L Infanterie Attaque

construisirent en grand nombre, soit à gué, aux endroits où le Rhône avait le moins de profondeur, de forcer le passage du fleuve, quelquefois de jour, plus souvent de nuit ; mais ils se heurtèrent aux ouvrages de défense, furent repoussés par les attaques et les tirs de nos soldats, et finirent par renoncer à leur entreprise. 9. Il ne leur restait plus qu'une route, celle qui traversait le territoire des Séquanes ; ils ne pouvaient, à cause des défilés, s'y engager sans le consentement de ce peuple

d’une assemblée décidant les moyens à mettre à dispositions des généraux, Nicias en profita pour faire un discours et redemander un vote pour décider l’envoi de l’expédition, considérant que la cité fut « mal inspirée ». Au cours de ce discours, il attaque personnellement Alcibiade, l’accusant de ne pas servir le bien de la cité, mais ses propres intérêts, en voulant s’attirer la gloire, et tirer des bénéfices pour couvrir ses dépenses. Et cela nous est confirmé par Thucydide lui-même qui nous apprend

commandement allemand lance une attaque avec trois corps d’armée. Les deux divisions françaises qui défendent les seize kilomètres de la première ligne sont submergées. Très vite, le commandant de la IIe Armée, Philippe Pétain, organise la riposte. Il met en place une liaison avec Bar-le-Duc, à l’arrière. En 24 heures, 6 000 camions montent vers le front en empruntant cette route devenue la Voie sacrée). L’assaut allemand est repoussé et la brèche colmatée. Mais les attaques vont se renouveler pendant

réponde à son appel, et comme en France, il peut mobiliser l’ensemble de la population41. Ces fantassins appartiennent tous à la partie supérieure de la paysannerie, car ils doivent fournir leur équipement et leur bidet pour leur déplacement. Cette infanterie montée devenait alors plus mobile et économisait ses forces pour le combat. La cavalerie légère, était représentée par les hobelars (en) qui appartenaient le plus souvent à la classe aisée des propriétaires terriens. Le hobelar est équipé d'un plastron

La guerre de César en Afrique et sa victoire de ThapsusPlan: I. Contexte A. Biographie de Jules César et l’armée romaineB. Contexte politique, militaire et socialeC. Contexte Chronologique et géographiqueII. Campagne d’Afrique A. Forces en présence et présentation des belligérantsB. Déroulement de la campagneC. Victoire finale de Thapsus et fin de la campagneIII. ConclusionA. Conséquences de la campagne et de ThapsusB. Réponse à la ProblématiqueC. BibliographieProblématique : En quoi

buts, ne pas en prendre, occuper le terrain, gêner l’adversaire, lui prendre la balle, etc. • Le pilote : coach, capitaine • Actions conjointes : monter à l’attaque, revenir en défense • Actions combinées : pendant que l’un monte en attaque à gauche, un autre s’occuper de la balle et marque. • Actions séparées : pendant que l’action se passe à la défense, un joueur se repose. • L’objectif partagé : gagner la partie. e) Une équipe efficace stimule la progression de son

blanches qui se dressait majestueusement: la tour Malakoff, construite au frais des marchands de Sébastopol , quand la guerre à été déclarée. La place était à peine défendue par des fortifications inachevées. Elle n'aurait sans doute pas résistée à une attaque rapide et vigoureuse. Mais les deux commandants en chefs alliés y ont vite renoncée. Lord Raglan étant d'un tempérament plus que prudent, et Canrobert, fraîchement investi d'une responsabilité écrasante, se sent peu enclin aux initiatives téméraires

le continent. Il n'y a aucun appui de l'armée officielle. C'est le mouvement dont rêvait Mazzini. Ils veulent donc continuer et conquérir le Nord. Le gros risque est le Pape, cela va être difficile d'attaquer Rome. La France n'acceptera jamais une attaque contre le Pape. L'armée piémontaise va descendre à la rencontre de Garibaldi, par les Marches, l'Ombrie... C'est un moment essentiel. Soit Garibaldi continue la guerre, soit il conclut un accord avec le Piémont, soit il cède ce qu'il a gagné au Piémont

La centurie comptait environ 200 hommes, et il y avait 60 centuries par légion. Voici comment se comportait la légion, au combat : en avant, les velites, infanterie légère, armée de l’arc et de la fronde, harcelait l’ennemi de flèches et de pierre. Quand on jugeait l’adversaire ébranlé, on faisait intervenir la légion formée sur trois lignes. Les deux premières lignes se servaient d’un javelot en bois à pointe

autre ». Le statut du prince est alors difficile, car il a pour ennemis à la fois ceux qui avaient avantage à l’ordre ancien et ceux qui l’ont aidé à la conquête et envers lesquels il n’est ni en mesure de tenir ses promesses, ni en mesure de les attaquer car « quelque puissance qu’un prince ait par ses armées, il a toujours besoin, pour entrer dans un pays, d’être aidé par la faveur des habitants », comme le montre l'exemple de Louis XII vite chassé du Milanais. Machiavel prodigue alors ses conseils