L Enfer C Est La Solitude

tenue feldgrau et d’un casque à pointe qui fut changé par un casque lourd en 1915. Cette évolution est due au passage d’une guerre de mouvement en 1914 à une guerre de tranchées en 1915 qui est avant tout une guerre d’usure. Les soldats vivaient un enfer lors des attaques ou lors des bombardements. Avant une attaque de l’ennemie la mort était omniprésente ainsi que la peur. La vie quotidienne en temps de repos ou d’absence de bombardements est très difficile. Les soldats subissent les conditions climatique

Là-bas, groupes meuglants de grands boeufs aux yeux glauques Vont menés par des gars aux bruyants soliloques. La poussière déferle en avalanches grises Pleines du chaud relent des vignes et des brises. Un silence a plu dans les solitudes proches : Des Sylphes ont cueilli le parfum mort des cloches. Quelle mélancolie ! Octobre, octobre en voie ! Watteau ! que je vous aime, Autran, ô Millevoye ! Emile Nelligan {text:soft-page-break} N'importe ou hors du monde {text:bookmark}

dents d’une machine ». Et il y a une insistance sur la peur des enfants, face à d’horribles machines, grâce à la métaphore filée au vers 8 « monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre ». Egalement, la gradation « prison », « bagne », « enfer » augmente le fait de la peur des enfants et du malaise du lecteur. ». On reconnait un endroit sale avec au vers 12 « la cendre est sur leur joue ». Enfin, nous remarquons au vers 11, un vers à double sens « tout est d’airain, tout est de fer » puisqu’il

l'« oasis » symbole de sérénité, de repos et de bonheur est associée ici à « horreur » ce qui suggère l'angoisse et la souffrance (oxymore). Quant à la seconde formule, sa force vient d'une redondance : puisque l' « ennui » évoque le vide et la solitude, comme le « désert ». Second quatrain Les vers 5 et 6 sont construits sur une série d'antithèses entre les verbes « partir/rester », « courir/se tapir ». Composante essentielle du « spleen », le temps aggrave la lassitude et le désespoir en

construit en opposition à ses interlocuteurs : il est une figure d’exception. S’ensuit une autre caractéristique : la solitude du héros tragique, isolé dans un univers hostile. Son personnage suffit à concentrer tout le tragique de la pièce. Ce dernier est renforcé par la force de caractère du héros, qui n’est orienté que vers la réalisation de son entreprise. Découle enfin de cette solitude le fait que le héros reste sans pouvoir agir face aux événements qu’il subit dès lors malgré lui. Les dieux ne sont

2ème point de vue dit que l’individu cherchera au contraire à reproduire la même constitution familiale que ces parents, pour y retrouver l’ambiance chaleureuse des grandes familles. Il se justifie en comparant avec un enfant unique, confronté à la solitude. On peut supposer que le premier point de vue est issu d’une famille nombreuse, alors que le deuxième est enfant unique. Ces deux points de vue se contredisent mais se justifient. 6) Il y a évolution des mœurs car la reproduction de la fratrie

ne peuvent sortir et, restent à s'y déformer volontiers». Mais dans ce texte la vision de la ville est horrible je pense a cause de la population car pour lui ce ne sont que des gens avides, des gens mauvais. Cette ville qui va être nommée comme «enfer», car comme il dit «tout fume, tout brûle, tout brille, tout bouillonne, tout flambe, s'évapore, s'éteint, se rallume, étincelle, pétille, et de consume». Puis il nous parle de cette fille qui va avoir un autre homme, il dit que c'est à cause de cette

l’assassin, le solitaire puis l’homme accompagné d’une femme). Cependant comme on le voit dans le dernière poème avec « délire parallèle » et « mirage lointain », l’ivresse est illusoire et le fait pas disparaître l’éternelle solitude. Les Fleurs du Mal : Pour se divertir de la solitude du vin Baudelaire s’adonne aux plaisirs de la chair. Il cherche à faire du beau avec une chose moralement considéré comme laide (la luxure); à faire des « fleurs » avec des femmes abjectes (laides moralement). Par le

pour revendiquer une cause (ex : politique, morale ...) Baudelaire va prendre du courant parnasse l’importance accordée au travail et à la forme poétique. Au courant romantique, il va emprunter la conception du poète, voué au destin, sensible à la solitude et exilé dans le monde. Chez Baudelaire on retrouve un lien entre l’art et la souffrance et la volonté de vouloir choquer. Baudelaire va dépasser l’opposition entre le lyrisme romantique et la forme parnassienne avec son œuvre « les fleurs du mal»

femme est considérée comme un signe distinctif qui renforce son pouvoir de séduction et exprime pleinement la féminité. Mais c’est la mélancolie qui est le signe distinctif de l’artiste, c’est un état morbide où l’on ne se supporte plus, où la solitude est un enfer, où la conscience du temps qui passe et le malheur de l’homme. Dans un monde guetté par l'ennui et la désillusion, l'amour semble être le refuge des idéaux. Pourtant, l'histoire d'amour romantique se termine rarement bien. Séparés par des malentendus