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Philosophes des lumières vont remettre en question la monarchie absolu française sous tout ses aspects . Voltaire va garder de la Fontaine l’idée que c’est en racontant des histoires qu’on peut faire passé des idées . Nouveau genre inventé : le comte philosophique. A travers le comte philosophique Voltaire veut raconter un comte pour diffuser les idées des lumières et sa prend en compte la réalité de son époque . Comte traditionnel => Morale . Ce comte est localisé contemporain ( 18e siècle ) évoque

Histoire et code du luxe version finaleLe costume tel qu’on le connait aujourd’hui n’a pas toujours été comme ca. Il a connu une évolution significative. Il s’agit d’un costume trois pièces composé d’une veste et d’un pantalon assortis. Au 18eme siècle, sous l’ancien régime, les aristocrates sortaient le costume, mais qui était au style très chargé avec des broderies, des rubans et des couleurs vives . Il a été remplace par l’habit à queue , plus sobre, qui apparait en 1666 instauré par le

Histoire Littéraire – Notes 08.10.10 Dimension de l’historicité des textes littéraires : I. II. III. IV. V. La chronologie & la mémoire Quel est le sens d’un texte Qu’est-ce que le contexte d’un texte Qu’est-ce qu’une période historique La variabilité historique des instances littéraires. I. La chronologie 2 notions : éléments : successifs [vs] contemporains. Mémoire : donnée affective, transmet le temps à travers investissements personnels. Chateaubriand, Mémoire d’Outre-Tombe :  Commence

intellectuelle avec une formation physique. Cette approche éducative équilibrée favorise la croissance complète de Gargantua, tant sur le plan intellectuel que physique, ce qui en fait un individu polyvalent et compétent. 2) Gargantua subit une métamorphose tout au long du récit, passant d'un géant aux appétits voraces à un homme érudit, sage, et réfléchi. Cette transformation s'exprime à la fois sur le plan physique, intellectuel, moral, social, et spirituel. C'est un thème central du récit de François

poètes prétendent souvent que les droits de l’homme sont bafoués dans la religieux (Les Tragiques), ou la politique, ou la guerre (La Rose te le Réséda). Ils cherchent à révéler la vérité au peuple, dénoncer, transmettre un message d’espoir comme le fait Louis Aragon avec son poème de lutte et d’espérance de victoire. Mais aussi de défendre des valeurs, Paul Eluard avec son poème qui soutient la Résistance. Quant à Victor Hugo, il rend hommage à Napoléon Bonaparte. Le poète se doit de toucher le

enfants. -Katabolonga. Il vient du peuple des rampants. Il est grand et fin. Il est un ancien ennemi de Tsongor, le dernier de son peuple. A l’époque il s’est présenté au roi avec le désir d’avoir le droit de le tuer, en vengeance du massacre qu’à subit les siens. Le roi a alors conclu un pacte avec lui. Katabolonga a été désigné porteur du tabouret d’or, et devint le plus fidèle des serviteurs. -Sako et Danga. Jumeaux, ils sont les fils aînés de Tsongor. Ils sont nées à deux heures d’intervalles

des frontières avec plusieurs pays : Le Brésil, le Guyana, la Colombie et la mer des Caraïbes. Le Venezuela est divisé en quatre régions géographiques: le littoral; la région montagneuse, les llanos et les plateaux de la Guyane vénézuélienne. Histoire : Le Venezuela fut découvert lors du troisièmes voyages de Christophe Colomb, le 2 aout 1498. Il donna le nom d’indiens aux habitants du Venezuela. Il y eut des dizaines d’expéditions sur cette terre, les indiens étaient envahit mais par la

 François Mauriac (1885-1970) Chapitre VI (la suite) Question 1: Comment est décrite la relation entre Jean et Anne dans la perspective de Jean (des citations) Pour Jean, il s’agit d’une histoire d’amourette banale qui choque un peu Thérèse (au moins, au début de leur conversation) ; pour lui, c’est un jeu innocent qui n’est pas allé trop loin. «  Je mesurai d’un coup d’œil, avec stupeur, cet abîme entre la passion d’Anne et l’indifférence du garçon. Il se défendait avec feu : certes, comment

très sévère de sa mère, fervente chrétienne, qui marquera toute sa vie et son œuvre. Son père meurt lorsqu’il est encore très jeune. Il fait ses études secondaires dans sa ville natale, prépare une licence de lettres à la faculté puis quitte Bordeaux en 1907 pour tenter à Paris le concours de l’École des Chartes. Entré à l’École l’année suivante, il n’y fait qu’un bref séjour et démissionne dès 1909 pour se consacrer uniquement à la littérature. Il se tourne dans un premier temps vers la poésie

de souvenirs de son autre vie, la « vie d’avant ». Le lecteur ne connaît ni le nom de cet homme, ni ce qu'il a fait pour être condamné, mis à part la phrase : « moi, misérable qui ai commis un véritable crime, qui ai versé du sang ! ». L’œuvre se présente comme un témoignage brut, à la fois sur l’angoisse du condamné à mort et ses dernières pensées, les souffrances quotidiennes morales et physiques qu'il subit et sur les conditions de vie des prisonniers, par exemple dans la scène du ferrage des forçats