La Chanson Temoigne De La Culture Ouvrière

| | |Problématique générale : En quoi l’intégration des ouvriers dans la République témoigne de nouveaux rapports entre la République et les ouvriers ? | |Niveau et classe : 1ère Bac Pro HR |

d'avoir de nouvelles dépenses (culture, éducation, loisirs, épargne). La classe ouvrière se retrouve dépendante des emplois fournit par la bourgeoisie industrielle. Ces contrastes, voire ces injustices, vont pousser à la création de nouvelles idéologies.   « Horrible massacre à Lyon » Répression de la révolte des canuts (ouvriers de la soie) à Lyon en avril 1834. Imagerie du milieu du XIXe siècle. © J.-L. Charmet Dans la première moitié du XIXe siècle, la lutte ouvrière se manifeste par des actions

Richard Strauss fut un compositeur très particulier, très mystérieux. Il fut le premier président de la chambre de la musique du IIIème Reich. Mais pourtant ses idées politiques étaient mystérieuses. Oui, Richard Strauss était antisémite par culture, mais comme bien d'autres en ce temps pas si nettement dans les faits (il a défendu ses proches juifs, de sa famille ou non) ; il a bel et bien été en charge officiellement sous le régime nazi (seul moyen de ne pas perdre son métier, comme Franz Schreker

comment ces filles de joies et leur activité étaient perçues. I. Les prostituées et comment en faire un art A. Les différents types de prostituées On distingue donc deux sortes de filles de joie selon les classes sociales : Les courtisanes Les ouvrières Certaines sont regroupées dans des maisons closes, qui fera office d’un troisième sous-titre. a) Les courtisanes Les courtisanes se donnaient aux classes sociales les plus élevées comme les rois, les princes, etc… Les pères de famille amenaient

Question problématisée : 1968, une contestation transnationale dans le bloc occidental ?Consigne : vous trouverez ci-dessous une question problématisée rédigée. Seuls les arguments (idées principales) sont rédigés : vous devez ajouter, à l’aide du corpus documentaire, un ou plusieurs exemple(s) pour chaque argument , dans les encadrés prévus à cet effet. Vous serez évalués selon deux critères : · Sur 10 points : la pertinence des

PLAN Intro, conséquences de la guerre (humain, matériel, politique étrangère pacifiste, éco), culture (dada, surréalisme, américains, musiques et danses, art déco, garçonne) mais élitiste et les autres de masse (cause féminine, télécommunication…), permanence des problèmes (laissé pour compte, instabilité politique, éco mitigée, clivages sociaux…) Le glas des années folles, conclusion, débat. Introduction Après l’épreuve de la Grande Guerre, les années 1919 à 1929, « les années 20 », signent une

leur production au divertissement3, ils ont, ni plus ni moins, initié ce que Raynor appelle « le culte de la musique légère », lequel a donc vu le jour à Vienne, au début du XIXe siècle, avant de se répandre dans le monde germanique et, comme en témoigne Jacques Offenbach, jusqu’à Paris et au-delà. Plus important encore : dans le sillage de cette révolution – que le musicologue Derek Scott appelle « la révolution des musiques populaires au XIXe siècle » – sont apparues des caractéristiques dont

monde ? B. Sujets d’étude Le 1er mai : On montre que, à partir des événements fondateurs Le 1er mai (p. 102-107) de la décennie 1880, la journée du 1er mai devient un symbole 1. Aux origines du 1er mai des luttes sociales et de l’identité ouvrière. 2. Les revendications du 1er mai 3. Les enjeux du 1er mai Les mutations d’une filière économique : Durant l’étude, Les mutations de la filière automobile (p. 108-113) les transformations techniques sont mises en relation avec leurs 1. L’automobile

difficultés rencontrées par la France au début du XX siècle : • Rude condition ouvrière et paysanne • Chute de la natalité • Mentalités et structures économiques traditionnelles Toutefois pour la France ces années sont synonymes : • D’un triomphe des valeurs républicaines dans une Europe en grande partie monarchiste • D’une puissance ouverte au monde et à la modernité en témoigne l’exposition universelle de 1900 à Paris. • De Paris s’imposant comme la capitale

culturelles • la socialisation: le renouvellement incessant des membres d’un groupe n’empêche qu’une certaine pérennité des comportements se fasse jour. La culture (au sens anthropologique du terme) se transmet de générations à générations par le biais de la socialisation. C’est l’ensemble des processus par lesquels un individu intériorise la culture de son groupe d’appartenance et construit son identité sociale, ce qui permet son intégration à ce groupe et, d’une manière plus large à l’ensemble de la