L Histoire Est Elle Un Pretexte

| terminale l | option histoire des arts L’ailleurs : questions et enjeux esthétiques Claire Lingenheim Lycée des Pontonniers strasbourg «Au siècle de Louis XIV, on était helléniste, maintenant, on est orientaliste. Il y a un pas de fait. Jamais tant d’intelligences n’ont fouillé à la fois ce grand abîme de l’Asie. » Victor Hugo, Les Orientales, 1829. Suivant pas à pas toutes les tendances du siècle, l’orientalisme s’exprime aussi bien à travers l’art, la littérature, la musique, l’architecture

elle, et aurait-il fait marche arrière ?). Manque de sang-froid face à la Mort, et le motif de sa venue va donc être le fagot qui traîne par terre !- " Tu ne tarderas guère " => il a hâte de la voir disparaître à présent.IV - La moralité de cette histoire (v.16 à 20).- Morale : les hommes préfèrent la souffrance à la mort, car ils en ont peur, et c'est ce que La Fontaine méprise dans la nature humaine. La mort est une guérison, mais les hommes sont lâches.- L'esprit est clairement détaché du corps

maris et c’est puni par la loi. LES RAISONS D’ETRE DE LA POLYGAMIE La polygamie se veut une manifestation de prestige, de puissance et de puissance sexuelle de la part du male qui la contrôle.mais elle a été aussi tout au long de sa très longue histoire ( bien avant l’avènement de l’Islam )un outil politique. Certains optent pour la polygamie pour avoir une descendance nombreuse qui constitue une main d’œuvre à bon marché . Certains hommes pratiquent la polygamie par effet de mode( par imitation)

Le récit du parcours singulier d’un homme, qui pourrait être l’auteur lui-même, à la recherche de son moi profond et d’un sens à sa vie. A travers son parcours il découvre et délivre peu à peu le message de vie de « l’énergie de l’amour ». Le prétexte de cette quête est la disparition de son épouse Esther qui travail journaliste et correspondante de guerre, vers laquelle il va tenter de guider ses pas avec l’aide de plusieurs personnages soit inspirés, comme Mikhaïl rencontré à Paris, sorte de

Je ne sais comment me placer dans cette histoire, je ne sais comment ils vont réussir à la résoudre, par une guerre certes mais je pense que celle ci est mal préparer, nous ne connaissons que très peu l'ennemi, l'Ordre Athéna se cache bien, certes se sont des humains mais il manquerait plus que les vampires végétariens s'alliées avec eux voir même quelques vampires sanguinaire, pour ma part ce n'est pas un problème car l'ennemie reste l'ennemi quel qu’il soit mais j'ai plus peur des pertes qu'il

pas seulement des jeux entre personnages ou des conflits. Il y a une histoire, avec de l'amour, de la tristesse ou encore de nombreux sentiments différents. Je ne sais pas quel métier vous faites mais cela ne dois pas être très passionnant pour trouver une pièce de Molière … ennuyeuse ! - Tout d'abord, on ne se connaît pas (répond-il d'un ton furieux) donc j'aimerais s'il vous plaît que vous me parlez gentiment, sous prétexte que je n'aime pas Molière. Ensuite, je ne suis peut-être pas un écrivain

ensuite il le flatta et le glorifia, au point de châtier certains pour ce qu'ils avaient dit. D'un côté il détestait certaines personnes en tant qu'ennemis de Tibère, à cause de leur injures, mais d'un autre il détestait ceux qui le louaient, sous prétexte de leur amitié pour lui. Bien qu'ayant supprimé les accusations de lèse-majesté, il fit périr de nombreuses personnes pour ce motif. Et après avoir renoncé, comme il disait, à sa colère contre ceux qui s'étaient opposés à son père, à sa mère et à

peur et de refus de la différence culturelle. C'est dans son texte Race et histoire que Lévi-Strauss développera ces analyses pour montrer que ce refus a habité le mouvement du colonialisme européen depuis le XVe siècle et lui a même apporté ses plus puissants alibis. C'est, en effet, en raison même de ce rejet que l'on proclamait la nécessité, par la colonisation, de « civiliser les sauvages ». C'était en réalité un prétexte, nous dit-il, pour détruire les formes de civilisation qui ne correspondaient

recueil des Amours de cassandre « , très jeune personne (15 ans environ) fille d’un riche banquier (salviati) rencontrée fugacement par Ronsard, jeune poète à l’époque. On ne connait pas la nature de la réalité sentimentale de cette histoire mais on sait que cela fut un prétexte pour l’auteur de s’essayer à la poésie amoureuse sous influence de Pétrarque (poête italien ayant donné son nom au Pétrarquisme mouvement littéraire sur fond référence mythologiques) 2. décomposition technique.

avec « enterrement » repris au vers 1. Mise en évidence de la mort à la rime vers 1 et 9 -symboles traditionnels « noir », « blanc », l’habit de deuil « crêpe ». Coutume « prendre le deuil ». Métaphores « automne » et « soir » -vision choquante « histoires de cercueils », une vision crue - rythme lent, comme une démarche funèbre lente, comme les escargots qui sont des animaux lents, et l’absence de ponctuation - sonorités occlusives ( bloquer l’air pour prononcer) - b/ mort atténuée