L Homme Au Sable Le Fantastique

homosexuel effarouché BEBERT, homosexuel autoritaire CHRISTINE, naïve NADINE, vulnérable EMMANUELLE, poétique FLORENCE, peu effarouchée HENRIETTE, ISABELLE, MICHELLE, stupides Madame SARUD, psychologue très prude MARTHE, femme cachottière ALBERT, homme jaloux Le DIRECTEUR, l’avare Le ou la concierge de service installe de décor et les accessoires : * le pupitre du METTEUR en SCENE (au centre et vers le fond) avec piles de livres, * quelques chaises réparties à droite et à gauche de ce pupitre

vengeait contre son fils. En le frappant et en le rendant sourd, elle la soumis la seule force du torrent qui la tuera, avec lequel il entretient une relation forte mais trouble. On peut dtecter le sens profond de la nouvelle dans cet aphorisme Tout homme porte en soi un crime inconnu qui suinte et quil expie (page 95), cette ide de la culpabilit fondamentale, du pch originel, qui est la base du catholicisme, expliquant lenchanement des fautes de la mre qui a pch dans sa jeunesse et veut expier en

contre son fils. En le frappant et en le rendant sourd, elle l’a soumis à la seule force du torrent qui la tuera, avec lequel il entretient une relation forte mais trouble. On peut détecter le sens profond de la nouvelle dans cet aphorisme : « Tout homme porte en soi un crime inconnu qui suinte et qu’il expie » (page 95), cette idée de la culpabilité fondamentale, du péché originel, qui est à la base du catholicisme, expliquant l’enchaînement des fautes de la mère qui a péché dans sa jeunesse et veut

découverte ! Elle aurait eu l'air tellement ridicule... Pour s'assurer qu'il s'éloignait pour de bon, elle sortit de sa cachette sur la pointe des pieds. Juste à ce moment-là, la porte de communication entre les deux bureaux s'ouvrit en grand. Un autre homme apparut. Vêtu d'un costume sombre à la coupe parfaite, il paraissait si grand, si — si terrifiant, aussi —, qu'elle eut envie de disparaître sous terre. — Que faites-vous ici ? s'enquit-il avec brusquerie. Dans son visage bronzé, ses prunelles sombres

tragédie grecque : La Morïa l'Hybris, et la Némésis. La Moïra est le destin d'un homme, qui lui est attribué à sa naissance. Il définit quel sera son lot de joie, de souffrance, de richesse, et les autres aspects de la vie. On retrouve cette idée dans les diverses remontrances que lui font Done Elvire, Sganarelle et son père, car leur but est bien de remettre Don Juan sur le droit chemin et qu'il fasse ce qu'on attend d'un homme de sa condition. Or on voit que Don Juan refuse d'assumer ses obligations vis-à-vis

celui qui la possède fortune, puissance, amour, et paix de l’âme. Mais il était trop tard désormais. « Hélas ! dit-il en hochant la tête tristement. Quelle pitié ! J’ai seulement réussi à gâcher mon existence et la tienne… — Adieu, mon pauvre homme », répondit le K. Et il plongea à jamais dans les eaux noires. Deux mois plus tard, poussée par le ressac, une petite chaloupe s’échoua sur un écueil abrupt. Elle fut aperçue par quelques pêcheurs qui, intrigués, s’en approchèrent. Dans la barque

Je commençai à manier à plein temps les fusains d’après le modèle vivant [ … ] Il me fallut peu de temps pour prendre conscience qu’aucun enseignement n’était donné dans cette académie. Une femme changée chaque semaine ou parfois remplacée par un homme – se tenait nue sur une table gardant la même pose du lundi au samedi [ … ]. Nous portions des cheveux longs et des chapeaux noirs, insignes de l’état d’artiste. Après quelques mois cette humeur changea. Au vu d’expositions de peintures d’avant-garde

d'innombrables efforts, l'homme d'hier à construit le monde d'aujourd'hui. L'humanité, véritable condensé de cultures toutes différentes les unes des autres, n'a cessé de se protéger contre les dangers auxquels elle fut confrontée durant cette fantastique épopée. Même s'il lui est impossible d'échapper à son funeste destin, l'être humain n'a jamais abandonné l'espoir de reculer les limites de la vie. Certaines populations ne considèrent pas la mort comme une fin en soi. Pour elles, la fin de l'existence

fondateur de la République de Chine et instaura une dictature du parti unique pour imposé à la population le collectivisme sur un dogme communiste. Puis si nous regardons de plus près l’œuvre de Liu BOLIN, au premier plan, on peut apercevoir qu’un homme à été peint de façon de la même manière que l’arrière plan de façon à ce qu’il ne soit effacer de l‘image. Cela n’est pas un hasard si l’artiste à mis l’individu à l’arrière plan c’est pour montré que tout comme à l’époque de Mao ZEDONG, de nos jour

dans mon esprit toute l'espérance humaine. Sur toute joie pour l'étrangler j'ai fait le bond sourd de la bête féroce. J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, avec le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. Et le printemps m'a apporté l'affreux rire de l'idiot. Or, tout dernièrement, m'étant trouvé sur