L'Homme qui aimait les femmes

l’avait voulu, persuadée que la tranquillité d’un refuge isolé réussirait à tempérer l’humeur mélancolique qui semblait s’être emparée de son mari. Elle avait eu l’adresse, néanmoins, de faire passer ce choix pour un caprice personnel, offrant à l’homme qu’elle aimait le plaisir de le lui pardonner.» (p.88) Aussi, dans les années 1960, on considérait le Japon comme étant à l’autre bout du monde. Il n’est pas étonnant qu’Hélène soit très peureuse et inquiète par rapport aux grands voyages de son mari. Elle

sur les vêtements de la femme et de l’homme). L'habit de l'homme est composé de rectangles (associés à la virilité), qui s'opposent aux cercles (qui symbolise la grossesse) et aux fleurs qui ornent celui de la femme. Ces deux motifs se complètent. Le Baiser est doté d’une forte valeur décorative : sur un fond doré, brillant et constellé d'étoiles. Klimt privilégie la surface à la profondeur. Un couple s'embrasse au milieu d'une prairie fleurie. L'homme est debout, et la femme est agenouillée

I- La condition de la femme au début du XX eme siècle: une grande inégalité 1/ Inégalité homme/femme En 1789, par la Déclaration des Droits de l’Homme était affirmé le principe d’égalité des hommes, mais la moitié des hommes qui sont des femmes en étaient exclues tant dans le domaine politique que social. Dans le domaine économique et social, la lutte est étouffée dans l’œuf pour plus d’un siècle : le code civil napoléonien de 1804, qui sera le fondement social jusqu’aux années 1960, cantonnera

présenté relativement négativement (chap.2 le serrage de mains « celle de Norbert de Varenne, humide et froide et fuyait en glissant entre les doigts »). Personnage qui est présent tout au long du roman avec un regard très pessimiste de la vie: l’homme doit mourir et ne peut regarder que vers la mort. Cependant ce personnage ne meurt pas. Il sermonne Duroy à des moments importants tel que le duel (I, 6). Dans le roman, il offre un regard contrasté avec ceux mis en scène, c’est-à-dire qu’il est quasiment

qu'Yvain le preux chevalier a un amour courtois pour sa dame, . ( définition amour courtois : Il désigne l’amour profond et véritable que l’on retrouve entre un prétendant et sa dame. Au Moyen Âge, on lui attribuait certaines particularités courantes : l'homme doit être au service de sa dame, à l'affût de ses désirs et lui rester inébranlable de fidélité )L'auteur, depuis le début du livre, vante les valeurs d'Yvain, qui est donc : courage, force, fidélité, endurance et défense des plus faibles. Hors lorsqu'il

connu pour faire des blagues grivoises en fait notamment une ici sur les cuisses des jeunes filles : «  Pourquoi est-ce que les cuisses d'une demoiselle sont toujours fraîches » > langage cru , obscène pour mieux rire de l’Homme. Argument 2 :L e rire est aussi lié à l’excès et au gigantisme (au merveilleux aussi).Exemple 1: Dans le chapitre 4, chapitre qui conte un épisode de fête , énumération de viandes durant le banquet qui prends une allure d’orgie

d’étude : Convaincre, persuader, délibérer Texte : Alphonse Daudet, Lettre de mon moulin, «La légende de l’homme à la cervelle d’or » 1869 Alphonse Daudet est un écrivain et conteur dramatique du XIXème siècle, il a écrit de nombreux recueils et de poèmes dont le recueil intitulé : Les lettres de mon moulin écrit en 1869, qui est devenu aujourd’hui son oeuvre le plus connu. « La légende de l’homme à la cervelle d’or », extrait des lettres de mon moulin, est dit adresser à « la dame qui demande des

réalisation ou adaptation de films, tout en continuant à écrire des pièces de théâtre plus ou moins longues. La Nuit de Valognes a donc été écrite d’un seul jet en 1991 et est paru la même année. La pièce de théâtre relate la vengeance de cinq femmes ayant été trahies par Don Juan. Elle aborde donc les thèmes de la vengeance, remarquable avec les mots « condamnerons » (I, 5, l.117), « procès » (l, 5, l.115), ou encore « amertume » (I, 6, l.55), de la séduction, ce que l’on constate avec « compliments »

droits de l’Homme. Il dénonce le racisme ordinaire de notre société vis à vis des immigrés à qui on ne confie que les « sales boulots ». 2ème question : Dans ces mêmes textes, montrez les différences de réaction de ces trois femmes face à l'adversité. Justifiez votre réponse. (3 points) Marcelline est ouvertement révoltée contre Batholdo, contre les hommes qui se comportent comme lui. Elle est révoltée aussi contre la société qu’elle considère comme injuste vis à vis des femmes. Ses mots

"Tu éprouves encore le besoin, à la veille de ton initiation, de traverser un ruisseau pour aller quémander des morceaux de sucre à cet homme-femme blanc que tu ne connais même pas !" (Page 17). Toundi alla trouver refuge chez le Père Gilbert, « l'homme blanc aux cheveux semblables à la barbe de maïs, habillé d'une robe de femme, qui donnait de bons petits cubes sucrés aux petits noirs » (page 16). Le Père Gilbert lui remit une culotte kaki et un tricot rouge. Toundi devint ainsi son boy. Deux jours