Là-bas si j'y suis

accepter l’humiliation, parfois à être dénigré, à fuir, à changer d’identité et même de ville.« Hchouma » nous marque à sceau et à vie surtout quand on a grandi dans un milieu très conservatoire, très respectueux des coutumes et où les mœurs prônent. Si votre curiosité vous a emporté aujourd’hui et vous a poussé à lire les lignes de cet article émanant d’une autrice qui vous est inconnue, c’est justement à cause de cette « hchouma ». Ma plume n’avait pas eu jusque-là le courage de noircir les pages

qui me l'a donné, l'écume aux lèvres, les poings crispés. " C'est ta faute si ton père s'est fait mal ! " Et elle me chasse sous l'escalier noir, en me cognant encore le front contre la porte. Je crie, je demande grâce, et j'appelle mon père : je vois, avec ma terreur d'enfant, sa main qui pend toute hachée ; c'est moi qui en suis cause ! Pourquoi ne me laisse-t-on pas entrer pour savoir ? On me battra après si l'on veut. Je crie, on ne me répond pas. J'entends qu'on remue des carafes

qu’il n’est grands ni petitsQue de votre critique on ait vus garantis ;Car vos plus grands plaisirs sont, partout où vous êtes,De faire cent éclats des intrigues secrètes...Arnolphe.Fort bien : est-il au monde une autre ville aussiOù l’on ait des maris si patients qu’ici ?Est-ce qu’on n’en voit pas, de toutes les espèces,Qui sont accommodés chez eux de toutes pièces ?L’un amasse du bien, dont sa femme fait partÀ ceux qui prennent soin de le faire cornard ;L’autre un peu plus heureux, mais non pas moins

passe la soirée à me répéter en boucle ces noms mystérieux : Musset, Verlaine, Apollinaire, Sarrazin... Ce n'étaient donc pas tous des anges, eux non plus ? Alors, pas de honte à avoir. J'y retournerai, à l'atelier. Puissance d'évasion La Santé, le 16 mai 2005 Aujourd'hui, j'ai découvert « Spleen » : « Quand le ciel bas et lourd... ». J'ai été saisi : j'ai presque cru un moment que c'était moi qui avais écrit ces vers. Comment un être qui n'a pas connu la prison peut-il rendre avec autant d'acuité ce

Et les beaux seins, combien cochonnes leurs paresses ! Et puis, il sert, ce cul, encor, surtout au lit Comme adjuvant aux fins de coussins, de sous-ventre, De ressort à boudin du vrai ventre pour qu'entre Plus avant l'homme dans la femme qu'il élit, J'y délasse mes mains, mes bras aussi, mes jambes, Mes pieds. Tant de fraîcheur, d'élastique rondeur M'en font un reposoir désirable où, rôdeur, Par instant le désir sautille en voeux ingambes. Mais comparer le cul de l'homme à ce bon cu À ce gros cul moins

malgré tout du lycée pour aller chez moi. Je suis épuisé et la nuit commence à tomber lentement. Je remarque que, sur la route pour rentrer chez moi, il n’y a personne : ni en voiture, ni à pieds. Je commence à avoir vraiment peur et je me demande même si je ne suis pas entrain de rêver. Cette rédaction m’a tué. Je n’arriverai pas à rentrer chez moi, je vais m’écrouler de fatigue. Le supplice est enfin terminé : je vois ma maison. Je rentre enfin chez moi mais il n’y a personne : ni ma mère, ni mon frère

ville des mille et trois clochers et des sept gares Et je n’avais pas assez des sept gares et des mille et trois tours Car mon adolescence était si ardente et si folle Que mon coeur tour à tour brûlait comme le temple d’Ephèse ou comme la Place Rouge de Moscou quand le soleil se couche. Et mes yeux éclairaient des voies anciennes. Et j’étais déjà si mauvais poète Que je ne savais pas aller jusqu’au bout. Le Kremlin était comme un immense gâteau tartare croustillé d’or, Avec les grandes amandes

you je suis nulle en français mais je peux te dire je t’aime je suis nulle en math mais je peux calculer combien je t’aime je suis nulle en géographie mais je sais que tu vis dans mon cœur je ne sais pas si je devrait te mettre a la banque parce que tu vaut de l'or & je ne sais pas si je devrait te mettre sur une île toute seule parce-que tu est le plus beau de mes trésors !!! J'ai écris ton nom sur un arbre, le bucheron la coupé. j'ai écrit ton nom sur la table, le prof la gommé. j'ai écris

Aujourd'hui nous sommes le 13 octobre, la veille de nos 1ans mais aussi la fin. Vous vous demandez surement pourquoi la fin ? Je ne sais pas vraiment non plus. Il reste cette voix qui me répète tout les matins "il reviendra" mais à chaque réveille, j'y crois de moins en moins. Vous devez vous dire qu'on s'est peut être disputé, que notre histoire est devenu différente de son début ou encore que c'est une histoire de tromperie ? Mais non, avec Brad, nous vivions l'amour fou, nous étions attachés, il

chère mère et à son petit chez lui. San Peï après avoir traversé les périples de la Phobia-Differencia décida qu’il valait mieux quitté ce pays si effrayant, et peu accueillant, San Peï pris route pour Xénophiland. Il arriva, au porte du pays et frappa au portail ; là un garde lui ouvrit, lui dit « alors mon bon ami pourquoi fait tu cette mine si atterrée ? » San Peï tout heureux qu’on lui est adressé la parole sans mépris sourit, et dit « C’est que monsieur je viens de faire un périple des