L Hérédité De Gervaise

comportant 17 volumes. Il s’agit du 7ème volume qui met en scène Gervaise Maquart, héroïne de ce roman. Zola met en scène une classe très populaire et il s’attache à montrer les’ tares’ héréditaires. Ce roman est sombre, naturaliste mais aussi réaliste. Pour écrire, Zola a étudié, documenté. Dans les livres de Zola, on retrouve certains thèmes : hérédité, misère, souffrance, alcoolisme ... Ici, nous sommes dans l’incipit où Gervaise se trouve dans un hôtel, attendant son compagnon. → Lecture Pb possible :

Le personnage de roman. Introduction : Le roman choisit est « L’assommoir » d’Emile Zola. Ce roman raconte l’histoire de Gervaise, une jeune provinciale montée à Paris avec ses deux enfants et son amant. A travers son histoire, son ascension puis sa chute sociale, morale et économique, il aborde le rapport entre l’alcool et les hommes au 19ème siècle. Zola dépeint dans son œuvre les ravages et la misère provoqués par l’alcoolisme. Il fut publié en feuilleton dès 1876 et mis en volume en 1877

plusieurs romans dont Roman Expérimental. Thèse naturaliste : utilisation sciences contemporaines : travaux Claude Bernard et traités Dr Lucas. Données scientifiques (médicales, physiologie, biologie) surtout hérédité, Zola raconte fictions en montrant vie personnages = résultat 2 déterminismes : hérédité et milieu social. Etudes « sociologiques » de son temps. Tous romans Zola pas partie mais essentiellement regroupés sous titre « Rougon-Macquart » sous-titre : Histoire Naturelle et Sociale d’une Famille

données de l'expérience * souci d'objectivité (d'où la focalisation externe, neutre, oeil indifférent) Les Rougon-Macquart sont une somme de 20 romans, comme autant d'expériences naturalistes, qui mettent en scène des personnages avec une lourde hérédité dans un milieu particulier (ouvrier, minier, bourgeois, etc.) À travers cette époque dans l'histoire de la littérature, on ne retrouve pas de sujets tabous, ni de limite dans les oeuvres. Les auteurs montrent la société comme elle est : on délaisse

1 : Au début du roman, Gervaise et sa famille vivent dans la ville de Paris à l'hôtel Boncoeur qui se situe au boulevard la Chapelle dans le quartier de la Goutte d'or. Question 2 : Au début du roman, Gervaise est inquiète car cela fait huit jours que Lantier rentre tard le soir et ce jours là pour la première fois il découchait. Question 3 : Virginie n'a pas arrêté de provoquer et de rabaisser Gervaise qui venait de se faire abandonnée par Lantier. De ce fait Gervaise lui lança un sceau d'eau

L’extrait que nous allons étudier est l’excipit du roman, lequel dépeint la mort pitoyable de l’héroïne Gervaise de façon progressive : Zola décrit rapidement les faits entraînant Gervaise dans la mort, puis raconte comment son corps est retrouvé. Comment Zola précipite-t-il crûment la fin de son héroïne ? Dans une première partie, nous parlerons de la mort lente, douloureuse et dégradante de Gervaise après sa vie désastreuse ; et dans une seconde partie nous parlerons de l’indifférence et de la cruauté

Les enfants de Gervaise Résumé des œuvres où apparaissent les enfants de Gervaise. La bête humaine : Jacques Lantier est mécanicien à la Compagnie des Chemins de fer de l'Ouest. Depuis sa jeunesse, il est tenaillé par le désir de tuer. Ici son désir fait surface et tente de tuer la fille de sa marraine au moment où il veut l’embrasser. L’œuvre : Claude est un peintre qui veut révolutionner le monde artistique et s’enferme peut à peut dans ses peinture malgré la présence de sa femme à

Université de Kragujevac Faculté de philologie et des arts Département des études romanes ANALYSER LE PERSONNAGE DE GERVAISE DANS LE ROMAN L’ASSOMMOIR Professeur:

promenade de repérage dans le quartier de la goutte d’or -> délimiter bornes spatiales (rue Neuve de la Goutte d’Or à rue de la goutte d’or) → retrouvons ce travail incipit → attention porté au petits commerces et à l'intérieur de l’appartement de Gervaise, d’autant + que Z a déjà vécu dans endroit de la sorte- domaine politico-social→ décrivant le quotidien et les conditions de vie de la classe ouvrière sous le règne du second empire → pouvons remarquer souci du détail dans vie perso + pro de GervaiseB

+ habitude ⇒ "mourrait" un peu tous les jours. Tous les jours, Gervaise perd un peu de vie. "La mort devait la prendre petit à petit" : mort annoncée, mais on ne voit pas la mort elle-même.Même vivante, Gervaise paraît déjà morte. La mort lente occupe le premier paragraphe, ensuite c'est le père Bazouge qui est au centre du récit. B- Les conditions dégradantes "mourrait de faim", "mangeait quelque chose de dégoûtant", Gervaise "devenait idiote". Elle se dégrade peu à peu " la mort la prenait