L Enfant D Hiroshima

Corée n'est rien d'autre que le massacre de ses habitants par les troupes américaines. Le tableau donne une impression générale de désolation et les couleurs sont plutôt grises. On observe des ruines dans l'arrière-plan pouvant faire penser à Hiroshima. Le fleuve est la frontière entre les deux Corées qui séparent les civils des soldats et les victimes des bourreaux. Les civils ne portent pas de vêtements, ils sont nus dessinés avec des formes rondes et des lignes courbes opposés aux hommes, visages

des populations et a aggravé l’écart entre les démunis et les favorisés. Science sans conscience : * Les dérives de la science : Parmi les effets pervers de la science l’utilisation du progrès scientifique afin de détruire l’humanité exemple Hiroshima et Nagasaki. * La science au service du marché : La science ne vise plus à servir l’humanité mais plutôt elle s’intéresse au coté matériel cela s’avère dans l’exemple qu’a Hassan Aourid a cité : la médecine . Le corps à nue : * la révolution

réussi le 'bac'.Pendant la guerre, alors que son premier enfant est mort-né, elle s'inscrit au PCF (le Parti Communiste Français) et entre dans la résistance.En 1950 elle est révélée par son roman d'inspiration autobiographique, Un barrage contre le Pacifique. De 1950 à 1966, elle diversifie ses activités littéraires :Écrivain : associée au Nouveau Roman.Moderato CantabileL'Amant (1984)Dramaturge :Le Square (1955)Scénariste, dialoguiste :Hiroshima mon amour, un film d'Alain Resnais (1960).Réalisatrice :India

Mondiale ; puis une deuxième, plus cruelle. Guerre « éclair », Tempête du désert. Des conflits sanglants ont déstabilisé les nations : Guerre civile en Algérie, en Irak et au Soudan,...Par conséquent, des milliers de personnes ont été massacrées à Hiroshima, en Palestine et au Rwanda...Mais qui saura, ma foi, arrêter le chiffre exact des dégâts matériels et humains ? Des milliers d'handicapés et de blessés au Vietnam, au Liban et au Zimbabwe... Des milliards de dollars, d'euros ou de dinars, chacun

cinéaste est par conséquent considéré comme l’un des « plus grands cinéastes politiques d’Occident, dans le cinéma moderne »1, ce qui est confirmé par la suite par ses premiers longs métrages. Hiroshima mon amour a comme référence historique la seconde guerre mondiale et le bombardement à Hiroshima. La guerre d’Algérie hante Muriel et la Guerre d’Espagne La Guerre est finie2. Cette interprétation historique persiste dans la lecture des films postérieurs du cinéaste : Providence se fonde sur

bombardées à partir de septembre 1940. Les villes allemandes subissent d’importantes destructions comme Dresde (février 1945). • Le président américain Truman décide de lancer sur le Japon les bombes atomiques qui viennent d’être mises au point sur Hiroshima le 6 août 1945 et sur Nagasaki le 9 août 1945. 2 Le génocide A Les premières persécutions • Les lois de Nuremberg (1935) visent à exclure les Juifs de la société allemande (interdiction des mariages mixtes…). • Lors de la nuit de

ertrand -Né le 7 novembre 1913 à Alger: -père alsacien -mère espagnole → famille modeste 2eme enfant de la famille -Fais ses études a Alger, 1923 remarqué par son instituteur Louis GERMAIN → inscrit en 1924 école des bourses =/ GM voulait travail vite ! -Camus reconnaissance-->prof=dédira son discours de prix Nobel. -Chgt de vie lycée Bugeaud « comparaison » → foot -1928: entre au racing universitaire

à la suite de l'explosion. Par exemple, un garçon de quatorze ans a été admis dans un hôpital Hiroshima deux jours après l'explosion, souffrant d'une forte fièvre et des nausées. Neuf jours plus tard, ses cheveux ont commencé à tomber. Sa fourniture de globules blancs a diminué plus en plus bas. Le dix-septième jour, il a commencé à saigner du nez, et le vingt et unième jour il est mort. A Hiroshima et Nagasaki, les quelques médecins survivants ont observé des symptômes de la maladie des rayons

Ernest Pignon de son vrai nom Ernest Pignon est un artiste plasticien né en 1942 à Nice pendant la deuxième gurerre mondiale. Avec Daniel Buren et Gérard Zlotykamien, il est à l'origine de l'art urbain en France. Hanté par des ombres à Nagasaki et à Hiroshima, par des corps disparus, il a posé des images peintes, dessinées, sérigraphiées sur du papier fragile, sur des murs de cités, dans des cabines téléphoniques. Ce sont des images qui se fondent dans l'architecture urbaine. Les témoignages photographiques

elles ont été formées par des milieux à ce point différents que, d'elles-mêmes, elles décident de ne plus se revoir. Au-delà de ce thème très simple, c'est tout le drame du Japon moderne qui est le sujet de Kyôto : l'européanisation puis, après Hiroshima, l'américanisation accélérée d'une société qui avait jusqu'alors vécu sur des bases sociales, culturelles et morales entièrement autres. Loin des pays de neige et des amours impossibles, Kawabata signe ici son meilleur roman, dix ans avant son