La Bruyère Racine Et Corneille

une période brève, couvrant à peu près la seconde partie du siècle (voire même seulement, disent certains, les années 1660-1680). On y verra les grands auteurs du théâtre, le dernier Corneille, Racine, Molière, côtoyer La Fontaine, Mme de Lafayette et Boileau, mais aussi Bossuet et La Rochefoucauld, ou encore La Bruyère. L' ensemble ne nous paraît pas réellement homogène : c'est qu'il a été bâti sur une double opposition. Première opposition : classique et romantique. Le classicisme français a été

Les textes montrent l'homme face à une puissance qui le dépasse : le destin, la passion, l'His-toire. Ce registre est caractérisé par le lexique de la fatalité et du désespoir. Il utilise l'exclamation, l'interrogation, l'apostrophe. Ex. : Phèdre de Racine. LE REGISTRE PATHETIQUE Il cherche à émouvoir le lecteur ou le spectateur par des situations ou des discours marqués par la passion, la souffrance... Le spectacle et le lexique des émotions (douleur, pitié), les rythmes brisés, les interjections

Saint-Amant, Cyrano de Bergerac … - du baroque au classicisme. . Descartes, Corneille, La Fontaine, Pascal, Molière, Madame de Sevigné … - classicisme. Courant n’existant qu’en France et s’opposant au baroque. Recherche de la perfection formelle. Dans le théâtre, présence des trois étapes décrites dans l’Antiquité par Aristote. . Bossuet, Madame de Lafayette, Boileau, Racine, La Bruyère ... . 1610 – 1643 : règne de Louis XIII ; 1643 – 1661 : régence d’Anne d’Autriche ;

théâtre -LE XVI SIECLE iiiiija-La Renaissance iiiiijb-La Pléiade iiiiijc-Rabelais iiiiijd-Montaigne -LE XVII SIECLE iiiiija-Introduction iiiiijb-Les grands courants littéraires du XVII siècle iiiiijc-La Tragédie iiiiijd-Pierre Corneille iiiiije-Jean Racine iiiiijf-Le Jansénisme iiiiijg-Blaise Pascal iiiiijh-Molière -LE XVIII SIECLE Qu’est-ce que le symbolisme ? Le symbolisme est avant tout un courant de pensée, reposant sur la conviction que le monde réel n’est fait que d’apparences

littéraire : le Classicisme Différents auteur du 17ème siècle : Boileau Nicolas, 
Bossuet Jacques Henri ,
Corneille Pierre, 
Descartes René, Fénelon François de Salignac,
 La Bruyère Jean de (
La Fayette Marie-Madeleine (1634 - 1693) 
La Fontaine Jean de (1621 - 1695) 
La Rochefoucauld François de (1613 - 1680)
Molière (1622 - 1673) 
Pascal Blaise (1623 - 1662)
Perrault Charles (1628 - 1703) (L)
Racine Jean (1639 - 1699)
Sevigne Marquise de (1626 - 1696) Fiche d’étude du texte I. Un Dénouement spectaculaire

courant pastoral (les illustes bergers), raffinements de la poésie mondaine (Vincent Voiture). Les grands auteurs de l'époque, tels Corneille, Racine, Molière, La Fontaine, s'inspirent des Grec. Il ya aussi des autres genres de poesie comme : La poésie officielle La poésie burlesque (Paul Scarron) La poésie mondaine (Nicolas Boileau) Le portrait (Jean de La Bruyère) La fable (Jean de La Fontaine) ... Architecture : L’architecture classique française est issue de l’admiration et de l’inspiration

Définition : Le baroque est l'art du mouvement ; c'est une esthétique, une vision du monde, un comportement, une manière de réagir à une crise. Auteurs baroques : - D’Aubigné : Les Tragiques (1616) - Viau : Elégie à une Dame (1621) - Corneille : L’illusion comique (1636) - Cyrano de Bergerac : Histoire comique des Etats et empires de la Lune Artistes humanistes : - Le Bernin - Rubens Contexte historique : Règne d’Henri IV, puis régence de Catherine de Médicis, puis

conspirateur. Certains de ces grands périront décapités. Cette atmosphère provoqua chez les Nobles un sursaut d'honneur, une revendication de gloire. En effet, le mythe de la gloire est présent dans le théâtre et les romans; beaucoup de personnages de CORNEILLE (Horace, Auguste...) ou de romans parlent de ''courage'', de ''cœur'', de ''générosité'' et de ''gloire''; les romans affichent ensuite des personnages surhumains: GOMBERVILLE a écrit Polexandre en 1637. Le mythe de la gloire est lié à la reconnaissance

semble pas nettement dégagée : C’est le pathétique qui règne, avec le spectacle douloureux du malheur des héros et les accents déchirants de leurs plaintes. La tragédie classique, au contraire marquera le triomphe de l’émotion tragique proprement dite, Racine incarnant l’idéal du tragique pur, distinct du pathétique comme du dramatique. Le dramatique (tragicomédie ou drame romantique) repose sur l’attente anxieuse du dénouement, tandis que les péripéties fortuites d’un conflit violent font alterner l’espoir

de l'amour courtois et obéit au même code. Portrait, maxime, blason : poème qui fait l'éloge de la beauté ou de la laideur) →g brefs Exagérations, métaphores, périphrases Richelieu, Paul Scarron, Madame de la Fayette Madame de Sévigné Pierre Corneille Honoré d'Urfé Classicisme Correspond à la première partie du règne de Louis XIV et à la période de la monarchie absolue. La langue est fixée, les règles énoncées et surtout codifiées par Nicolas Boileau dans son Art poétique (1674). Prône l'imitation