L Enfant Et La Rivière

dormeur du val: C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil de la montagne fière, Luit : C'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement

trois mois. Il va s’intéresser au quotidien des Achuar, il va essayer de comprendre leurs mythes, leurs rêves, leurs pratiques de la chasse, les relations entretenues avec les autres tribus… Il va aussi rencontrer les femmes de Wajari ainsi que ses enfants. Dans ce livre, Descola ne va pas hésiter à donner des détails pour que l’on puisse comprendre ce peuple. C’est alors qu’il y aura un système d’échanges entre Wajari et Descola. Durant son voyage, Descola a essayé de comprendre le rapport qu’on

lumineuse. Le décor champêtre semble idyllique.(v.1 et 3) : Le vocabulaire employé ressort du merveilleux : le « val » est une petite vallée décrit comme un endroit enchanteur. On a une rivière qui « chante » au vers 1 alors qu’au vers 4 le « petit mousse de rayons ».La nature personnifié, est dotée d’attribut humains : la rivière « chante » et la montagne est « fière ».(v.3 et 4) : Une lumière coiffe ce paisible tableau placé sous le signe de la douceur : le soleil « luit » et le val mousse de « rayons »

| | | | |Vocabulaire connotatif (sens) |Vie : Ouïe (où chante une rivière) |L’aspect serein : | | | |Vue (frais cresson bleu) |Ce qui donne

suivantes : Une couverture dans le lit d’une rivière. Un orteil dans le pied d’une table. Un cheveu sur la tête d’un clou. De la sève dans une feuille de papier. Une langue dans une bouche d’égoût. Une plume dans l’aile d’une armée. Un estomac dans le corps d’une pompe. Un ongle dans un doigt de vin. Des feuilles dans un chou à la crème. De l’électricité dans un éclair au chocolat. De l’ivoire sur des dents de scie… (Claude Bruel, 400 jeux pour jeunes filles et enfants classés au point de vue éducatif.

…………………………………………………………………………………………………………………………………………… Il possède donc une partie ……………………………………………………………………………………………………………… * Remets les paragraphes ci-dessous dans l’ordre en les numérotant. Voilà pourquoi le crocodile vit dans les rivières.    Un beau jour, le chien en eut assez de cette déplorable situation. Il prit son couteau, alla trouver le crocodile et lui dit :«  Viens à mon aide, crocodile, fends-moi un peu le museau que j’ai une gueule suffisante pour pouvoir mordre convenablement

Jean-Claude MOURLEVAT LA RIVIERE A L’ENVERS 1. Tomek Pocket Jeunesse Proposez une illustration (dessin fait par vous-même, photo, représentation picturale etc…) pour l’un des lieux dans lequel se déroule l’action du roman. Vous devez justifier votre choix. J’ai choisi cette image, car l’histoire de cette épicerie m’a beaucoup plu. Tomek vendait de « tout ». « Des choses utiles et raisonnables ». On y trouve des petits tiroirs, des bocaux pleins de bonnes choses, de sable, …

dirigé par une déesse placés au centre du celui-ci avec son palais majestueux , mais surtout connut pour sa possession massif d'or . En effet dans ce royaume l'or poussait par le biais des fleurs des arbres , et on pouvait même en trouver dans la rivière qui traversait Ortunis , on disait même que dans certaine fleurs on pouvait trouvé des pierres précieuse qui faisait office de graines celle-ci. Cet acquisition grandiose d'or provenait sûrement de la grande puissance magique détenu par la déesse

comporte notamment les brouillons du roman sous la forme de « notes préliminaires », de « plans » et d’« ébauches », mais malheureusement épuisée : Alain-Fournier, Le Grand Meaulnes, Miracles, précédé de Alain-Fournier par Jacques Rivière, texte établi et annoté par Alain Rivière et Françoise Touzan, présentation et bibliographie de Daniel Leuwers, Paris, Classiques Garnier, 1986. Toutefois les indications fournies permettront de se repérer aisément dans d’autres éditions. Le Grand Meaulnes d’Alain-Fournier

Or, un dimanche, comme elle était allée faire un tour aux Champs-Elysées pour se délasser des besognes de la semaine, elle aperçut tout à coup une femme qui promenait un enfant. C'était Mme Forestier, toujours jeune, toujours belle, toujours séduisante. Mme Loisel se sentit émue. Allait-elle lui parler? Oui, certes. Et maintenant qu'elle avait payé, elle lui dirait tout. Pourquoi pas? Elle s'approcha. - Bonjour, Jeanne. L'autre ne la reconnaissait point, s'étonnant d'être appelée