Là-bas si j'y suis

page 4 Annexe 2 page 5INTRODUCTION : La situation que je vais décrire s’est déroulé lors d’une toilette complète dans la chambre de Mr R. Une aide-soignante m’avait accompagné pour observer mon travail mais aussi pour m’aider si j’avais des difficultés. Cela s’est déroulé le matin. Mr R était âgé de 78 ans, était veuf et vivait dans une EHPAD (Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes). Il avait pour antécédents une hypertension artérielle et un diabète

et vous n'êtes pas là pour ça, mais plutôt pour découvrir comment je fais et le faire à votre tour ! La méthode ci-dessous ma donc permis de gagner énormément d'argent sur internet. De plus, je la dévoile GRATUITEMENT (j'explique pourquoi plus bas) ! C'est une astuce dont un ami m'avait parlé il y a de ça quelques années. Selon lui, il existait une méthode infaillible pour battre les casinos en ligne... Au début je n'y ai pas trop cru, et puis un jour j'ai testé... et il disait vrai ! En

corps envahi par les métastases osseuses, soumis aux chimiothérapies, menacé par la thrombose. Et on imagine l'homme que décrit le docteur Gubler, constamment alité à partir de novembre 1994, uniquement préoccupé par sa disparition prochaine. Comme si, d'aveu en aveu, les deux septennats devaient se précipiter dans cet entonnoir de l'exhibition intime: François Mitterrand, qui cultiva le goût de l'Histoire avec le souci d'y occuper une place de choix, ressemble de plus en plus, post mortem, au héros

petits plats d'eau et les distribue. Les femmes commencent à coller les timbres.) Si Linda s'rait là, aussi, a'pourrait m'aider ! (Elle sort sur la galerie.) Linda ! Linda ! Aïe, Richard, as-tu vu Linda ? Ben, par exemple ! A'l'a le cœur de téter des liqueurs pendant que j'me désâme ! Veux-tu y dire de v'nir tu-suite icitte, mon trésor ? Tu viendras voir madame Lauzon, demain, pis a'va te donner des pinottes pis des bonbons si yen reste ! O.K. ? Va, mon cœur, pis dis-y de v'nir tu-suite ! (Elle rentre

comparaison, ma charmante. Oh ! que ce joli bouquet virginal, élevé sur la tête d’une belle fille, est doux, le matin des noces, à l’œil amoureux d’un époux ! …Suzanne se retire.Que mesures-tu donc là, mon fils ?FigaroJe regarde, ma petite Suzanne, si ce beau lit que Monseigneur nous donne aura bonne grâce ici.SuzanneDans cette chambre ?FigaroIl nous la cède.SuzanneEt moi, je n’en veux point.FigaroPourquoi ?SuzanneJe n’en veux point.FigaroMais encore ?SuzanneElle me déplaît.FigaroOn dit une raison

la fin : parole performative (quand dire c’est faire) : cf « je te remercie » + « nous nous remercions » (à entendre dans le sens du congé que l’on donne à qqn) « on arrive » « ne parlons plus » commenter la fin qui arrive (« eh bien ça y est, j’y suis », « Et pour terminer ? ») – en la faisant venir 2/ Métamorphose de Clov : Une sortie (cf didascalie en haut p. 108). Comme pour la mort de la mère, c’est un événement important qui semble passer inaperçu – mais il faut souligner que ce n’est

sur l'abus de pouvoir. Or, « le droit du seigneur », « droit charmant » (I, 7) pour le Comte est un droit qui n’existe plus, comme le rappelle Figaro puisque, le Comte lui-même l'a aboli dans « Le Barbier de Séville ». « Je le sais tellement que, si Monsieur le Comte, en se mariant, n'eût pas aboli ce droit honteux ». Dix scène plus tard l'obstacle du « droit du seigneur » est écarté mais le Comte ne va pas pour autant renoncer à son désir et le conflit social se double d'un conflit amoureux

Ayant été un admirateur de Napoléon, Hugo devient déçu et s’exile pendant vingt ans à cause de l’ambition autoritaire de l’empereur. Sa longue vie lui permet d’être le témoin des bouleversement politiques et sociaux. Il voit la vie malheureuse des bas-fonds et l’injuste de la société bourgeoise. En conséquence, on trouve dans “Les Misérables” sa compassion pour les faibles et les exclus et la critique de la loi bourgeoise. L’humanisme est le thème principal de ce roman. Deuxièmement, “Les Misérables”

une branche, tout à coup, Qui s’effeuille dans votre cou. C’est un petit arbre tout rouge, Un, d’une autre couleur encor, Et puis, partout, ces feuilles d’or Qui tombent sans que rien ne bouge. Nous aimons bien cette saison, Mais la nuit si tôt va descendre ! Retournons vite à la maison Rôtir nos marrons dans la cendre. Lucie DELARUE-MARDRUS (1874-1945) Chanson d’automne (extrait) Déjà plus d’une feuille sèche Parsème les gazons jaunis

On marchait, on rigolait, ça faisait plaisir ! ♥ et puis là.. on voit une meuf arriver de loin. Elle avait l'air trop bizarre :O. Elle devait avoir genre dans les 17 ou 18 ans au max. Mais elle était super jolie :O Anissa : - Téma la fille là bas ! Elle chiale ou quoi ? Mdddrrr Moi : - Euh j'en sais rien mais elle est louche ! Anissa : - Ouaais. Breef , j'disais quoi ? Ah ouaaais ! ... Même pas le temps de finir sa phrase, que la fille en question nous interpelle. Elle : - Euuuh.. excuse