L'Or du diable

malade ;      Son lit fleurdelisé se transforme en tombeau,      Et les dames d'atour, pour qui tout prince est beau,      Ne savent plus trouver d'impudique toilette      Pour tirer un souris de ce jeune squelette.      Le savant qui lui fait de l'or n'a jamais pu      De son être extirper l'élément corrompu,      Et dans ces bains de sang qui des Romains nous viennent,      Et dont sur leurs vieux jours les puissants se souviennent,      Il n'a su réchauffer ce cadavre hébété      Où coule

veux... non, dissimulons avec eux pour les enferrer l'un par l'autre. Attention sur la journée, Monsieur Figaro ! D'abord avancer l'heure de votre petite fête, pour épouser plus sûrement ; écarter une Marceline, qui de vous est friande en diable ; empocher l'or et les présents ; donner le change aux petites passions de Monsieur le Comte; étriller rondement Monsieur du Bazile et...

 L'or, valeur refuge. L'or est un métal précieux, jaune brillant, mou, très dense, très malléable est très ductile, inaltérable à l'eau et aux acides, qui se présente généralement à l'état natif sous forme de pépites ou de paillettes. I – La Valeur. Depuis l'Antiquité l'or est utilisée comme monnaie d'échange, l'or est frappée en tant que monnaie vers -600 sous le règne de Crésus, à l'époque la réévaluation et la dévaluation ce faisait par un agrandissement, ou un rétrécissement de

produit par le parallélisme sur lequel sont construits les deux hémistiches confère à ce vers l’aspect d’une maxime. Enfin, on peut également relever la présence de pronoms définis présentatifs : « c’est Satan Trismégiste » (vers 9), « c’est le Diable » (vers 13), « C’est l’Ennui » (vers 37) ; ils contribuent à la portée générale du poème. (B – Abondance des vices humains) Ce poème se caractérise en outre par l’abondance des vices humains qui y sont évoqués. L’impression d’abondance s’appuie

Un Homme n’ayant plus ni crédit, ni ressource, Et logeant le Diable en sa bourse, C’est-à-dire, n’y logeant rien, S’imagina qu’il ferait bien De se pendre, et finir lui-même sa misère, Puisque aussi bien sans lui la faim le viendrait faire, Genre de mort qui ne duit pas A gens peu curieux de goûter le trépas. Dans cette intention, une vieille masure Fut la scène où devait se passer l’aventure. Il y porte une corde, et veut avec un clou Au haut d’un certain mur attacher le licou. La muraille

la menace, l’autorité, l’ordre (l’avocat, le juge, personnages religieux). Il peut évoquer les profondeurs de la terre, la fécondité, le ventre du monde (en Egypte ancienne et en Afrique). Le noir peut traduire le Mal, le méchant, le traitre, le diable. Le noir contemporain évoque l’élégance, la classe, le luxe, la distinction, la modernité, la sobriété, la technicité, le mystère. Qui mieux que le noir peut faire valoir la couleur ?! * Le blanc, contre couleur du noir. Le blanc vient de Candidus

premiers paragraphes : découverte progressive de l'altération du tableau.2)Paragraphes 4, 5,6 : souvenir de son souhait et hésitations entre explication réaliste ou fantastiques3)Les deux derniers paragraphe : prise de conscience qu »il a pactisé avec diable .1° premier mouvement :Paragraphe 1- Mise en scène du personnage qui entre dans la pièce comme il entre en scène le regard tourné vers son portrait  : enchaînement de verbes d'actions au passé simple qui donne de la vivacité au récit : importance

si nous l'exhibions pour de l'argent dans une grande ville. Achetons-le.Ils s'adressèrent au paysan et lui dirent :- Vendez-nous ce petit bonhomme, nous en aurons bien soin.- Non, répond le père, c'est mon enfant et il n'est pas à vendre pour tout l'or du monde.Cependant, en entendant cette proposition, Tom Pouce avait grimpé le long des plis des vêtements de son Père. Il se posa sur son épaule et de là lui souffla dans l'oreille :- Livrez-moi toujours, père, je saurai bien revenir.Son père le donna

bijoux, Baudelaire, Les fleurs du mal, 1857.......................... 7 Carmen, Théophile Gautier, Emaux et Camées, 1861................ 10 Beautés des femmes, Verlaine, Sagesse, 1881..............................12 J'ai vu le diable l'autre nuit, Paul-Jean TOULET, Contrerimes 1921.................................................................................................14 La courbe de tes yeux, Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1926............................

Séquence 3 : La poésie du 19ème siècle au 21ème siècle. Objet d'étude : Les fleurs du Mal Parcours associé : Alchimie poétique : « la boue et l'or » Les Fleurs du mal est un recueil de poèmes de Charles Baudelaire,publié pour la première fois en juin 1857, puis en février 1861augmenté de trente-cinq pièces et en décembre 1868 (posthume)augmenté de vingt-cinq pièces.Charles Baudelaire :Né en 1821, Charles Baudelaire est un enfant difficile qui ne supportepas