La Controverse Guesde Jaurès

La « controverse » Guesde Jaurès, discours de Jean Jaurès, Lille, 26 Novembre 1900 Les tentatives de coup d’Etat de Mac Mahon en 1977 ou de Deroulède en 1899 montre la fragilité de la 3ème République. Le 26 novembre 1900, Jaurès se confrontent à Guesde, à Lille, devant les différents socialistes et explique sa position à propos, entre autre, de l’entrée de Millerand au gouvernement Waldeck-Rousseau. Alors que Guesde juge cette entrée au gouvernement bourgeois inutile, Jaurès la justifie. Comment

efficace et qui soutienne la République. L'école permet également la transformation sociale (instruction des ouvriers, développement de la langue française...) création du premier parti socialiste, le Parti Ouvrier Français (POF) de JULES GUESDE (1882). Il est hostile à l'autonomie syndicale: les syndicats doivent être selon lui une « courroie de transmission » du parti. Fondation de la Ligue des Patriotes par DEROULEDE (1882) 1884 Reconnaissance officielle des

Puck Cahier Printemps 2009 Puck est un bulletin d’informations et de commentaires Pédagogiques de la direction Premier Editorial de Jean Jaurès paru dans l’Humanité du 18 avril 1904 L’Humanité du 18 avril 1904 ne reproduisait pas l’intégralité du texte de Jaurès, le texte publié ici présente le texte complet en distinguant par l’emploi d’un caractère italique les passages supprimés. Notre but Le titre même de ce journal, en son ampleur, marque exactement ce que notre parti se propose

peuvent être crées que par une autorisation législative. -          Deuxième loi radicale phare, votée sous le deuxième gouvernement radical mené par E. Combes en 1902 ; dirige un gouvernement dit du « Bloc des Gauches » (radicaux, socialistes de Jaurès, ...). Préparation de la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat, adoptée le 9 décembre 1905 : fin du Concordat en France. Circonstances : critique du nouveau Pape, Pie IX, interprétées comme des révocations du système républicain ; Affaire Dreyfus

général de l'Internationale où il représente l'Espagne jusqu'au Congrès de Bruxelles en 1868. Il participe à la Commune de Paris en 1871 puis gagne l'Espagne où il fonde, à Madrid, une section marxiste (1871) de la 1e Internationale. Il rencontre Jules Guesde, avec qui, en France il fonde le Parti ouvrier (1880) et son périodique, le Socialiste (1885-1904). Il est incarcéré en 1883. Il devient député de Lille en novembre 1891 alors qu'il était à nouveau emprisonné à la suite d'une condamnation pour « provocations

histoire politique. Débat autour des notions de souveraineté, de liberté et d'égalité. Partisans et adversaires de la RF et des bouleversements qu'elle engendre s'affrontent violemment : guerre civile pendant 2 générations ; mouvement ininterrompu de controverses : − ceux qui condamnent en bloc et qui fondent une idéologie conservatrice, traditionaliste − ceux qui exaltent sans réserve la RF − ceux qui distinguent « bonne R° » de 1789 et « mauvaise R° » de 1793 1. La pensée révolutionnaire 1.1 Les principes

Cependant, les deux grands partis qui se disputent la tête de l’Internationale sont la social-démocratie allemande, et la S.F.I.O. (section française de l'Internationale ouvrière). Les socialistes français s’organisent majoritairement autour de Jaurès et de Guesde. Au nom de la tradition française de la lutte et de son passé, ils veulent généralement prendre ainsi la direction de l’Internationale. Les allemands, eux, fort de leur puissance politique avec la sociale démocratie, le SPD compte plus d’un

participation politique circonscrite : Jules Grévy parle d’anarchie lorsqu’il s’agit de parler de peuple qui choisit en dehors du choix de l’élu. C’est pour cela qu’une partie des ouvriers ne se retrouve pas dans ce programme opportuniste républicain. Jules Guesde qui créé le partie ouvrier français a dit dans un éditorial qu’il est nécéssaire de donner des modes d’expression plus grand à la population. Comme les républicains n’ont qu’une confiance très modérée dans cette souveraineté. Ils vont alors se reposer

semble, depuis cinquante ans, que l’Affaire reste une référence politique et mémorielle. Ainsi, en 1945, lorsque Maurras est condamné à la Libération, il lance au tribunal : « c’est la revanche de Dreyfus ». En 1994, deux événements sont l’objet de controverse : la publication d’une note du service des armées, le 31 janvier, indiquant que « la thèse de l’innocence de Dreyfus est une thèse généralement admise par les historiens » ; la diffusion du téléfilm d’Yves Boisset qui s’est vu, dans un premier temps

Assemblée Nationale. Cet amendement est adopté à 353 voix contre 352. On ne parle plus de Mac Mahon mais de la fonction de président de la République. Cet amendement est la base du régime parlementaire de la IIIè République. En raison des controverses entre les deux héritiers de la couronne, on se rend compte que la situation est bloquée et les monarchistes acceptent de mettre en place la République. C’est suite à cela qu’on a les trois lois constitutionnelles de 1875. Ainsi, les lois des