La Belle Personne

On entend souvent au contraire des discussions passionnées entre amateurs de musique, de littérature ou de cinéma, ou meme de tableau : de quoi s’agit-il lors de ces échanges sinon de chercher à convaincre autrui qu’une œuvre d’art est belle, sublime, voire plus belle et plus sublime qu’une autre ? Mais y arrive t-on vraiment ? Est-ce possible? Pourquoi est ce plutôt paradoxal ? Une oeuvre d'art est un objet spécifique qui, avant même de posséder une quelconque valeur esthétique (la "beauté") se définit

fidélité et repousser au second plan comme un alibi pour appuyer la bonté de ces hommes. Outils 3 : antiphrase: « La belle chose» → Cette forme d'ironie et très courante chez Molière. Dom Juan dit donc le contraire de ce qui pense et ajoute une pointe comique pour mieux introduire la virulente critiques des hommes fidèles. Outils 4 : interjection et ponctuation:  « Quoi ? Pour personne ? … frapper les yeux » → Dom Juan est convaincu et convaincant. Le dynamisme dans sa tirade, le présent de vérité

s'en va, le temps s'en va, ma dame ; Las ! le temps non, mais nous, nous en allons, Et tôt serons étendus sous la lame ; Et des amours desquelles nous parlons, Quand serons morts, n'en sera plus nouvelle; Pour ce, aimez-moi cependant qu'êtes belle. Ce texte est extrait du recueil « Continuation des Amours » composé par « le Prince des poètes » en 1555. Le célèbre poète pétrarquiste du XVIème siècle, Pierre de Ronsard, a écrit nombreux poèmes pour une jeune paysanne Marie Dupin dont il était

Le rayonnement culturel de Paris à la Belle Epoque Paris est la capitale politique de la France qui est un pays dominant à la belle époque de part son industrie avancée et sa grande puissance coloniale. Paris, de la fin du XIXème siècle à 1914, est un grand centre culturel mondial. Durant cette période, la ville de Paris est très attractive pour les intellectuels et est en constante évolution et est un modèle de modernité dans le monde, jouant un rôle considérable dans les domaines des arts et

Nous allons étudier trois textes présent au sein de ce corpus, La Belle et la bête de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont écrit en 1757, La demeure d’Astérion de Jorge Luis Borgès et La métamorphose de Franz Kafka écrit en 1915. Ces textes présentent un thèmes communs les monstres. On se demandera qu’elles éléments apparentent les personnages du corpus à des monstres. Ainsi que, comment les textes parviennent t-ils à humaniser les monstres présentés. Dans 2 textes on peut remarquer que les personnages

Prologue de Blanche-Neige Voici les personnages de l'histoire de Blanche-Neige. Blanche-Neige c'est la jeune fille blanche comme la neige aux cheveux noir ébène qui n'avait rien demandée, qui a eu le malheur d'être plus belle que la cruelle reine, sa belle mère. Elle n'a rien de détestable, au contraire, elle est radieuse et aimé pour sa beauté unique. Elle est innocente et a normalement une joie de vivre incomparable mais elle se demande si elle sera toujours Blanche-Neige tout à l'heure

fois , dans la foret de griniwch une petite maisonette pas trés chaleureuse ni trés belle . Mosade,effreyante et pratiquement en ruine elle paraissait abbandonné. Cepandant quelqu'un habitais belle et bien dans cette demeure , quelqu'un pas plus haute que cinqs pommes. Une jeune fille nommée Hermione agée de douze année c'etais réfugié dans cette bicoque à la mort de es parents en 1883. Réfugié , car personne ne l'aimé a cause de son étrange physique. Hermione etais laide , d'une laideur a en

Etonnant: un tiers des hommes préfèrent leur... belle-famille! Le mythe de la relation forcément tourmentée avec la belle-famille - en particulier la belle-mère - en prend en sacré coup: selon une enquête conduite par le magazine Reader's Digest, 62% des Belges (âgés de plus de seize ans) entretiennent de bons, voire d'excellents contacts avec la famille de leur conjoint(e). Les hommes se distinguent, puisqu'un tiers affirment que les rapports avec la belle-famille sont meilleurs qu'avec leurs propres

les jours. Puis nous retirons doucement le sparadrap et les compresses. En retirant les compresses, nous remarquons que Mme L est très douloureuse. Après avoir retiré les compresses nous examinons la plaie qui est un scalp d’une grosseur d’une belle pièce de deux euros. Sa plaie est à vif, très rouge et suintante. L’IDE va alors chercher sa trousse qui se trouve dans sa voiture. Dans sa trousse, nous prenons des compresses et du sérum physiologique. C’est tout ce que nous pouvons mettre car nous

dans le ruisseau qui est fait comme une personne, et elle paraît aussi étonnée de moi que je le suis d'elle. CARISE, riant Eh non, c'est vous que vous y voyez, tous les ruisseaux font cet effet-là. ÉGLÉ Quoi, c'est là moi, c'est mon visage ? CARISE Sans doute. ÉGLÉ Mais, savez-vous bien que cela est très beau, que cela fait un objet charmant ? Quel dommage de ne l'avoir pas su plus tôt ! CARISE Il est vrai que vous êtes belle. ÉGLÉ Comment belle, admirable ! Cette découverte-là m'enchante