L Hyperinflation Dangereuse Pour La Democratie

brutal pour supprimer la diversité. Il s’agit alors de vider un territoire pour y installer ses propres ressortissants (Allemands d’Europe orientale) ou pour renforcer le contrôle (en Sibérie pour les collaborateurs des nazis). On oppose les démocraties qui se méfient de la diversité (la France marque une différence entre sphère privée et sphère civile où l’individu est avant tout citoyen = intégration républicaine) et celles qui la promeuvent (les USA cultivent le multiculturalisme et un enrichissement

1.1.1 - Sociologie et modernité Entre le XVIIIe et le XIXe siècle, les profondes transformations qui affectent les sociétés occidentales font apparaître des problèmes qui méritent un regard nouveau. L’industrialisation, l’urbanisation, la démocratie signalent l’émergence d’une société dans laquelle l’individu est pensé comme sujet autonome, affranchi des ensembles communautaires qui encadraient son existence. La sociologie naît avec la modernité et la première question qu’elle traite est

participer au bénéfice de la production. Proudhon refuse la propriété de la forme de travail, refus du capitalisme à outrance "Le gouvernement de l'homme pour l'homme, sous quelques noms qu'il se précise est oppression. Se méfie droit de vote/ démocratie. Prévoit système d'autogestion fédéraliste. (producteurs vont s'associer dans l'autogestion, Fédération dans coopératives de producteurs). Etat disparaît en fin de compte. Mais utopique/ système conçu à l'echelle de l'atelier. Louis Blanc Socialiste

corruption et mauvaise gestion. Le 12 décembre 1984, alors qu'il assiste au onzième sommet franco-africain de Bujumbura, le colonel Haidallah est renversé par son chef d'état-major, le colonel Maaouya Ould Sid Ahmed Taya. Le colonel Ould Taya ou la « démocratie autoritaire » Maaouya Ould Sid Ould Taya appartient aussi au sérail militaire, mais les premières mesures qu'il prend, libération des prisonniers politiques et promesse d'un pouvoir plus ouvert, font bonne impression. La sortie du conflit saharien

qu’on supprimât d’un trait de plume législatif leur « puissance paternelle ». Le contraire de la puissance est l’impuissance, songeaient les plus égrillards ou les plus fragiles. Ces élus du peuple n’avaient aucune envie de faire descendre la démocratie dans l’arène privée. Ce « gouvernement collégial » de la famille leur rappelait les délices et poisons de la IVe République. Ils refusaient que le juge mît son nez dans leurs affaires au nom de la conciliation des époux ; et dénonçaient d’avance

pratique donnent une place centrale au parlement, lieu central du débat démocratique. Mais le suffrage universel, qui s’exprime périodiquement lors de élections générales, introduit dans ce système libéral, où prédominent les notables une large dose de démocratie. Si la IIIe République a su mener le pays au travers des difficultés de la Grande Guerre, il apparaît à beaucoup peu adapté aux réalités nouvelles qui se posent. Dans quelle mesure doit-il évoluer ? A quels nouveaux débats se trouve-t-il confronté

. . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 314 Pas de gouvernement : une chance pour l’Europe ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 316 La Turquie et la démocratie européenne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 319 Quelle grande république européenne ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 321 Le coup de

traditionnelles », devient un instrument de la critique des « déviations politiques », essentiellement observées dans les pays périphériques. Ainsi, aux mains des politistes américains et de leurs partenaires d’autres pays, préoccupés par la « qualité de la démocratie » et socialisés dans les théories des transitions démocratiques forgées vers la fin des années 1970, le « clientélisme » apparaît comme un pur échange de biens contre du soutien politique, faisant des « pauvres » les « otages » des « patrons ».

Brésil et du Mexique). Par ailleurs, la Corée a fait valoir l’avantage comparatif d’une main-d’œuvre préparée par l’Etat à affronter le marché mondial. En ce qui concerne la politique salariale et la formation, cela a été accompagné d’une absence de démocratie syndicale. De la même manière, la croissance des exportations coréennes révèle la capacité de cette économie à s’adapter durablement au commerce international grâce à une politique industrielle efficace. Et finalement, il est nécessaire de souligner

monnaie sur le yuan représentent moins de 4 % du produit intérieur brut (PIB) américain. Une augmentation de ces produits de 30 % se traduirait par un taux d’inflation de 1,2 %. Ce n’est pas insignifiant, mais assez éloigné tout de même d’une hyperinflation à la zimbabwéenne (4) qu’évoquent certains commentateurs en frissonnant... A titre de comparaison, l’envolée des cours du pétrole, passés en 2008 de 70 à 150 dollars le baril en moins d’un an, a coûté 2 % du PIB aux Etats-Unis. Pourtant, même