L Homme Et La Science

a) Le problème du maître, le maître « absent » b) Education et moralité I I I ) ou Conc lus ion : éducation et philosophie ; les 3 limites de la pédagogie 1) le problème de la connaissance : éducation, art et non- science . les limites de ce que savent les sciences 2) l’autonomie de la liberté : les limites de l’histoire 3) La limite de la finalité éducative I II Emmanuel KANT : « Idée d’une histoire universelle du point de vue cosmopolite » Sixième proposition « Ce problème

alexandrins de rimes suivies, Boileau – Poétique définit toutes ces règles. La science : le XVIIème voit naître la science moderne, on regardant le ciel avec un télescope Galilée bouleverse notre conception de la science et de la nature. L’univers clos, ordonnée conçu par Aristote laisse place à un monde ouvert sur l’infini. 1666, Colbert fonde l’Académie royale des sciences qui joue un rôle décisif dans le développement de la science en France. Le roman picaresque est un genre littéraire, il met en scène

Moi et Dieu En me basant sur le titre du livre de Jacqueline Harpmann, je vais tenter de vous exposer mon idée quant à l’apparition de la vie sur terre suivant les thèmes développés aux cours durant la vidéo de Science et foi et des textes sur le créationnisme. Avant de se poser la question de l’existence de Dieu, il faut se poser la question de l’existence de l’homme. Pour moi, il ne s’agit ni d’un hasard, ni de la magie de Dieu mais bien une évolution des espèces. Il n’empêche que, même si la

monde. - l’humanisme est ce qui caractérise le plus Renaissance. Il place désormais homme au centre du monde, on voit monde à travers lui. Il se ressent dans domaine notamment des arts et des sciences. Effectivement, on voit à Renaissance une volonté de sortir des dogmes anciens. Par exemple, LDVinci a effectué plusieurs dissections afin d’étudier l’anatomie. On voit également avec homme de Vitruve qu’il place homme au centre du cercle (le ciel) et du carré (la terre). Ainsi l’homme est au centre du

dans ce cas notre expérience puisse venir s’ajouter à nos sensations. En effet, le jugement artistique d’un homme sera différent selon qu’il sera connaisseur ou non. Par ailleurs, la foi en un Dieu ne peut être expliquée par la science ou par une démonstration quelconque mais relève bien de la vérité. De plus, nous pouvons nous demander d’où viennent nos idées ? Tout comme les goûts d’un homme, les idées sont propres à la personne, il ne peut y avoir d’explication scientifique à tout cela et chacun

technè = technique logos = discours, étude, science Donc technologie désigne l'ensemble des savoirs rationnels relatifs à la technique. → Lien entre activité technique et science fondé sur causalité circulaire : toute activité technique se constitue à partir d'un ensemble de savoirs rationnels, mais, en retour, l’activité technique, par l'intermédiaire des outils et des machines qu'elle engendre, repousse toujours plus loin les limites de la science, élargie le champ de nos savoirs... Illustration :

lycée Périer à Marseille 1. Synthèse: Vous ferez une synthèse objective, concise et ordonnée des documents ci-joints consacrés à la problématique des risques et des progrès dans le cadre de la génétique. Document 1 : Étienne KLEIN, La science nous menace-t-elle ? éd. Le Pommier (2003) Document 2 : Gilbert Charles, la tentation de l’eugénisme, L’express, 14/09/2006 Document 3 : Axel KAHN, Le vivant ne doit pas être à vendre, Propos recueillis par Alix Leduc

guerres de Religion, de 1562 à 1598, qui opposent catholiques et protestants (massacre de la Saint-Barthélémy en 1572). • Sciences : Dans le domaine de la mathématique, les Italiens sont les premiers à accomplir des progrès déterminants en algèbre (les chiffres négatifs, la racine carrée, le signe égal). Cette époque à aussi servi de tremplin pour toutes les sciences utiles à la santé et à la médecine avec la première dissection effectuée par André Vésale en Italie. Créateur de la chirurgie

Platon, Ménon SOCRATE : Qu'on ne puisse bien diriger ses affaires qu'à l'aide de la raison, voilà ce qu'il n'était peut-être pas correct d'admettre ? MÉNON : Qu'entends-tu par là ? SOCRATE : Voici. Je suppose qu'un homme, connaissant la route de Larisse ou de tout autre lieu, s'y rende et y conduise d'autres voyageurs, ne dirons nous pas qu'il les a bien et correctement dirigés ? MÉNON : Sans doute. SOCRATE : Et si un autre, sans y être jamais allé et sans connaître la route, la trouve par

definir sur le polycop) déroutant pour un esprit scientifique (sphère infinie dont le centre est partout et le circonférence nulle part) Comment l’argument des merveilles de la création comme preuve de l’existence de Dieu serait-il réfutable pour un homme incapable de comprendre par la pensée l’organisation de l’Univers (puisqu’il s’y perd...). c) Le retour à l’homme et les conclusions de la démonstration Après cette évocation brillante de la toute puissance divine, Pascal revient à l’Homme pour