La Bete Humaine Figure De Style

2nde p. 339  Une écriture scientifique - E. Zola, Germinal, I, chap. 4, « le travail dans la mine », 1885 - E. Zola, Carnet de Notes, Dans les corons, « Dans la nuit fumeuse » - E. Zola, Thérèse Raquin, 1868 - E. Zola, « Ébauche » de La Bête humaine, 1890 ; Littérature 2nde p. 170-171 - Zola, L’Assommoir,  Une écriture métaphorique - E. Zola, Germinal, « Une mine de charbon en 1885 : le Voreux », 1885 - E. Zola, Carnet de Notes, Dans les corons, « La descente » Documents complémentaires :

origines, ses causes et ses conséquences, le romancier n’avait pas l’intention de faire une oeuvre historique. Y tenaient une place prépondérante, même s’il n’était pas sympathique à la révolte des esclaves de Saint-Domingue, les problèmes sociaux et humains de l’esclavage et de la ségrégation raciale qui avaient été déjà traités par Marivaux dans ‘’L’Île des esclaves’’, par Montesquieu dans ‘’L’Esprit des lois’’, par Voltaire dans son ‘’Dictionnaire philosophique’’, par Rousseau dans ‘’Le contrat social’’

registre lyrique : La présence du pronom personnel « je » qui livre ses sentiments, ses émotions sur le ton de l’intimité. Le registre épique : Il représente des situations où l’homme est en lutte, en combat, qui le rend porteur des aspirations du groupe humain auquel il appartient. Professeur Benali Mohammed Page 5 Module n°2 : Etudier une tragédie moderne 2014 Le registre ironique : Il critique, provoque, et se moque d’une manière indirecte. Pour avoir un ton ironique on peut recourir à l’antiphrase

sourire porte de plus en plus de choses, et dévoile l’intériorité d el aprincesse : elle a donné, mais c’est peut-être pour recevoir en retour un peu d’affection ? → « gamin//grande personne » : outre le fait que gamin est l’aboutissement de bébé, bête sympathique etc, la compa avec gde personne éclaire peut-être le pt de vue du texte : garçon devenu grand, qui adopte un faux regard objectif sur la scène : permet de se dire que garçonnet n’a pas eu toutes ces idées mais qu’elles lui sont venues avec

critique. [4: Besoin d’une source fiable] Le monde animal comme reflet du monde humainLe monde des animaux semble traversé par les mêmes problèmes que le monde humain. Ainsi, les animaux des fables ont les mêmes qualités et défauts que les êtres humains. Citons, « Deux pigeons » qui reflète des défauts humains. Ainsi, l’un des deux pigeons s’ennuie auprès de l’autre qu’il aime pourtant. Il a envie de voir du pays, de découvrir d’autres contrées. Il échappe à la mort par la tempête

CLOWN Que la planète fasse un Tour complet En sens inverse Soudain et Sans prévenir tour Complet Affolé Désespéré (...) Rodrigo Garcia, Roi Lear. SOMMAIRE Introduction B/La figure du Fou au théâtre. - Les personnages - La subversion - Kiki Reuten A/Suis à la messe, reviens de suite - le spectacle avant Kiki Reuten - Découverte de la vibration - Rituel de la vibration - Suspicion ou innocence

les jetteront à la tête des Goliaths classiques. Cela dit, passons. Partons d’un fait : la même nature de civilisation, ou, pour employer une expression plus précise, quoique plus étendue, la même société n’a pas toujours occupé la terre. Le genre humain dans son ensemble a grandi, s’est développé, a mûri comme un de nous. Il a été enfant, il a été homme ; nous assistons maintenant à son imposante vieillesse. Avant l’époque que la société moderne a nommée antique, il existe une autre ère, que les

hérité. Il s'attarde aux descriptions du Pô, de la nature dans laquelle le prince s'égare, aux longs discours adressés aux courtisans et à Grisélidis, aux comparaisons élaborées, aux discours intérieurs, et surtout Grisélidis porte encore la marque du style précieux. Résumé : Un riche, beau, puissant prince, aimé de tous ses sujets, refuse de prendre femme car il pense que les femmes sont des hyprocrites qui ne présentent qu'un masque de ce qu'elles sont en réalité quand elles sont jeunes filles, et

les jetteront à la tête des Goliaths classiques. Cela dit, passons. Partons d’un fait : la même nature de civilisation, ou, pour employer une expression plus précise, quoique plus étendue, la même société n’a pas toujours occupé la terre. Le genre humain dans son ensemble a grandi, s’est développé, a mûri comme un de nous. Il a été enfant, il a été homme ; nous assistons maintenant à son imposante vieillesse. Avant l’époque que la société moderne a nommée antique, il existe une autre ère, que les

que l'on vouvoie donc par respect ? A moins que Baudelaire ne s'adresse à toutes les femmes ? L'apostrophe lyrique « Ô Beauté » le laisse supposer. Certes, le poète fait agir une ou des personnes dans son allocution, ce qui définit la prosopopée (figure de rhétorique qui repose sur un système énonciatif, qui sollicite des formes temporelles, des personnes pronominales). Il ne s'agit pas d'une simple causette entre deux amoureux...L'auteur fait agir ou met en scène une personne absente, peut-être