L Hérédité De Gervaise

jeunesse, souvent déjà il s'était questionné. Sa mère Gervaise, il est vrai, l'avait eu très jeune, à quinze ans et demi ; mais il n'arrivait que le second, elle entrait à peine dans sa quatorzième année, lorsqu'elle était accouchée du premier, Claude ; et aucun de ses deux frères, ni Claude, ni Etienne, né plus tard, ne semblait souffrir d'une mère si enfant et d'un père gamin comme elle, ce beau Lantier, dont le mauvais coeur devait coûter à Gervaise tant de larmes. Peut−être aussi ses frères avaient−ils

jeunesse, souvent déjà il s’était questionné. Sa mère Gervaise, il est vrai, l’avait eu très jeune, à quinze ans et demi ; mais il n’arrivait que le second, elle entrait à peine dans sa quatorzième année, lorsqu’elle était accouchée du premier, Claude ; et aucun de ses deux frères, ni Claude ni Étienne, né plus tard, ne semblait souffrir d’une mère si enfant et d’un père gamin comme elle, ce beau Lantier, dont le mauvais cœur devait coûter à Gervaise tant de larmes. Peut-être aussi ses frères avaient-ils

jeunesse, souvent déjà il s’était questionné. Sa mère Gervaise, il est vrai, l’avait eu très jeune, à quinze ans et demi ; mais il n’arrivait que le second, elle entrait à peine dans sa quatorzième année, lorsqu’elle était accouchée du premier, Claude ; et aucun de ses deux frères, ni Claude, ni Étienne, né plus tard, ne semblait souffrir d’une mère si enfant et d’un père gamin comme elle, ce beau Lantier, dont le mauvais cœur devait coûter à Gervaise tant de larmes. Peut-être aussi ses frères avaient-ils

comment il doit être. Il entrera, il dira : Je viens te prendre. Alors, je dirai : Je t’attendais, prends-moi. Il me prendra, et ce sera fait, pour toujours. (Op. Cit., III, p.) Et pour en rester avec Zola, il est évident que Jeanne nous rappelle Gervaise, l’héroïne de L’Assommoir (1877), saisie parfois d’une volupté paresseuse qui l’entraîne à sa perte aussi sûrement que le déterminisme social. Mais Maupassant évoque encore Balzac avec comme nous avons pu le voir plus haut la peinture de la province

Bref Sacre de Charlemagne, empereur d’Occident. Refonte des règles bénédictines par saint Benoît d’Aniane Serments de Strasbourg Traité de Verdun. Partage en trois de l’empire de Charlemagne (Francia : part de Charles le Chauve) Invasions normandes Hérédité des charges publiques, première étape vers la féodalité Fondation de l’ordre de Cluny Sédentarisation des Normands après un don du territoire (la Normandie) À l’étranger 842 843 IXe siècle 877 909 911 962 Fondation de l’Empire germanique

Ex. : enfance de Thérèse (ch. II) et dénonciation de l’hypocrisie générale avec l’évocation du voyeurisme et de la sexualité refoulée (ch. XIII, à la morgue). 3e § : le lecteur comprend que Thérèse Raquin est une victime de son tempérament, de son hérédité et de la société => dimension tragique du roman. Ex. : les remords de Thérèse (ch. XXIX) et son suicide (ch. XXXII). b. Temps de l’action : – l’action dure environ quatre ans sans compter les analepses ; – principales pauses : ch. IV, description