L Enfant Et La Rivière

auditives : « chante » vers1; tactiles : « frais » vers6, olfactives « les parfums » vers12 ; visuelles : un champs lexical montrant une harmonie de couleurs froides, « argent »vers3 , « bleu »vers6 , « vert » vers8. -Un cadre mélodieux « chante une rivière » vers1, harmonieux et plein d'agrément qui invite au bien-être : les rayons du soleil, les fleurs « cresson » vers6 et « glaïeuls »vers9 2) Profusion de mouvement et de vie -Exubérance et vivacité de la nature à travers le lexique : métaphore

animée. C’est une nature vivante, le « soleil » (vers 3) est le symbole de la vie. De plus, cette nature est personnifiée au vers 1 « où chante une rivière » et au vers 11 « Nature, berce-le chaudement ». Tout au long de la description de cette nature, on peut observer des expressions qui font référence à la perception auditive : « chante une rivière » (v. 1), « qui mousse de rayons » (v.4), à la perception olfactive : « les parfums » (v.12), ou encore à la perception visuelle : « d’argent » (v.3)

fonctions d’intégration sociale, les rites contribuent à la construction de l’identité de chaque culture, c’est ce que Boris Cyrulnik tente d’analyser dans son essai Les nourritures affectives ainsi que Claude Rivière dans son essai, consacré à l’apprentissage des rites de socialisation chez les enfants, Les Rites profanes. Cependant, Jean Maisonneuve avec son essai Les Rituels et le navigateur Français Bougainville dans son texte narratif Voyage autour du monde, montre que les rites sont des conduites

prendre la chasse-galerie, il n’a donc aucun espoir ou presque. Alors qu’Ésimésac, lui ne croit pas aux chances d’avoir trois enfants, dont un roi, car il ne trouve aucune fille à sa taille. Mais tous deux réussissent à la fin de leur récit, Jos se rend au campement indemne et le géant a créé les Grands Lacs, une rivière Yamachiche et la rivière Saint-Maurice, soit ses trois enfants.

de la mère du petit garçon surnommée «la blanchotte»: elle s’était livrée à un homme sans être mariée, et c’est honteux. Un jour, les enfants de l’école s’en prennent au petit Simon parce qu’il n’a pas de père. Leur comportement n’est que le reflet de ce que pensent leurs mères. Ne supportant plus cette situation, Simon choisit de se donner la mort dans la rivière pour finir heureux, soudain, un homme, Phillipe le voit en pleur et le console. L'enfant lui raconte son histoire et l'homme accepte de

renforce cette idée grâce à la couleur argentée des haillons et le soleil luisant. Une ambiance tranquille, calme et apaisante se fait aussi ressentir puisque « ce trou de verdure » (v.1) est assez silencieux pour que le chant « d’une rivière » (.1) soit entendu. La rivière est donc personnifiée, et marque avec la personnification « Nature, berce-le » (v.11) la présence de l’eau et de la végétation. En effet, nous voyons apparaître dans le poème deux champs lexicaux : celui de la Nature, avec le petit

laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie, Et s'est vêtu de broderie, De soleil luisant, clair et beau. Il n'y a bête ni oiseau Qu'en son jargon ne chante ou crie: « Le temps a laissé son manteau! De vent, de froidure et de pluie, » Rivière, fontaine et ruisseau Portent, en livrée jolie, Gouttes d'argent, d'orfèvrerie; Chacun s'habille de nouveau. Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie, Et s'est vêtu de broderie, De soleil luisant, clair et beau Anne

prendre toute la place sous la gouverne de la compagnie Donohue Brothers(2). Cette localité rurale paraît fort éloignée de la ville de Québec où Savard est né en 1896, mais sa famille s’installe à Chicoutimi alors que le jeune Félix-Antoine est encore enfant(3). Il fait ses études au Séminaire de Chicoutimi et est ordonné prêtre de ce diocèse en 1922. Après quelques années d’enseignement, Savard songe un temps à la vie monastique. L’évêque de Chicoutimi le nomme finalement vicaire dans une paroisse de

M - Discours direct mise en abime au - Anaphore en adieu, il prolonge la séparation en citant chaque élément qu’il a chérie - V24 futur proche : positif - V26 « soleil » : luminosité après l’ombre - « ô » : lyrique - Enfant symbole de la vie - Antithèses et oxymore dans le dernier paragraphe - Anaphore de « vingt et trois » - Chute des résistants : chute du poème Texte 4 - Philippe Jaccottet : poète suisse, a fait des traductions recueil L’Effraie

Jeanne, fille du Roy Chapitre 30 Un sifflement familier perce le silence. Jeanne laisse tomber le panier de fèves qu’elle ramassait et s’élance vers la rivière. Son cœur bat et comme autrefois, elle le presse à deux mains. Un canot s’avance, et un bras amical agite un aviron. Une voix de stentor ébranle les échos. Hé! Rouville, j’ai des nouvelles. D’une manœuvre habile, le voyageur arrête son embarcation près de la berge. Il a une magnifique barbe rousse, et Jeanne reconnaît le trappeur Charron