La Beauté Des Femmes Verlaine

Puis qu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir !Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que vostre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse : Comme à ceste fleur la vieillesse Fera ternir vostre beauté. Alphonse de Lamartine Souvenir. ( Recueil : Méditations poétiques 1820) En vain le jour succède au jour, Ils glissent sans laisser de trace ; Dans mon âme rien ne t'efface, Ô dernier songe de l'amour !Je vois mes rapides années S'accumuler

retrouve le champs lexical du temps ; “heure”, “jours”, “mois”.La flèche de l’amour.· Pierre de Ronsard, “Ode à Cassandre” p.57· Théophile Gautier, “Carmen” p.107· Paul Verlaine, “A Poor Young Shepherd” p.96Cette section regroupe les poèmes sujet d'une déclaration d'amour, de compliment ou de reconnaissance d'une certaine beauté. L'idée de flèche fait référence à Cupidon, le Dieu de l'amour. Dans les déclarations d'amour on peut y retrouver des compliments afin d'augmenter ses chances d'être avec

particulièrement avec le registre lyrique. 3- La poésie et le lyrisme mélancolique La poésie lyrique est souvent reliée à des sentiments mélancoliques ou de désespoir. Pour Musset, par exemple, la souffrance est l’une de ses plus grandes inspirations. Les femmes sont souvent liées à cet amour perdu : un souvenir nostalgique qui met en valeur la fuite du temps. Louise Labbé, elle, est également inspirée par une déception amoureuse. La poésie dégage donc un lyrisme mélancolique lié aux sentiments et à l’existence

les Fleurs du Mal écrit par Charles Baudelaire en 1857. Baudelaire était l'un des poètes maudit de son époque avec Verlaine et Rimbaud. Il avait le courant littéraire du symbolisme et du parnasse, courants en vogues à cette époque. C'est un livre divisé en plusieurs parties : Spleen & Idéal, le vin, la révolte, la mort et Tableaux Parisiens. Et qui aborde plusieurs thème : la beauté, la femme idéale et le voyage imaginaire. Don Juan aux enfers fait parti de Spleen Idéal, cette partie constitue

tout d’aimer, l’amour porte des armes. C’est le roi, c’est le maître, et, pour le désarmer, Il faut plaire à l’Amour : ce n’est pas tout d’aimer ! Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859) extrait de « poésies inédites » Les femmes sont sur la terre Les femmes sont sur la terrePour tout idéaliser ;L'univers est un mystèreQue commente leur baiser.C'est l'amour qui, pour ceinture,A l'onde et le firmament,Et dont toute la nature,N'est, au fond, que l'ornement.Tout ce qui brille, offre à l'âmeSon

liens entre le mal et la beauté, le bonheur et l'idéal inaccessible (À une passante), la violence et la volupté (Une martyre), entre le poète et son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère »), entre les artistes à travers les âges (Les Phares[2]). En parallèle de poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne)

constellation du même nom qui regroupe sept étoiles. Ainsi, le courant est formé de sept poètes, en mutation, qui accordent une grande importance à la musicalité de la langue dans leur écriture. On dit même d’eux qu’ils sont les «serviteurs de la beauté». Auteurs significatifs : Du Bellay (1522-1560) et Ronsard (1524-1585). LE BAROQUE (1570-1650) Le nom baroque provient de la langue portugaise et signifie «perle irrégulière». En effet, durant cette période, le monde est en pleine période de changement

Las ! las ! ses beautés laissé choir ! Ô vraiment marâtre Nature, Puisqu’une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez votre jeunesse : Comme à cette fleur la vieillesse Fera ternir votre beauté.

ou de Bagnolet Recueil: Grand bal du printemps, 1951 J'ai choisi ce poème car j'ai été attiré par le fait que ce poème parlait des enfants qui vivaient en ville aux milieu du 20e siècles. "Le bruit des cabarets", Paul Verlaine (1844-1896) Le bruit des cabarets, la fange du trottoir, Les platanes déchus s'effeuillant dans l'air noir, L'omnibus, ouragan de ferraille et de boues, Qui grince, mal assis entre ses quatre roues, Et roule ses yeux verts et rouges lentement

d’une inquiétude existentielle comme par exemple son poème intitulé « L’ennemi »(X). Cependant, il y a aussi un côté sensuel et érotique à son travail, ainsi qu’un certain désir de transcendance, qui se manifeste dans sa fascination pour l’art, la beauté et la poésie elle-même.En termes de style d’écriture, Baudelaire est connu pour son utilisation innovante du langage, sa riche palette de symboles et d’images, ainsi que sa capacité à créer des atmosphères intenses et évocatrices. Il utilise souvent