La Chute De Fantine

femmes | |- Pierre Perret, Lily |face à l’adversité. | |HACHETTE Annales Bac STG 2008 |Commentaire : Hugo, Les Misérables, de « Fantine jeta son miroir par la fenêtre » | |HATIER Annabac STG 2006 |à la fin du texte. | | |Dissertation :

plume, accumule les piges, publie quelques romans, dont seul Thérèse Raquin obtient de l’attention. Le premier tome laissait Zola, marié à Alexandrine, replié à Marseille puis à Bordeaux, après la débâcle devant les armées prussiennes et la chute de l’Empire, suivant de loin, en bourgeois timoré, les excès de la Commune. Le deuxième tome le reprend à Paris, s’effarant des excès de la répression. Il est républicain dans l’âme, ses ennemis le déclarent socialiste, autant dire le désignent

plume, accumule les piges, publie quelques romans, dont seul Thérèse Raquin obtient de l’attention. Le premier tome laissait Zola, marié à Alexandrine, replié à Marseille puis à Bordeaux, après la débâcle devant les armées prussiennes et la chute de l’Empire, suivant de loin, en bourgeois timoré, les excès de la Commune. Le deuxième tome le reprend à Paris, s’effarant des excès de la répression. Il est républicain dans l’âme, ses ennemis le déclarent socialiste, autant dire le désignent

sa plume, accumule les piges, publie quelques romans, dont seul Thérèse Raquin obtient de l’attention. Le premier tome laissait Zola, marié à Alexandrine, replié à Marseille puis à Bordeaux, après la débâcle devant les armées prussiennes et la chute de l’Empire, suivant de loin, en bourgeois timoré, les excès de la Commune. Le deuxième tome le reprend à Paris, s’effarant des excès de la répression. Il est républicain dans l’âme, ses ennemis le déclarent socialiste, autant dire le désignent à la

est «encore de la glu pour nous prendre et nous manger» (page 422) ; - elle se reprochait de rêvasser «comme une bête» : «j'étais partie en l'air [...] dans les nuages. Et l'on se casse les reins en retombant dans la crotte [...] toute brisée de sa chute, du haut de l'idéal» (page 423) ; - le vieux Mouque étant malheureux, «une débâcle de gros mots jaillit de sa bouche» (page 425) ; - Rasseneur laissait «couler son éloquence facile, d'une douceur apaisante d'eau tiède» (page 426) ; - la concession

doute de l'écrivain. Il lui en sera toujours reconnaissant. L'écrivain n'a pas été mobilisé en 1870. Il aurait pu être intégré à la Garde nationale, mais sa myopie et son statut de soutien de famille (pour sa mère) l'en ont écarté[22]. Il suit la chute du Second empire avec ironie, mais ne se trouve pas à Paris pendant la Semaine sanglante. On sait toutefois que sans soutenir l'esprit de la Commune, dont il relate modérément les évènements dans la presse, il ne s'est pas associé à Flaubert, Goncourt

est «encore de la glu pour nous prendre et nous manger» (page 422) ; - elle se reprochait de rêvasser «comme une bête» : «j'étais partie en l'air [...] dans les nuages. Et l'on se casse les reins en retombant dans la crotte [...] toute brisée de sa chute, du haut de l'idéal» (page 423) ; - le vieux Mouque étant malheureux, «une débâcle de gros mots jaillit de sa bouche» (page 425) ; - Rasseneur laissait «couler son éloquence facile, d'une douceur apaisante d'eau tiède» (page 426) ; - la concession

bien le regard avec les termes « miroiter » et « luisants », l’oreille avec le verbe « crier » et la comparaison « comme un appel aux armes », que le toucher de la main avec le participe adjectif « glacés ». Sensualité aussi très suggestive de la chute des reins, grâce à l’expression hyperbolique « exagérément cambrée, comme il est rare de l’être en France ». Là encore, une métonymie Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours condense l’impression d’ensemble que cette sensualité triomphante

fille-mère héroïque Fantine, belle et naïve ouvrière abandonnée avec une enfant pour laquelle elle fera tous les sacrifices. « Fantine était belle et resta pure le plus longtemps qu’elle put. C’était une jolie blonde avec de belles dents. Elle avait de l’or et des perles pour dot, mais son or était sur sa tête et ses perles étaient dans sa bouche. » Question liminaire : Quelle image du héros de roman chacun de ces textes propose-t-il ? L’enfant martyr Cosette, la fille de Fantine, maltraitée par les

bien le regard avec les termes « miroiter » et « luisants », l’oreille avec le verbe « crier » et la comparaison « comme un appel aux armes », que le toucher de la main avec le participe adjectif « glacés ». Sensualité aussi très suggestive de la chute des reins, grâce à l’expression hyperbolique « exagérément cambrée, comme il est rare de l’être en France ». Là encore, une métonymie Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours condense l’impression d’ensemble que cette sensualité triomphante