La Belle En Deuil

j’aimais, (/) elle était belle. » 1 2 3 4 5 6 1 2 3 4 5 6 → 2/4//2/4 Sonorités/Rimes Homophonie interne/dans un vers : → répétition du son vocalique : assonance → répétition du son consonantique : allitération « Un jour, (/) je fus aimé, (//) j’aimais, (/) elle était belle. » → assonance « Ma pensée entraînée erre en tes rêveries » (Victor Hugo) → allitération Homophonie finale : → rimes masculines : pas de « e muet » : lieu/Dieu → rimes féminines : avec « e muet » : belle/immortelle Poésie

j’aimais, (/) elle était belle. » 1 2 3 4 5 6 1 2 3 4 5 6 → 2/4//2/4 Sonorités/Rimes Homophonie interne/dans un vers : → répétition du son vocalique : assonance → répétition du son consonantique : allitération « Un jour, (/) je fus aimé, (//) j’aimais, (/) elle était belle. » → assonance « Ma pensée entraînée erre en tes rêveries » (Victor Hugo) → allitération Homophonie finale : → rimes masculines : pas de « e muet » : lieu/Dieu → rimes féminines : avec « e muet » : belle/immortelle Poésie moderne :

quotidien, d'oublier tout le reste et de s'envoler vers un autre monde. La poésie a donc pour première fonction : exprimer ses sentiments. Dans A une Passante du recueil Les Fleurs du Mal de Baudelaire, le poète est subjugué à la vue d'une femme en grand deuil, il reste figé sur place. La poésie permet également l'évasion, grâce au lyrisme. La poésie lyrique permet l'évasion par la beauté des sons, des rythmes... le lyrisme est la recherche de la musicalité et la visée de l'idéal. Dans l'Invitation au

Anthologie de poésie : Le Voyage Préface Le voyage, une belle expérience de vie, un moyen de s’instruire, de s’épanouir. Le voyage permet d’apprendre à connaitre le monde. Le voyage le seul moyen de voir le monde objectivement. Le voyage peut se faire en pensée et consiste un moyen de s’évader… Le voyage, toujours positif ? Non. « Le voyage est une suite de disparitions irréparables » Paul Nizan Voici une anthologie qui propose une autre vision des très appréciés voyages. Au travers

de l’apiculteur Aristée, que beaucoup la désirait. Lorsqu'elle s'en fuyait par le bord d'un fleuve, elle n'aperçut pas un serpent. La serpent lui ôta la vie. Orphée, désespéré, cherche sa bien-aimée même aux Enfers, où il apporte la calme avec sa belle musique aux esprits nécessiteux de lumière, aux magnanimes héros, aux demoiselles incinérées jeunes et aussi bien à Cerbère, le chien à trois têtes, guard de l'enfer. Devant Pluton et Proserpine, il convainc le couple de qu'il pourrait amener sa bien-aimée

commençait a chauffermes pied" (P22). On remarque de nouveau que le soleil chauffe de plus en plus et il attaque aussi: "Il commençait à peser sur la terre et la chaleur augmenter" (P26), on constate aussi qu'il transpire sous ses vêtements pour le deuil a cause du soleil de Morengo: "j'avais chaud sous mes vêtements sombre". A la page 27 on a une description de la nature: "cette terre rousse et vert" "ces maisons rares et bien déssinées" cette déscription vient montrer que c'est un beau paysage grâce

trompeur ; La foudre ici sur moi tomba de l'arc céleste Et chacun de ces flots roule un peu de mon coeur. L'automne Salut ! bois couronnés d'un reste de verdure ! Feuillages jaunissants sur les gazons épars ! Salut, derniers beaux jours ! Le deuil de la nature Convient à la douleur et plaît à mes regards ! Je suis d'un pas rêveur le sentier solitaire, J'aime à revoir encor, pour la dernière fois, Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois

expressions comme « reste de verdure » « feuillages jaunissants » « gazons épars ». Il s’agit ici d’une nature déclinante. Mais Lamartine dépeint la nature dans sa beauté puis qu’il écrit « bois couronnés » « derniers beaux jours ». La nature est belle à ses yeux. La nature est magnifiée, elle est personnifiée. Elle porte une couronne. « Les bois sont couronnés ». Le thème du regard est important dans la littérature romantique. La lumière est évoquée « le soleil palissant » « faible lumière » dans

ramassées dans l'angoisse" v.12. Le rejet qui met en valeur cette expression "ramassées" -> recroquevillement tremblante et "Dieu" reste "zen". Dieu est complice et indifférent à la guerre. Les mères pleurent l.13 "…pleurant…". Elles sont pauvres et en deuil car elles portent du noir : "…vieux bonnet noir…". Elles demandent la protection de Dieu en leur donnant un sous l.14 "…un gros sou…". Une guerre sale et méprisante qui déshumanise les hommes et qui tue la vie et fait pleurer les mères face à cette

; elle est belle et séduisante (elle ressemble à la Vénus), et est réservée à Alphonse. Elle est naturelle, discrète et d’une grande générosité, tout le contraire d’Alphonse. Elle donne l’effet d’être belle et intelligente. Elle ne sait pas qu’elle va perdre son mari pendant la nuit de noce. La tante de Mlle de Puygarrig Elle sert de mère à la jeune fille. C'est une femme très âgée et fort dévote. Mlle de Puygarrig hérite de sa tante à sa mort. Elle célébra donc le mariage en deuil. Jean Coll