L Utopie Et Ses Limites Thomas More

quand elle y aborde, elle regarde autour d’elle, aperçoit une meilleure contrée et fait alors voile.  Le progrès est la réalisation des utopies. »                                                                           Oscar Wilde   Si le mot « utopie » apparaît pour la première fois en 1516 sous la plume de l’Anglais Thomas More (1478-1535) — qui voulait ainsi désigner son île imaginaire —, la construction par Platon (~428-~348) d’un modèle de cité idéale dans La

sociales des ouvriers et des mouvements politiques quiles défendent. L’expérience historique tragique du XXe siècle (guerresmondiales, totalitarismes, shoah) donne naissance à une variante del’utopie progressive : l’utopie malheureuse, ou « contre-utopie ». Desécrivains anglais, tels Aldous Huxley (Le Meilleur des mondes, en1932), ou Georges Orwell (1984, en 1948), imaginent une société quiveut imposer aux citoyens une forme uniformisée de bonheur, sociétéqui se révèle inévitablement totalitaire.Les

L'utopie Le terme utopie, du grec "ou" = non, et "topos" = lieu, signifie étymologiquement un lieu inexistant, un lieu de "nulle part". C'est une conception d'une société idéale où les rapports humains sont réglés mécaniquement ou harmonieusement. Sa description relève de l'imaginaire dans un récit à portée philosophique, politique, idéologique ou morale. La fiction dans ce cas s'appuie sur une critique globale de la société où vit son auteur et l'aspiration à un monde meilleur. L'archétype de l'utopie

un torche-cul. Donc on confie son éducation aux sages de cette époque. Il va d’abord être éduqués par les Sorbonatres et Rabelais de moque d’eux car leurs enseignement était fondés sur les Scolastiques (départ philosophique courant illustré par St thomas d’Aquin : coïncidence foi et raison mais se transforme en série philosophique qui n’avait pas rapport avec la réalité. Rabelais caricature les défauts de la scolastique (Education qui consiste à une anti éducation). Son père s’en aperçoit alors

société, sur la façon de vivre, de travailler, de s’éduquer, sur les relations entre les personnes. Bien plus qu’une utopie architecturale, la ville idéale est souvent, avant tout, la description mythifiée de l’organisation s ociale, politique et économique d’une communauté humaine. Bien que le terme « utopie » et l’initiation du genre littéraire utopique soient portés au crédit de Thomas More au XVIe siècle 1, la quête de la cité idéale remonte à l’Antiquité, e aux écrits de Platon et avant lui aux travaux

Thomas More « L’utopie » Thomas More (1478 – 1535) ; humaniste, homme politique Anglais. Devenu un saint. Mort décapité sur ordre. Utopie ; (1516) Roman politique dont le nom désigne ce qui n’existe nulle part. L’œuvre se compose en 2 parties ; . Critique de l’organisation politique et religieuse du régime monarchique -> misère des anglais. . Description de la vie idéale sur l’île d’Utopie -> équité parfaite entre les individus soumis à un régime communautaire qui n’entrave

l’utiliser pour soutenir leurs idées ? Je vais tout d’abord démontrer que le fiction est une forme de liberté pour l’auteur, puis que pour le lecteur elle possède une certaine force de persuasion et enfin que ce genre littéraire comporte toutefois des limites dans l’art d’argumenter et de soutenir une thèse. Thèses : I. La fiction : vivacité et liberté ; du côté de l’auteur La fiction est une source de liberté du côté de l’auteur. Souvent cette liberté se traduit à travers un genre bien précis

Le roman anti-utopique se développe en opposition à l'utopie. Il se veut parfait mais se révèle néfaste pour les individus qui le subissent. Loin d'être une prophétie, il critique sa société actuelle, en exagérant certains de ces traits. L'anti-utopie cherche à mettre en garde le lecteur contre le pouvoir totalitarisme. Il s'appuie sur la fiction pour exprimer ses craintes. Cependant, la société ayant pour but d'effacer les personnalités, les personnages mis en scène souffrent d'un manque de psychologie

de la personne qui l’emploi. Une utopie est une représentation littéraire d’une société parfaite pour l’auteur, celui qui écrit. Ce sont des récits de voyages et donc des personnes qui partent à la découverte de pays inconnue. Ils vont décrire une société politique avec des solutions rationnelles. Ces mondes créés et imaginés doivent faire le bonheur des personnes qui y vivent. L’utopie se gagne en travaillant, ce n’est pas quelque chose qui tombe du ciel. Une utopie se passe à une emprise terrestre

2 points ) 2/ Faire une bibliographie de l’auteur ( 2 points ) 3/ Faire un résumé de l’oeuvre ( 2 points) 4/ A quel genre appartient ce livre ? ( 2 points) 5/ Quelle est la dimension argumentative de ce livre ? ( 2 points) 6/ Qu’est-ce qu’une utopie ? ( 2 points) 7/ Qu’est-ce qu’une dystopie ? ( 2 points) 8/ Quelle est votre scène préférée ( 2 points) 9/ Donnez votre avis sur le livre ( 3 points) + un point pour la propreté et l’orthographe 1/George Orwell, de son vrai nom Eric Arthur