La Cours Dans La Princesse De Clèves

SEQUENCE 1 Texte 1 Extrait du tome I de La Princesse de Clèves, de Mme de Lafayette (1678). - édition Bibliolycée p. 67-68 - "Il faut nous quitter, ma fille, lui dit-elle, en lui tendant la main ; le péril où je vous laisse et le besoin que vous avez de moi

Age. – XVIIe : les romans étudient la psychologie des personnages (leur manière de penser, d’éprouver la passion, …). D’où : de nombreux récits d’histoires d’amour tels que La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette qui relate la naissance d’une passion amoureuse adultère dans le cœur de la très vertueuse Mme de Clèves. Elle s’en amourache secrètement du Duc de Nemours mais renonce au nom de la morale. – XVIIIe : la production romanesque devient importante. Apparition du roman épistolaire (dont

littéraires. Ainsi, il tient du théâtre en recourant aux dialogues qui dévoilent le « cœur » du personnage et en font le portrait en paroles. Dans La Princesse de Clèves, par exemple, par des effets de contraste et de surprise, le dialogue révèle la complexité du sentiment amoureux de la jeune héroïne, notamment lors de la scène de la séparation de la Princesse et du duc de Nemours. Mme de La Fayette en nous donnant à entendre le trouble de la jeune femme face à un homme qu’elle aime et de qui, elle en

afin de poursuivre, enrichir et réviser "Les Essais". Dans les Essais, Montaigne se dépeint lui-même, comme un sujet observé, sans artifice, pour révéler son "moi" dans son entière nudité, pour se comprendre et comprendre le monde. Il laisse libre cours à ses pensées souvent imprégnées de pessimisme, telles qu'elles se présentent à lui. Son étonnement philosophique commence avec sa devise "Que sais-je ?". Son influence sur la littérature française est très importante. L'oeuvre de Montaigne est celle

courageux, vertueux Ses actions : la corruption, la destruction Ses attributs moraux : immoral ou amoral, violent, souvent sans états d’âme Les chevaliers, comme Lancelot ou Galaad, dans les Romans de la Table Ronde. Le duc de Nemours dans La Princesse de Clèves. On le trouve souvent présenté en opposition au héros positif. Vautrin, dans La Comédie humaine de Balzac. George Duroy, dans Bel-Ami de Maupassant. Emma Bovary, dans Madame Bovary de Flaubert. Meursault, dans L’Etranger de Camus. Le héros

12ème siècle. Il est en effet preux, valeureux, courageux et fière et il n’hésite pas à aller au devant du danger pour sauver son peuple. Enfin, les héros romanesques délivrent une morale, donnent une leçon au lecteur. Ainsi, dans la Princesse de Clèves de madame de La Fayette écrit au 17ème siècle, l’héroïne réalise un acte exemplaire en avouant à son mari qu’elle est attirée par un autre homme, chose qui ne s’avouait pas à cette époque là. De plus, pour lui rester fidèle, elle lui demande

faiblesses humaines. Ces règles et codes de la vie sociale de l’époque furent adaptés en littérature par Boileau avec son œuvre : L’art poétique. Ces règles imposent donc des contraintes aux auteurs que ça soit dans l’écriture de romans comme La Princesse de Clèves (Mme De Lafayette), dans la composition de poésies ou de fables comme Le Chêne et le Roseau (La Fontaine), ou bien l’écriture de pièces de théâtres tel que Les fourberies de Scapin (Molière) ou Cinna (Corneille). Les contraintes alors imposées

à nouveau en 1753. Cette œuvre, fait partie des Siècles des Lumières, un siècle marqué par des débuts de révoltes du peuple contre le royaume face à la liberté de l’homme et surtout la révolte des écrivains pour la libre publications de romans. Au cours des années, différents écrivains comme Flaubert, définissent les héros de cette œuvre, comme « romanesques ». Le héros a comme fonction de captiver le lecteur quelque soit son caractère. Flaubert, a-t-il raison en disant que des personnages romanesques

l’univers » Corneille. * C’est l’image de l’homme du 17ème siècle, le respect de l’être humain (Comme dans « La Princesse de Clèves). L’omniprésence de Louis XIV dans le domaine des Arts (Il voulait tous les artistes talentueux à sa cour) a aussi attiré Quignard, qui a fait de son personnage principal un homme en marge, qui l’intéresse plus que les artistes officiels de la cours. Les questions que cet ouvrage se pose sont les suivantes : L’artiste doit-il se compromettre pour exister ? Jusqu’ou

évolution du personnage de Frédéric Moreau et son périple « amoureux » pour conquérir Mme Arnoux , dans L’éducation sentimentale de Flaubert) * Héros éponyme le plus souvent (ex: Le père Goriot de Balzac, Manon Lescaut (L’abbé Prévost) , La Princesse de Clèves de Mme de Lafayette , Adolphe de Benjamin Constant). * Il est au premier plan et les autres personnages s’effacent face à lui ; ils ne sont là que dans un but purement pratique ou esthétique ( par exemple ils sont là pour aider le héros