La Bete Humaine Figure De Style

trouver un emploi : « enlever tout honnête moyen de subsister » ❖ Hugo, en mettant en scène Fantine, fait le procès d'une société qui pousse une femme à perdre toute humanité. Fantine devient une sorte de bête « Elle se sentait traquée et il se développait en elle quelque chose de la bête farouche », n'ayant plus ni « honte », ni « coquetterie ». Même la force de son instinct maternel lui donne un caractère animal. Les responsables sont ceux qui réclament de l'argent à Fantine alors même qu'elle

monarchie de Juillet, par réaction contre la régularité classique jugée trop rigide et le rationalisme philosophique des siècles antérieurs. A côté des représentants les plus illustres du mouvement, comme Delacroix ou Géricault, apparaissent des figures moins connues en France, telle que Johann Heinrich Füssli. 1. Sa Vie A. La naissance d’un artiste Johann Heinrich Füssli est né le 7 février 1741 à Zurich, c’est le fils de Fils de Johann Caspar Füssli et d’Anna Elisabeth Wasser. Il est

on » peut renvoyer à quelques personnes ou à tout le monde. La famine est très ancienne, elle a régné à toutes les époques. Nous avons loué des skis hier, mes amis en loueront demain. Un loup surgit du bois attiré par un troupeau de chèvres. Cette bête affamée dévore un chevreau. vocabulaire familier ou vulgaire, élisions, non inversion du sujet et du verbe dans les questions, négation incomplète. une bicoque, une piaule / Tu peux me passer le sel ? / Faut que j’me magne / C’est pas mon problème

| |Ce qui lui valait tant d'honneurs, | | |Puisqu'au fond, comme un autre, il n'était qu'une bête. | | | |personnification, merveilleux, | |

lui le roman se veut observation quasi-scientifique de la société et des hommes et il se targue de découvrir les lois régissent les comportements humains. Il organise son œuvre immense sous le titre La comédie humaine, après avoir envisagé le titre d’Etudes sociales. Chaque roman est l’occasion d’explorer un milieu donné et d’étudier des types humains. César Birotteau et le monde du commerce, La maison Nucingen et celui de la banque, Eugénie Grandet, La Rabouilleuse et la bourgeoisie provinciale

Les figures de style Art de la persuasion Le rhéteur = l’orateur * La rhétorique * L’éloquence Persuader / le langage, séduire… A) Les figures d’analogie (ressemblance) ou image Elle relie deux éléments séparés dans la réalité. * La comparaison Elle rapproche 1 élément comparé d’un élément comparant. * La comparaison filée Elle se prolonge sur pls termes € au même champ lexical que le comparant * La métaphore Une comparaison elliptique (sans « comme ») qui

pas condamné à raconter des histoires. Tout livre est construit sur un constant va-et-vient, sur un aller-retour entre la fiction et les événements. La littérature d'idées n'est pas une littérature formelle, abstraite, où tout se jouerait dans le style abscons, dans un galimatias ébouriffé. Même les récits romanesques bourrés de personnages et d'intrigues peuvent servir d'écrin à une réflexion, vulgariser une doctrine, sans verser dans le didactisme érudit ou pédant. La littérature nous aide à comprendre

Les figures de style : I/Fondées sur la substitution : • La métonymie : consiste à remplacer un terme par un autre terme que celui qui convient en faisant un glissement de sens ( le contenu par son contenant, un objet par sa matière … ). → Boire un verre : on ne boit pas le verre mais son contenu. • La synecdoque : variante de la métonymie, la synecdoque consiste à remplacer un terme par un autre tout en en faisant une description fragmentée. → Les voiles au loin = le bateau. • La périphrase :

lit et tressaillant d'ivresse aux tièdes baisers de la brise qui lui passait sur la figure; ou bien avec Henry, marchant dans l'herbe mouillée, causant de tout, ne regardant rien ; ou encore seul et grave, quand il venait contempler la verdeur de la verdure et la splendeur du jour, pour se pénétrer l'esprit du gazouillement du ruisseau sur les cailloux, du bruit des charmes, du bêlement des chèvres, de la figure des fleurs, des formes des nuages, des teintes décroissantes de la lumière, pour comprendre

personne (certainement son amant Auguste Lantier). Elle assiste à une scène très désagréable pour elle car Gervaise est témoin d’une destruction humaine du à l’alcool que ces hommes ingurgitent pour oublier leurs problèmes ou soulager leur conscience. Le point de vue narratif est interne car Gervaise est celle qui observe et voit la scène puis le style d’écriture est indirect libre. Ensuite, le réalisme précis et cru de le description de la scène est décris avec un niveau de langue très familier