L Hiver Théodore De Banville

Guillaume Apollinaire et Théodore de Banville. Ce sont des écrivains influencés par l'élan qu'a pris la poésie durant ce siècle. La poésie au XIXe est un moyen de s'échapper des règles de la littérature classique. Théodore de Banville était un auteur du Parnasse apparut à la seconde moitié du XIXe siècle, Apollinaire quant à lui fut l'investigateur du terme « surréalisme » au début du XXe siècle. Apollinaire a été influencé par les idées du Parnasse et de Théodore de Banville. Ce sont des poèmes lyriques

saisons Le printemps : « Mai »de Guillaume Apollinaire « Le printemps » de Théodore de Banville « Premier sourire du printemps » de Théophile Gautier L'été : « l'été » de Théodore de Banville L'automne : « Automne » de Guillaume Apollinaire « L'automne » de Théodore de Banville « Ce que disent les hirondelles » de Théophile Gautier L'hiver : « L'hiver » de Agrippa d'Aubigné « L'hiver » de Théodore de Banville « Fantaisies d'hiver » de Théophile Gautier Les textes qui vont être présentés

siècle. Il s'agit de Guillaume Apollinaire, Théodore de Banville et Théophile Gautier. Ce sont des écrivains influencés par l'élan qu'a pris la poésie durant ce siècle. La poésie au XIXe est un moyen de s'échapper des règles de la littérature classique et des formes fixes de la poésie. En effet la modernité littéraire est mouvementée avec des courants marquants tels que le romantisme, le réalisme, le naturalisme ou encore le symbolisme. • Théodore de Banville (1823 - 1891) est un poète, dramaturge

siècle. Le premier sera « L’Eté » de Theodore de Banville ; et le deuxième un sonnet : « Vent d’été » de Charles Cros. Puis, viendra l’automne, toujours avec des poèmes du XIXème siècle. D’abord « L’automne », d’Alphonse de Lamartine ; puis « Chant d’automne » de Baudelaire. Enfin, l’hiver, encore avec des œuvres du XIXème siècle. Nous commencerons par « Que j’aime le premier frisson d’hiver » d’Alfred de Musset ; pour finir avec « L’Hiver » de Theodore de Banville. Nous avons choisi cet ordre car

«Anthologie de poèmes» ~Sommaire : ¤ Rondeaux : - Rondeau de printemps, René Charles d'Orléans - La nuit, Théodore de Banville ¤ Ballades : - La ballade des pendus, François Villon - Ballade des dames du temps jadis, François Villon ¤ Odes : - Ode à Cassandre, Pierre De Ronsard - Le printemps, Pierre De Ronsard ¤ Sonnets : - La cloche du soir, Jules Vernes - Quand par le dur hiver..., Jules Vernes Rondeau de printemps Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie

d¹une crèche mon refuge Ah je ne suis bien qu'un enfant Animal rêveur insouciant ! Léger comme un moineauQui a toujours du pain sur sa brancheHeureux comme un oiseau Qui guette son poisson dans l'eau. Jean Marie Audrain ( 1960 - ) 5 En hiver Le sol trempé se gerce aux froidures premières,La neige blanche essaime au loin ses duvets blancs,Et met, au bord des toits et des chaumes branlants,Des coussinets de laine irisés de lumières. Passent dans les champs nus les plaintes coutumières

brumeuses saisons… Comme tu resplendis, paysage mouillé Qu’enflamment les rayons tombant d’un ciel brouillé ! Ô femme dangereuse, ô séduisants climats ! Adorerai-je aussi ta neige et vos frimas, Et saurai-je tirer de l’implacable hiver Des plaisirs plus aigus que la glace et le fer? Commentaire Ce poème de quatre quatrains d’alexandrins fut inspiré à Baudelaire par sa maîtresse, Marie Daubrun. Il fut séduit en particulier par ses yeux qui lui paraissaient mystérieux. Elle

des brumeuses saisons… Comme tu resplendis, paysage mouillé Qu’enflamment les rayons tombant d’un ciel brouillé ! Ô femme dangereuse, ô séduisants climats ! Adorerai-je aussi ta neige et vos frimas, Et saurai-je tirer de l’implacable hiver Des plaisirs plus aigus que la glace et le fer? Commentaire Ce poème de quatre quatrains d’alexandrins fut inspiré à Baudelaire par sa maîtresse, Marie Daubrun. Il fut séduit en particulier par ses yeux qui lui paraissaient mystérieux. Elle occupa

siècle. Le premier sera « L’Eté » de Theodore de Banville ; et le deuxième un sonnet : « Vent d’été » de Charles Cros. Puis, viendra l’automne, toujours avec des poèmes du XIXème siècle. D’abord « L’automne », d’Alphonse de Lamartine ; puis « Chant d’automne » de Baudelaire. Enfin, l’hiver, encore avec des œuvres du XIXème siècle. Nous commencerons par « Que j’aime le premier frisson d’hiver » d’Alfred de Musset ; pour finir avec « L’Hiver » de Theodore de Banville. Nous avons choisi cet ordre car

ensoleillé et il y ades feuilles partout et puis à un autre il fait très froid et le paysage est blanc, chaque saison à ses caractéristiques, comme en automne par exemple : le paysage à un ton rouge, les feuilles desarbres sont par terre alors qu'en hiver, le paysage est tout blanc : c'est la neige. Toutes les saisons ont des avantages bien à elles. C'est pourquoi nous avons choisi ce thème. Ce cycle peut ressembler àcelui de notre vie : le moment où l'on naît, où l'on est enfant, où encore quand on