L Homme Providentiel

platine; coquetterie; jolie; a du chic; comtesse; femme de Rudolph; née Goldenberg; ravissante; fille cadette de Linda Arden [voir Caroline Martha Hubbard]; Américaine; sœur de Sonia Armstrong: laissée libre.Andrenyi, Rudolph.Costume anglais; très bel homme; trentaine d'années; fines moustaches blondes; appartient à l'ambassade de Hongrie; comte; large d'épaules; mince de taille; taille : six pieds; pommettes saillantes; très bien habillé; antipathie pour Ratchett; diplomate; a pas l'air commode; noble

semble capable de réconcilier tous les partis, du moins en apparence . Napoléon ne veut pas prendre, il veut qu’on lui offre , ce que fait volontiers un peuple disposé à abdiquer une partie de ses droits en faveur d’un gouvernement fort incarné par un homme agissant, restaurant et ordonnant. Poussé par sa popularité, Napoléon pourrait bien avoir gravi les échelons du pouvoir plus vite que ne l’avait rêvé son incommensurable ambition. Et il les dégringola plus vite encore, ne pouvant se maintenir, contre

Adolf Hitler, né le 20 avril 1889 à Braunau am Inn en Autriche (alors en Autriche-Hongrie) et mort par suicide le 30 avril 1945 à Berlin, est un homme politique allemand, fondateur et figure centrale du nazisme, instaurateur de la dictature totalitaire désignée sous le nom de Troisième Reich (1933-1945). Porté à la tête de l’Allemagne par le Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP) qu’il reprend en 1921, il devient chancelier du Reich le 30 janvier 1933, puis se fait plébisciter

occuper les charges importantes de président du conseil et de ministre de la guerre. En effet, il apparait aux yeux de tous, comme étant « l’homme providentiel » pour résoudre la situation difficile que connait la France cette année-là, du fait de ses connaissances diplomatiques et militaires, mais aussi et surtout parce qu’il incarne l’image d’un homme fort, et déterminé par ses convictions républicaines ; son mot d’ordre est « vaincre ou mourir ». Ce discours doit son caractère ferme et autoritaire

voltaire Plan de la fiche 1. L’apprentissage du monde 2. Un conte oriental 3. La structure narrative 4. Un texte satirique 5. Zadig, le bonheur et la Providence 6. La modernité et la facilité du conte L’apprentissage du monde Zadig est un jeune homme plein d’humanité et de moralité qui sait dominer ses passions. Premier ministre du roi Moabdar, il fait « sentir à tout le monde le pouvoir sacré des lois », comme l’écrit Voltaire au chapitre VI. Mais comme Candide, il ressent douloureusement, dès

comme le montre l’attitude du juge hollandais, vainement sollicité par Candide.     Qui est Martin ? Quel rôle joue-t-il dans le système des personnages du conte ?         Martin incarne dans le conte la philosophie pessimiste.           C’est un homme meurtri par la vie, que Candide recrute à Cayenne à l’occasion d’un étrange concours : il avait promis d’embaucher comme serviteur l’homme qui aurait vécu les plus grands malheurs. Martin est un sage, un savant, très cultivé, mais aigri. Ses malheurs

devenue un rassemblement à la guerre de 100 ans pour les Anglais. Pour les Français, la langue n’est pas signe d’unité, car les langues sont différentes selon les régions, comme les coutumes, le signe d’unité sera le fait d’être soumis à un seul et même homme, qui est le Roi. Le Roi de France est le plus puissant de l’Europe, et donc cela flatte les Français. Ces deux nations se sont constituées sur des bases totalement différentes. II- Les Définitions modernes de la Nation A- La Conception Française :

des 1ères mesures de Pétain quand il obtient les plein pouvoir le 12.07.1940 à Bordeaux est de suspendre la République. Il a les pleins pouvoirs : l’Etat Français. Lorsqu’il arrive au pouvoir, il déclare à la radio qu’il se présente comme l’homme providentiel, qui fait don de sa personne à la France. Mais, il arrive au pouvoir avec un projet politique : redressement national proche de Franco en Espagne ou du fachisme italien de Mussolini. Il va chercher à promouvoir une véritable révolution nationale

paysans sont déçus dans leurs aspirations, et se considèrent trahis. La bourgeoisie rurale entre à nouveau en scène, et joue du discours démagogique pour ancrer chez les paysans la haine de la République. Et les paysans trouvent bientôt leur « homme providentiel », avec Louis-Napoléon Bonaparte : la légende napoléonienne constamment entretenue explique le succès écrasant du 10 Décembre 1848, qu’on à très tôt envisagé comme « l’insurrection des paysans » (la formule est de Marx, si je ne m’abuse). Les

suprême a dit : « Le chef de l’État ne peut dépendre que de l’idée qu’il a de l’intérêt public et des suffrages du peuple qui l’a élu ». L’élection est l’aboutissement le plus absolu de la démocratie représentative. La nation, le mandant, confie à un homme, le mandataire, la charge d’exercer en son nom une fonction politique. L’élection du chef de l’Etat revête une importance particulière dans la mesure où le président est, dans la V° République, la « clé de voûte » des institutions, l’homme fort du