L Unification Italienne Et Allemande

Lothaire. Lothaire prend le titre d’empereur, et ses deux autres frères lui doivent obéissance. Des le IX siècle la Lotharingie explose, donc les deux frères vont essayer chacun de récupérer le titre d’empereur. A partir de la fin du X siècle les allemands récupère le titre d’empereur. Qu’est-ce qu’on partage? on partage des terres, un royaume ne se partage pas, ça dépend de la culture politique de chacun. La référence au dogme catholique, one estime dans les milieux ecclésiastique que l’empire

publiquement d’un « Rideau de fer » qui s’est abattu sur l’Europe de Stettin à Trieste (discours de Fulton) ð La fermeté américaine ð Arrêt dès 1945 de la loi de prêt-bail ð Mauvaise volonté occidentale pour les démontages d'usines allemandes ð Mobilisation de la flotte US en Méditerranée et pressions diplomatiques 2°) Le processus de conquête Il mérite d’être souligné et sera le même dans tous les pays d’Europe de l’Est, à quelques nuances près, prenant l’apparence de la légalité

la politique et de la société. C’est l’émergence d’une sorte de contrepouvoir au monarque, c’est aussi grâce au développement dans la philosophie des lumières donc développement de la critique. L’espace publique a était théorisé par un philosophe allemand qui est en sorte de lieu virtuel ou des personnes privées vont faire usage de leur raison dans un cadre public. Cette espace est un lieu de débat des opinions se peut être des salons littéraires autour d’une élite éclairée. Cette opinion publique

(correspondant aux actuelles régions de Doukkala-Abda et de Chaouia-Ouardigha) et du Tadla. Partout les Almoravides imposent le sunnismemalékite le plus strict, tel qu'enseigné par les écoles théologiques de Médine et de Kairouan. Cette unification religieuse se double d'une unification politique. Les Almoravides étendent ainsi leurs conquêtes jusqu'au Maghreb central, à la limite du royaume hammadide. En 1086, Youssef Ibn Tachfin, appelé par les rois des taïfas d'Al Andalus, franchit le détroit de Gibraltar à

auteurs que cite Kant dans ses opuscules, on découvre qu’il possédait une excellente connaissance de la littérature pour ainsi dire « ethnographique » de son époque, citant pêle-mêle cartographes français, voyageurs anglais ou écossais, explorateurs allemands, 1 suisses ou danois. Au cours du 18è siècle, le récit de voyage cesse même progressivement d’être une description de curiosité pour se constituer en véritable entreprise d’observation systématique et en instrument de connaissance scientifique

l’obligation de restaurer la ville. C’est le pape Sixte IV, surnommé le « Restaurator urbis », qui donne à Rome une structure, conservée intacte jusqu’au siècle dernier. Il fait bâtir la chapelle Sixtine (1473) et appelle à Rome les meilleurs artistes italiens de son temps pour aménager le palais du Vatican. Le programme du gouvernement pontifical vise à reconstruire la ville impériale pour la transformer en une grande cité moderne sous l’autorité pontificale : réparations des équipements réaffectations

Constantinople/Istanbul depuis l’antiquité tardive, Le Caire depuis sa fondation ommeyade. Mais au-delà de ces péripéties, il y a continuité du fait urbain autour de la Méditerranée : en 1500, sur les 14 villes européennes les + peuplées, 8 sont italiennes, 1 espagnole en 1600 : 6 italiennes et 5 espagnoles 2. Ce modèle n’est pas unique : avec le monde islamique apparaissent d’autres types de développement urbain : le « moment islamique » (VI è au XVIIIè siècle) voit naître ou renaître des villes souvent sans plan

cette mutation est une réaction à l’expérience de la Seconde guerre mondiale. Puisque l’une des leçons que l’on a pu tirer de cette expérience tient à ce que les démocraties ne sont pas à l’abri des dérives autoritaires. Les totalitarismes allemand, italien ou espagnol ont montré que la loi (l’acte voté par les parlementaires élus par le peuple) n’est pas nécessairement le meilleur rempart contre l’arbitraire du pouvoir politique : en effet, ce qu’une majorité parlementaire peut faire, une autre

adopte une démarche thématique au lieu de le suivre pas à pas. On compare le texte, on propose une solution. Cette méthode est plus dialectique. Parmi ces grands maîtres : Pierre de Belleperche (14e siècle) , Bartole (14ème) et Balde , jurisconsulte italien du 14-15e siècle . Mos Italicus. Mais à la fin du 15e le mos italicus est rejeté par une école française : le mos gallicus : il correspond à la renaissance, ce qui intéresse ces juristes c’est l’étude scientifique du droit romain. Doneau, Cujas

Civil français (droit d’inspiration française ou romaine revue à la française) ; d’autres vont suivre strictement le droit romain, notamment les états allemands à l’exceptions de ceux du sud. Ainsi en 1900, le Code Civil allemand sera très inspiré du droit romain. Il y a un projet de Code Civil européen très proche du droit romain dont les allemands sont les instigateurs mais les anglais et les français font tout pour empêcher sa rédaction, considérant qu’il va à l’encontre de leurs traditions juridiques