La Bete Humaine Train

l'ont fait . !!En route !le voyage commence maintenant! I]1 er arret : le monde des ecrivains Des auteurs , dans leurs œuvres litteraires ,cite ce monde industriel naissant . Nous rencontrons Zola en 1890 ,celui ci situe son roman la Bête Humaine dans le milieu du chemin de fer qui le passionnnait . L'histoire a pour cadre la ligne Paris-Saint-Lazare - Le Havre. Il nous explique qu'il a mene une enquete tres pousse afin d'aquerir le vocabulaire tres specifique de ce milieu.Afin de mieux

Séquence initiale du roman : Roubaud contemple d'en haut la gare Saint-Lazare en train de fonctionner par un bel après-midi d'hiver. Le point de vue est interne à l'entreprise de chemin de fer, mais c'est celui d'un petit cadre, sous-chef de gare, satisfait d'appartenir à une vaste organisation bien rodée, attentif à la régularité et à la complexité de l'ensemble, qu'il a pour mission habituellement de régir. Il n'est pas saisi en plein travail, mais dans un moment de repos où il peut aussi avoir

cogne ! ... Ca m’amuse, moi, qu’on aille vite !" (...) Le train, maintenant, roulait à toute vitesse, sur le plateau qui va de Bolbec à Motteville (...) Jacques, du pied, avait refermé la porte. Puis, manoeuvrant l’injecteur, se contenant encore : "Il y a trop de feu ... Dormez si vous êtes saoul." _Immédiatement Pecqueux rouvrit, s’acharna à remettre du charbon, comme s’il eût voulu faire sauter la machine . Zola, La Bête humaine, 1890, ch . 12 . Texte 2_ _ Ceux qui étaient dedans

Personnages de « La Bête Humaine » Chapitre 6 à 12 | | Jacques | Phasie | Cabuche | Misard | Flore | Henri Dauvergne | Denizet | Origine géographique | | Habite à la Croix de Maufras | | | Habite à la croix de Maufras | | Vient de Caen. | Origine familiale | | Femme de Misard, marraine de jacques, tante de Flore. | | Marie de Phasie, il a deux filles | Filles des gardes barrières | Fils de M. Dauvergne et a 2 sœurs : Claire et Sophie qui sont ménagères. | Fils de paysan | Origine

Français: résumé La bête humaine,Emile Zola Roubaud, sous-chef de gare au Havre, a dû se rendre à Paris pour une affaire avec le sous-préfet. ll attend sa femme, Séverine, au cinquième étage d’un immeuble de l’impasse d’Amsterdam d’où il contemple la gare Saint-Lazare. Au retour de la jeune femme, après avoir dîner, il apprend que le président Grandmorin, tuteur de la jeune fille, auquel il doit tout, abuse d’elle depuis son enfance. Fou de jalousie, il contraint Séverine à écrire au vieillard

personnage dans un milieux et le faisait évoluer en fonction de ce milieux ce qui permet d'étudier les défaut physiques et psychiques sous le Second Empire pendant la Révolution industrielle parmi ses nombreuses œuvres il écrivit notamment le roman «La bête Humaine» dont est extrait ce texte. Cet extrait nous met en scène la gare Saint-Lazard par les yeux de Roubaud, un employer de la gare du Havre par un discours majoritairement descriptif et un registre réaliste. Cette association permet de rendre le récit

Le texte que nous allons étudier est un passage du roman réaliste la bête humaine d'Emile Zola publié en 1890. Nous allons voir comment ce passage réaliste bascule t-il dans le fantastique. Pour répondre à cette question, nous allons tout d'abord parler de la dimension réaliste et pour finir nous parlerons de la dimension fantastique. Nous allons donc développer la dimension réaliste que détient le passage du roman. Tout d'abord, les personnages eux-mêmes sont réalistes avec leurs métiers

dévoile la misère humaine, et joue avec l’influence de l’hérédité. Il a pour but de tout montrer : bourgeois, ouvriers, provinciaux, prostituées, et alcooliques. Cette réalité est fondée sur un travail de documentation minutieuse. En effet pour préparer chacun de ses romans, Zola accumule les repérages sur le terrain afin de rendre une reproduction exacte et sincère de la ville de Paris et de la vie quotidienne. Ainsi, dans « La bête humaine », il raconte

Émile Zola, La Bête humaine, chapitre X. Flore se leva, sortit du trou de roches. Elle n'hésita pas, car elle venait de trouver d'instinct où elle devait aller. D'un nouveau regard au ciel, vers les étoiles, elle sut qu'il était près de neuf heures. Comme elle arrivait à la ligne de chemin de fer, un train passa, à grande vitesse, sur la voie descendante, ce qui parut lui faire plaisir : tout irait bien, on avait évidemment déblayé cette voie, tandis que l'autre était sans doute encore obstruée

et Justice, qui reste inachevé, car Zola meurt prématurément d'une asphyxie accidentelle. 2:Le naturalisme est un mouvement littéraire qui, dans les dernières décennies du XIXe siecle, cherche à introduire dans les romans la méthode des sciences humaines appliquées à la littérature par Claude Bernard. CITATIONS: Emile Zola : « J'en suis donc parvenu à ce point : le roman expérimental est une conséquence de l'évolution scientifique du siècle ; il continue et complète la physiologie, qui elle-même