L Homme Responsable De Ses Actes Freud

definir sur le polycop) déroutant pour un esprit scientifique (sphère infinie dont le centre est partout et le circonférence nulle part) Comment l’argument des merveilles de la création comme preuve de l’existence de Dieu serait-il réfutable pour un homme incapable de comprendre par la pensée l’organisation de l’Univers (puisqu’il s’y perd...). c) Le retour à l’homme et les conclusions de la démonstration Après cette évocation brillante de la toute puissance divine, Pascal revient à l’Homme pour

lui parle, qu’on l’associe aux prières ou aux sacrifices, qu’on lui accorde la moindre goutte d’eau lustrale. (..) Voilà comment j’entends servir et le dieu et le mort. Je voue le criminel. 4» Donc la première loi réfutée est le meurtre, et le responsable est voué criminel et puni pour le bien de toute la cité. Œdipe ruinera la cité par sa démesure, car il apprendra par Tirésias, le devin, qu’il est coupable du meurtre de l’ancien roi, son père, Laïos. L’Oracle de Tirésias démontre Œdipe comme

« Le commerce de l’enfant avec la personne qui le soigne, écrit Freud, est pour lui une source continuelle d’excitation sexuelle et de satisfaction partant des zones érogènes, d’autant plus que cette dernière (en général, la mère) fait don à l’enfant de sentiments issus de sa propre vie sexuelle, le caresse, l’embrasse et le berce, et le prend tout à fait clairement comme substitut d’un objet sexuel à part entière. » [1]. Et Freud d’ajouter que la mère serait effrayée de savoir ce qu’elle fait.

supérieurs aux hommes les plus stupides. Entre l’homme le plus stupide et l’animal le plus intelligent, il y a la différence du langage, que tous les hommes possèdent, et que ne possède aucun animal. Le fou, malgré le désordre de sa pensée, reste un homme capable de construire un discours élémentaire. Le langage est le signe extérieur de la pensée, d’une vie consciente intérieure, ce qui fait de l’homme un être à part dans la nature. Le langage témoigne donc de la pensée et celle-ci n’aurait

seul dans la | | |réalité, la pensée abstraite ne tient pas compte du concret. | | |Chez Kant, l’abstraction fait partie des actes de l’entendement qui produisent les concepts. | |absurde |Qui est contraire à la raison, qui s’oppose au bon sens. | |

De plus, si les hommes pense au passé c'est qu'il n'est pas encore terminé. C'est d'ailleurs pour cela que l'homme fait acte de mémoire. Il conserve et restitue les choses du passé en les représentant sous une forme mentale. Le psychanaliste Freud explique qu'on détient toujours en nous des souvenirs, notamment lors de nos rêves, et que le passé est inscrit quelque part même si il est inconscient. Marcel Proust s'est aussi positionné sur la question de mémoire. Pour cet écrivain la mémoire marche

dans F1. Entre crochets également les divisions en scène et les précisions didascaliques absentes de Q2. (Bien souligner le caractère artificiel et avant tout pratique de ces divisions : dans Q2, pas de divisions en actes et en scène ; divisions pour actes I et II dans F1, mais pour actes III, IV et V seulement en 1676 : ne correspond sans doute pas au rythme originel de la représentation shakespearienne)  Texte plus proche de l’écriture, qui entreprend de donner une image « complète » de la pièce

« Le commerce de l’enfant avec la personne qui le soigne, écrit Freud, est pour lui une source continuelle d’excitation sexuelle et de satisfaction partant des zones érogènes, d’autant plus que cette dernière (en général, la mère) fait don à l’enfant de sentiments issus de sa propre vie sexuelle, le caresse, l’embrasse et le berce, et le prend tout à fait clairement comme substitut d’un objet sexuel à part entière. » [1]. Et Freud d’ajouter que la mère serait effrayée de savoir ce qu’elle fait.

question du normal et du pathologique Il ya deux modèles de maladie et on ne va pas catégoriser ni traiter de la même manière selon les eux modèles de maladie. Ces deux modèles coexistent, l’un n’a pas raison et l’autre n’a pas tord. En psychanalyse, Freud passe par le modèle pasteurien pour arriver à un modèle hippocratien. Il y a donc deux manières de définir le normal et le pathologique. Pour déterminer la normale, le premier grand critère est l’adaptabilité sociale à la norme sociale. Par exemple

tout individus, de toutes sciences, car encore aujourd’hui, l’origine de la ou les religion(s) reste un phénomène abstrait, sans possibilité de donner un argument fiable sur ses fondements. D’où de nombreux hommes comme les philosophes tels que : Freud, Feuerbach, Nietzsche, Cicéron, les sociologues comme Marx, Durkheim cherchent à expliquer, à comprendre les bases de la religion. Ainsi, pourquoi la religion est- elle considérée comme un phénomène mondial et social ? Poser la question revient à s’interroger