L'Enchanteur pourrissant

rue Saint-Roch à Paris, 1900. * Que faire ?, roman-feuilleton paru dans le journal Le Matin, signé Esnard, auquel G.A. sert de nègre. * Les Onze Mille Verges ou les amours d'un hospodar, publié sous couverture muette, 1907. * L'Enchanteur pourrissant, illustré de gravures d'André Derain, Kahnweiler, 1909. * L'Hérésiarque et Cie, contes, Stock, 1910. * Les Exploits d'un jeune Don Juan, roman érotique, publié sous couverture muette, 1911. * La Rome des Borgia, qui est en

peintres d’avant-garde, publiant en 1913 ses Méditations esthétiques. Les peintres cubistes. VII. Avec quels artistes-peintres a-t-il collaboré pour ses œuvres ? Il collabore dès 1909 avec André Derain, qui illustre son premier récit, L’Enchanteur pourrissant. Puis Raoul Dufy dessine 30 gravures pour son recueil poétique Le Bestiaire ou Cortège d’Orphée (1911). Enfin, après sa mort, le peintre cubiste Louis Marcoussis publie une édition d’Alcools rehaussée de ses peintures, d’après son exemplaire

-Alcools, recueil de poèmes entre 1898 et 1912. -Calligrammes, poèmes de la paix et de la guerre 1913-1916, 1918 -Ombre de mon amour, poèmes adressés à Louise de Coligny-Châtillon, 1947 Romans, contes : -Les Onze Mille Verges, 1907 -L’Enchanteur pourrissant, illustré de gravures d’André Derain, 1909 -La Rome des Borgia, 1913 -Le poète assassiné, contes, 1916 Théâtre et cinéma : -Les Mamelles de Tirésias, drame surréaliste, 1917 -Casanova, comédie parodique, 1952 Correspondance :

cécité seule pouvait mettre à l'abri de l'inquiétante étrangeté de ce monde illusoire ("L'aveugle berce un bel enfant" v.17). [conclusion-élargissement] Apollinaire, qui s'était donné pour devise "j'émerveille", s'est identifié à Merlin dans L'enchanteur pourrissant. Son univers est magique au deux sens du terme : il est à la fois surnaturel et illusoire. Le merveilleux de Crépuscule participe de ces deux définitions, ce qui explique qu'à l'intérieur de ses limites, le regard séduit et trompé ne puisse

créateur. A cette époque, il fréquente les artistes de l’avant-garde tels que Picasso, Matisse, Max Jacob… Au début de 1908, il multiplie ses collaborations aux revues et journaux. Apollinaire publie son premier livre le 28 novembre 1909, « l’Enchanteur pourrissant » . En 1911, il inaugure une chronique au mercure de France qu’il tiendra jusqu’à sa mort. Apollinaire publie ensuite « Alcools » en 1913, recueil majeur qui réunit son œuvre poétique depuis 1898. Il parvient à s’engager dans l’armée française

grands artistes et devient journaliste, poète, critique d’art (en écrivant sur Braque et le Douanier Rousseau) et conférencier. En 1909, il s’installe à Auteuil pour être plus près de Marie Laurencin. En novembre, il publie son premier livre, L’enchanteur pourrissant. En octobre 1910, il publie L’Hérésiarque et Cie qui rate de peu le prix Goncourt. En mars 1911, il publie son premier recueil poétique, Le Bestiaire ou cortège d’Orphée qui sera aussi publié dans Alcools à la fin du recueil. Apollinaire

bon élève il s'initie aux mythes antiques, et aux légendes médiévales mais échoue au baccalauréat et il compose ses premiers poèmes. En 1899, il passe l'été a Stavelot avc son frere ou il rencontre une fille Maria Dubois (Mareye) et écrit L'enchanteur pourrissant (publié en 1909 son premier roman ) et que vlo-ve? mais ils doivent quitter la ville en secret et à l'aube. En 1900, ils s'installent à Paris, Guillaume envoie poèmes et contes à des revues. Celles-ci les refusent il travail a la banque

Gallimard, 2004 OZENFANT et LE CORBUSIER, L’Esprit Nouveau, n°26, 1925 APOLLINAIRE Guillaume, Le bestiaire, Paris, L.C.L., 1967 APOLLINAIRE Guillaume, Le pont Mirabeau extrait de « Alcools », Paris, Gallimard, 1920 APOLLINAIRE Guillaume, L'enchanteur pourrissant Les mamelles de Tirésias Couleur du temps, Paris, Gallimard, 1972 APOLLINAIRE Guillaume, Les Exploits d'un jeune Don Juan, Paris, Gallimard, 2002 MICHARD L. et LAGARDE A., XXe siècle, France, Bordas, 1962, Textes et Littérature http://www

Paris, il fait la connaissance de Derain, un peintre et sculpteur français qui illustrera ses poèmes. Il finira son texte La Chanson du mal aimé en novembre 1905.En 1909 il défend les nouveaux poètes et il fait paraître son premier livre : L’Enchanteur pourrissant. En 1915, il fait connaissance de Madeleine Pagès et lui adressera un poème : Le... Poème secret  Il écrira beaucoup de poèmes qui regroupera dans un recueil Alcools comme : -Le pont Mirabeau (Paru en 1913, après la rupture avec Marie-Laurencin

Saint-Roch à Paris, 1900 (ouvrage perdu). Que faire ?, roman-feuilleton paru dans le journal Le Matin, signé Esnard, auquel G.A. sert de nègre. Les Onze Mille Verges ou les Amours d'un hospodar[12], publié sous couverture muette, 1907. L’Enchanteur pourrissant, illustré de gravures d'André Derain, Kahnweiler, 1909. L'Hérésiarque et Cie, contes, Stock, 1910. Les Exploits d'un jeune Don Juan, roman érotique, publié sous couverture muette, 1911. Le roman a été adapté au cinéma en 1987 par Gianfranco