des Ligues. C’est dans ce contexte de crise multiple, après les événements du 06 février 1934, que les partis de gauche (Parti radical, SFIO et SFIC) y voyant une tentative de coup d’état fasciste, s’accordent puis s’unissent en 1935 pour donner naissance à ce qu’ils définiront comme « le Front populaire ». Caricatures de Robert Fuzier parues dans Le Populaire, en 1936. Titre

tentative de coup d’état et forme alors : Un front populaire pour s’opposer au fascisme. Les partis de gauche établissent un programme commun qui vise à résoudre la crise économique. Le slogan est : « le pain, la paix, la liberté ». Election de 1936 En mai 1936 le front populaire obtient la majorité absolue à la chambre des députés. Léon Blum devient président du conseil avec le soutien de tous les partis de gauche. A l’annonce des résultats un grand mouvement de grève se déclenche dans tout le pays

rapide du chômage, une baisse de la production industrielle, un recul des exportation, une chute des revenus, une perte de confiance dans la démocratie parlementaire et une impuissance des gouvernements successifs, parfois rapidement (19 entre 1929 et 1936), de gauche et de droite, à redresser la situation. La France s’enfonce alors dans une crise économique durable. C’est dans ce contexte de crise multiple, après les événements du 06 février 1934, (manifestations sanglante organisée par la droite

Trois phases principales ont marqué la désyndicalisation progressive. Dans l'après-guerre, plus de 5 millions de Français étaient syndiqués, soit pratiquement la moitié des salariés. " La CGT avait plus de 4 millions d'adhérents, presque autant qu'en 1936-38 ", note l'auteur. Le taux de syndicalisation se réduit de moitié entre 1948 et 1958, puis se stabilise à 25% à partir de 1958. Le déclin reprend de 1978 à 1991 avant de se stabiliser à nouveau. L'évolution du taux de syndicalisation masque toutefois

ce que les historiens ne font pas[48]. On retient de cette période ces grèves joyeuses et les premiers congés payés qui permirent aux travailleurs de partir en vacances souvent pour la première fois (Léon Blum parle d'« embellie dans les vies difficiles »). Les grèves de 1936 resteront dans la mémoire collective du mouvement ouvrier et de la gauche française. Elles sont l'exemple d'une mobilisation qui permit aux salariés de conquérir de nouveaux droits sociaux. Sur le plan intérieur, le gouvernement

Claes Oldenburg Une dénonciation de la société de consommation L’artiste et son œuvre : Né en 1929 à Stockolm il fait ses études d’art à Chicago (où il a émigré avec sa famille en 1936) puis s’installe à New York. Ses premiers travaux s’inspirent de l’ « art brut » avec l’emploi de matériaux de récupération. Il refuse l’art et les galeries d’expositions conventio conventionnelles. Il crée lui-même un même atelier/boutique qu’il dénomme « The Store ». C’est aujourd’hui l’un des grands artistes du

radicaux pour créer un « rassemblement populaire pour le pain, la paix et la liberté » nommé aussi Front populaire, qui se présente comme une alternative aux Ligues victoire aux législatives d’avril mai 1936  Léon Blum nommé pdt du conseil  grèves  accords Matignon les 6-7 juin 1936 embellie de courte durée  dégradation financière + baisse du pouvoir d’achat  agitation sociale + affaiblissement du pays (fuite des capitaux)  déclin et décadence de la F à cause de ce gvt selon la droite et la

la production s’effondre. Même les communistes disent qu’ « il faut savoir terminer une grève » 2° Les mesures économiques En pleine période estivale(le 15 août 1936), Léon Blum créait l’ONIC(office national interprofessionnel des céréales) pour garantir un prix fixé au blé : de 80 F le quintal en 1935,il passe à 141 F le quintal en 1936. Léon Blum lançe également la politique de grands travaux(tout comme le New Deal de Roosevelt). Ils procèdent à quelques nationalisations dans l’aviation et le domaine

1934, un accord est conclu entre la SFIO et le PCF et rejoint par la Parti radical en 1935. Le Front populaire est né. En janvier 1936, un programme commun est présenté, adoptant pour mot d’ordre : « le pain, la paix et la liberté ». II- L’ŒUVRE DU FRONT POPULAIRE : ENTRE ESPOIRS ET DESILLUSIONS A- UNE VCTOIRE PLEINE D’ESPOIRS Les élections législatives de mai 1936 sont un triomphe pour la gauche. La SFIO devient le premier parti de l’Assemblée nationale avec 180 députés. Léon Blum est nommé

Consigne : Après avoir présenté les documents, vous expliquerez les espoirs et difficultés rencontrés par le Front populaire .Vous vous baserez sur les documents et vos connaissances.Doc 1  : Appel radiodiffusé de Léon Blum, le 5 juin 1936 à 12h30 « Le gouvernement de Front populaire est constitué. Appelé hier, à six heures du soir, par M. le président de la République, je lui ai remis, séance tenante, la liste de mes collaborateurs. Le gouvernement se présentera