L Homme Nouveau Nazi

L'individu est totalement soumit à l'état. C'est un principe que résume très bien Mussolini : « L'individu n'est rien, l'état est tout ». La liberté individuelle ne peut donc plus exister car l'état décide de tout. La vocation du régime est de créer un homme nouveau, soumit à l'état. Malgré tout, ces idéologies totalitaires ont toutes un but différent. En URSS, l'objectif est de réaliser le communisme. La société doit être sans classes et sans état. Le parti communiste gère alors le pays jusqu'à la mise

peuvent avoir différentes valeurs selon le contexte.  LE PRESENT DE L'INDICATIF Présent d’énonciation : ancré dans la situation d’énonciation, c’est le présent du moment où l’on parle. J’étais mort et j’avais perdu ma femme. Aujourd’hui je suis un homme médiocre. Je marche et je rêve. Présent de narration : rapporte au présent des actions passées. Il rend l’action plus vivante, donne une impression de “direct” alors que les faits appartiennent au passé. La nuit était sombre. Un cri déchira la nuit

émissaire dans nos sociétés et explique pourquoi l’exclusion d’une personne, mécanisme « naturel » et constant dans l’histoire de l’humanité, permet aux collectivités de se souder et de perdurer. la tentation de la violence l’utopie d’un monde nouveau Dans « La Vague  » La violence est insidieuse, rampante, et n’éclate réellement que lors du match de water-polo. Gagner la partie devient alors une question de vie ou de mort. Dans « La Vague » Un des personnages, timide, mal dans sa peau

œuvres qui sont contre les idées d'Hitler ou qui suscitent à la réflexion intime de l'individu qui est censé ne pas penser, avant d'être brulées dans les autodafés. En second lieu, le nazisme doit se faire connaître des autres pays. L'art officiel nazi commence effectivement par le stade olympique de Berlin construit à l'occasion des Jeux Olympiques de 1936 en Allemagne qui étaient l'occasion de diffuser l'idéologie nazie. Ceci se poursuivra d'ailleurs jusqu'à un certain paroxysme car lors de ces

1800 1900 X 2000 Je situe le lieu de création Mes premières impressions, ma première réaction : (présentation rapide) La sculpture est composée de deux personnages, à droite, nous observons un homme aux cheveux courts. Un pied en avant, il brandit un marteau . A gauche, nous voyons une jeune fille, le pied en avant elle brandit une faucille qu’elle joint au marteau tenu par l’homme. La faucille et le marteau sont d’ailleurs des emblèmes figurant

filles qui se met à siffler l’air de Peter Gynt de Grieg lorsqu’il entre en crise, ne peut pas s’expliquer en effet uniquement par des considérations d’ordre psychologique. Cet homme, rongé par la solitude et le désoeuvrement, qui rôde autour des préaux et qui offre aux enfants des sucreries ou des ballonnets, est un homme qui souffre d’abord d’un mal social. En lui, les contradictions d’un régime économique et politique atteignent un stade de virulence dangereuse et sa maladie psychique n’est en

Le Führer dans le système nazi : interprétations et débats L’école historique allemande dite des « intentionnalistes » insiste sur la primauté de Hitler dans le fonctionnement du régime. La forme extrême de pouvoir personnel et de culte de la personnalité autour du Führer ne serait pas compréhensible sans son « pouvoir charismatique ». Cette notion importante est empruntée au sociologue Max Weber : Hitler se considère depuis 1920 comme investi d’une mission providentielle, et surtout, il est considéré

2 Combat politique 2.1 Hitler en 1919 2.2 Orateur charismatique du parti nazi (1919–1922) 2.3 Putsch manqué de Munich (9 novembre 1923) 2.4 Constitution définitive d'une idéologie (1923–1924) 2.5 Réorganisation du parti (1925–1928) 2.6 « Résistible ascension » (1929–1932) 3 Accession au pouvoir absolu 3.1 Destruction de la démocratie (1933-1934) 3.2 Absence de concurrence 3.3 Culte du Führer 3.4 Système nazi : interprétations et débats 3.5 Les Allemands et Hitler 3.6 Politique économique

Nous pouvons nous demander quels sont les points communs et les différences entre ces deux régimes totalitaires. Après avoir étudié leurs ressemblances, nous étudierons ce qui fait leur originalité. Tout d’abord, les idéologies fascistes et nazies sont semblables parce qu’elles mobilisent la masse, que ce soit en Italie ou en Allemagne. Mussolini encadre la population dès son plus jeune âge, les enfants doivent très tôt apprendre les principes du régime comme les manifestations, la discipline

Mussolini .La Démocratie est fragile. En Allemagne violence et mécontentement après la guerre (traité de Versailles considéré comme un diktat) et tentative de coups d’état, violence des SA sections d’assaut, organisations paramilitaires du parti nazi. Les nazis progressent au cours des élections sous la pression de la violence. En1929 la crise économique et sociale gagne l’Allemagne. La République de Weimar née en novembre 1918 est rejetée par certains. 2. Ascensions au pouvoir dans la