L'Enchanteur pourrissant

découvertes et avant-gardes de son temps : l'art naïf (le Douanier Rousseau), l'art nègre (aujourd’hui Art Premier !), le fauvisme, le cubisme avec Braque et Picasso (1913). Plus encore que ses contes, pleins de fantaisie et d'humour (l'Enchanteur pourrissant, 1909 ; l'Hérésiarque et Cie, 1910 ; le Poète assassiné, 1916), ses recueils poétiques, d'inspiration autobiographique où le mystère est une constante (le Bestiaire ou Cortège d'Orphée, 1911) ; Alcools (1913) ; Calligrammes (1918), constituent

Pion blanc des présages (1990) – Pawn of Prophecy (1982) La Reine des sortilèges (1990) - Queen of Sorcery (1982) Le Gambit du magicien (1990) - Magician's Gambit (1983) La Tour des maléfices (1991) - Castle of Wizardry (1984) La Fin de partie de l'enchanteur (1992) - Enchanters' end Game (1984)  La Mallorée - The Malloreon o o o o o Les Gardiens du ponant (1992) - Guardians of the West (1987) Le Roi des Murgos (1993) - King of the Murgos (1988) Le Démon majeur de Karanda (1993) - Demon Lord

Arthurienne, s’instaure dès le XIIe siècle, sous la plume de Chrétien de Troyes et se perpétue jusqu’à aujourd’hui. Ainsi, dans la modernité littéraire, certains récits renvoient toujours au Graal mythique et aux récits qui l’entourent. L’Enchanteur Pourrissant est le premier ouvrage publié par Guillaume Apollinaire, ce grand poète français du début du XXe siècle. Une version pré-originale de l’œuvre parait d’abord en 1904 dans la revue Le festin d’Ésope qu’il avait fondée avec des amis. Mais

de son frère Albert. 1887, Installation à Monaco d'Angélique et de ses deux fils. 1896-1897, Il quitte le lycée de Nice sans obtenir le baccalauréat. 1899, Séjour des deux frères à Stavelot. Rencontre d'une jeune fille, Mareye. Ebauche de L'Enchanteur pourrissant. 1900, Retour à Paris. Apollinaire travaille dans une officine financière, la Bourse parisienne, et fréquente la bibliothèque Mazarine. 1901, Séjour en Allemagne comme précepteur pour la famille de Milhau. Rencontre avec Annie Playden. 1902

retour à Paris la même année, il se lie d’amitié avec Alfred Jarry et André Salmon et collabore à plusieurs journaux littéraires, avant de fonder sa propre revue, le Festin d’Ésope (1903-1904), dans laquelle il donne une première version de l’Enchanteur pourrissant, œuvre poétique en prose. Pour subvenir à ses besoins et par goût pour la littérature « libre », il entreprend bientôt la rédaction de romans érotiques, publiés sous le manteau (les Onze Mille Verges, 1907 ; les Exploits d’un jeune don Juan

Neu-Glück, en Rhénanie. Il y restera un an (de 1901 à 1902). Il retourne alors à Paris, où il collabore à plusieurs journaux littéraires avant de créer sa revue, Le festin d’Esope, (1903-1904), dans laquelle paraîtra une première version de L’enchanteur pourrissant. S’en suit une période faste en rencontres et en écriture, puisqu’il devient en 1907 l’ami de Picasso, de Derain, et participe avec Salmon et Max Jacob aux discussions du « Bateau-Lavoir » sur le cubisme en gestation. Il écrit la même année

retour à Paris la même année, il se lie d’amitié avec Alfred Jarry et André Salmon et collabore à plusieurs journaux littéraires, avant de fonder sa propre revue, le Festin d’Ésope (1903-1904), dans laquelle il donne une première version de l’Enchanteur pourrissant, œuvre poétique en prose. Pour subvenir à ses besoins et par goût pour la littérature « libre », il entreprend bientôt la rédaction de romans érotiques, publiés sous le manteau (les Onze Mille Verges, 1907 ; les Exploits d’un jeune don Juan

œuvres dans La Revue Blanche à laquelle participe Marcel Proust (écrivain français du XXème siècle) et il fit la connaissance de peintres dont Pablo Picasso qui lui présentera Marie Laurencin. Il écrivit son premier livre en 1909 intitulé L’Enchanteur pourrissant. Ses premiers grands recueils de vers Alcools ainsi que Les Peintres cubistes, méditations esthétiques paraissent en 1913. Lors de son engagement pour La Première Guerre Mondiale, Guillaume Apollinaire écrit des poèmes à Louise de Coligny

­s’engage volontairement dans l’armée pour la première guerre mondiale  ­critique d’art  ­précepteur  ­employé de banque    Ses oeuvres principales:  ­​ poésie​ , ​ Poème à Lou; Calligramme; Alcools  ­​ romans et contes​ , ​ Le poète assassiné; Les onze Mille Verges; L’enchanteur pourrissant;  L'hérésiarque et Cie  ­​ Ouvrages critiques et chroniques ​ : ​ La peinture moderne; Les peintre cubiste; les poètes  d’aujourd’hui  ­​ théâtre et cinéma​ , ​ Les mamelles de Tirésias; Casanova  ­​ Correspondance​ , ​ Lettre à Lou/ à Madeleine/ à sa marraine 

toutes les découvertes et avant-gardes de son temps : l'art naïf (le Douanier Rousseau), l'art nègre, le fauvisme, le cubisme avec Braque et Picasso (les Peintres cubistes, 1913). Plus encore que ses contes, pleins de fantaisie et d'humour (l'Enchanteur pourrissant, 1909 ; l'Hérésiarque et Cie, 1910 ; le Poète assassiné, 1916), ses recueils poétiques, d'inspiration autobiographique et où le mystère est une constante (le Bestiaire ou Cortège d'Orphée, 1911) ; Alcools (1913) ; Calligrammes (1918), constituent