L Homme Cherche T Il Toujours à Connaître La Vérité

Alain (Émile Chartier) (1946) SPINOZA Un document produit en version numérique par Mme Marcelle Bergeron, Professeure à la retraite de l’École Dominique-Racine de Chicoutimi, Québec et collaboratrice bénévole Courriel: mailto:mabergeron@videotron.ca Site web: http://www.geocities.com/areqchicoutimi_valin Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec

René Descartes Règles pour la direction de l’esprit, 1628 1. Le but des études doit être de diriger l’esprit de manière à ce qu’il porte des jugements solides et vrais sur tout ce qui se présente à lui. ‘’Si donc on veut sérieusement chercher la vérité, il ne faut pas s’ap­pliquer à une seule science ; elles se tiennent toutes entre elles et dépendent mutuellement l’une de l’autre.’’ 2. Il ne faut nous occuper que des objets dont notre esprit parait capable d’acquérir une connaissance

A quoi bon vouloir la Vérité ? Si, « La Vérité n’est pas toujours bonne à dire » comme le maintient le proverbe, pourquoi la rechercher? Cette quête de vérité suppose des efforts, aussi bien sur soi-même que vis à vis des autres. En effet, personne ne peut se flatter de connaître tout sur tout, tel le narrateur omniscient d’un roman ou encore tel le Dieu créateur qui peut voir et aider tous ses fidèles en détresse, chacun doit essayer de découvrir la vérité sur le monde, les êtres et les choses

méthode DISCOURS DE LA MÉTHODE POUR BIEN CONDUIRE SA RAISON, ET CHERCHER LA VÉRITÉ DANS LES SCIENCES. ―――― Si ce discours semble trop long pour être lu en une fois, on le pourra distinguer en six parties. Et, en la première, on trouvera diverses considérations touchant les sciences. En la seconde, les principales règles de la méthode que l’auteur a cherchée. En la troisième, quelques unes de celles de la morale qu’il a tirée de cette méthode. En la quatrième, les raisons par lesquelles il

Descartes est moderne au sens où elle constitue une réaction à la scolastique médiévale, qui privilégiait l�argument d�autorité, en lui susbstituant des arguments basés sur la raison. Elle valorise cependant un mode

philosophe, passe sa majeur partie de vie à Athène où il rencontre Socrate, philosophe athénien qui passait ses journées à l’agora. Socrate, prétendant ne rien savoir, n’a jamais rien écrit. Evoqué par Platon, Aristophane et Xénophon. Chez Platon, Socrate est un héro, chez Aristophane, c’est un chef de secte. Il aurait dit « Nul n’est méchant volontairement. » et aussi « Le corps est un tombeau. ». Socrate meurt exécuté, empoisonné, condamné à boire la ciguë. Condamné à mort pour corruption de la jeunesse

◘ Photomontage destiné à prouver qu’aucun homme n’est jamais allé sur la Lune. Cette prétendue preuve est bien sûr un « faux » (un fake) assez grossier et relève de l’une des innombrables théories du complot portant par exemple sur les extraterrestres (affaire Roswell), les attentats (World Trade Center en 2001, Paris en janvier et novembre 2015), etc. Le point commun à toutes les théories du complot, c’est que selon elles, la version “officielle” des faits est

DESCARTES DISCOURS DE LA MÉTHODE (1637) POUR BIEN CONDUIRE SA RAISON ET CHERCHER LA VÉRITÉ DANS LES SCIENCES Si ce discours semble trop long pour être tout lu en une fois, on le pourra distinguer en six parties. Et, en la première, on trouvera diverses considérations touchant les sciences. En la seconde, les principales règles de la méthode que l'auteur a cherchée. En la 3, quelques-unes de celles de la morale qu'il a tirée de cette méthode. En la 4, les raisons par lesquelles il prouve l'existence

Quel rapport avec la science ? s’il y a des degrés de la connaissance, alors le plus haut degré est ce que nous appelons la science. Quelques considérations sur l’usage courant que nous faisons du terme de science. Il en ressort indistinction, ou confusion. La première indistinction concerne le sujet de la science : quel est-il ? Avant, le sujet de la science, c’était celui qui savait, donc le savant. Aujourd’hui, il semble que la science doive renvoyer à une communauté, que l’on doit appeler

laisser pénétrable à l’objet. Cette définition la conduit à parler des conséquences du manque d’attention, ces erreurs, ces pensées hâtives, précipitées éloignant les hommes de la réalité. L’auteur nous explique ensuite le bénéfice de l’attention, le fait d’en être capable nous amènerait à « la plénitude de l’amour du prochain ». Elle conclut en nous adressant le devoir de l’effort d’attention, même si nous avons commis une erreur l’attention qu’on a porté sera toujours bénéfique pour notre