La Course à la mort de l'an 2000

INTRODUCTION Dans une volonté de renforcer l'unité africaine, trente-deux chefs d'Etat africains,réunis à l'invitation de l'empereur d'Ethiopie,adoptent à Addis-Abeba, la Charte de l'Organisation de l'Unité Africaine qui fut rédigée notamment par le président malien Modibo Keïta et le président togolais Sylvanus Olympio quelque temps avant sa mort. Cette dernière marque la création de l'OUA. Cette charte est inspirée par l'idée que l'Afrique doit pouvoir s'exprimer de façon unitaire.Les principes

Le culte du nombre La première partie du livre est consacrée au « culte du nombre », et c’est la plus passionnante. L’auteur y montre que, au cours des XVIIe et XVIIIe siècles, « la mathématique devient le modèle du raisonnement et de l’action utile », et que « la pensée du chiffrable et du mesurable devient le prototype de tout discours vrai, en même temps qu’elle instaure l’horizon de la quête de perfectibilité des sociétés humaines ». Leibniz est incontestablement l’un des fondateurs de

Résumé chronologique Moyen Age. Rappel : Haut Moyen Age : des royaumes francs à l’Empire de Charlemagne. Le rassemblement par les rois Capétiens : Moyen Age classique (10-12ème siècles). L’affirmation du pouvoir de l’Etat (13-15ème siècles) : fin du Moyen Age classique, et bas Moyen Age ou Moyen Age tardif. LA NAISSANCE DE LA FRANCE • Clovis, couronné roi des Francs en 481, dynastie mérovingienne. (5ème -7ème siècle). • Charlemagne sacré Empereur d’Occident en 800

(une partie cat. 3) * employés qualifiés (une partie cat. 5) * ouvriers qualifiés (une partie cat.6) Sentiment d’appartenance à la classe moyenne. On parle d’une « moyennisation « (évolution, mouvement) :  inégalités (strobiloïde).  PCS dites moyennes.  sentiment d’appartenance (75% des français) Mvt très flagrant durant les 30G. B)1. A partir 80’s,  processus de moyennisation, voir dvpt d’une polarisation. Inégalités traditionnelles : inégalités éco. et sociale. Ralentissement

science de l’éducation couvre. Une idée et des pistes pour convertir notre regard sur l’éducation. Sans éducation  mort de la société. Les sciences de l’éducation hors école : Variété des domaines, nouveauté des enjeux. Processus de transformation de l’autre, « prendre l’autre et le modifier » Freud : gouverné, soigné, éduqué : 3 choses impossibles Axe principaux du cours : 1 science de l’éducation font partie des sciences de l’homme. 2 Comment l’école et les sciences de l’éducation

société auxquelles on est contraint d'obéir 1.- Les caractères de la règle de droit A.- Le caractère général et impersonnel Générale : destinée à tous les membres de la société (ex : résidents de la France). Mais elle peut être sectorielle (ex : que les commerçants français), voire très sectorielle. Elle n'est pas nominative. C'est pourquoi elle donne une impression d'égalité. Cependant elle peut s'appliquer à une seule personne (ex : règle de droit pour le Président de la République). Exception

droits et libertés individuelles n'est cependant pas propre à la démocratie. Ce respect des droits renvoie à la notion « d'état de droit ». Dans un langage plus passéiste, il peut y avoir des démocraties qui ne sont pas des états de droits, et vice versa. Un auteur américain, Robert Dahl, qui étudia la démocratie, et qui examina à l'aide de sa définition si, le système américain correspond, ou pas, à la démocratie. Il considère qu'il y a 8 critères cumulatifs nécessaires pour un système démocratique

matériel = décrire la constitution par son contenu, par son obj. -Conception normative, formelle = Décrire la constitution non plus par son obj, son contenu mais par la procédure qui à conduit à son adoption. Cette procédure déterminant la valeur normative de la constitution en question. A. La Déf traditionnelle de la constit a) Conception matériel de la constit Les premiers auteurs qui ont décrit la constitution, on fait prévaloir une approche descriptive de ces textes et considère que la constitution

et approches de solution. Ces questionnaire trouverons leur résolutions a la suite de l’expose. I- LA DEFOTESTATION 1- DEFINITION DU THEME La déforestation est le phénomène de régression des surfaces couvertes de forêt. Elle résulte des actions de déboisement puis de défrichement, liées à l'extension des terres agricoles, à l'exploitation des ressources minières du sous-sol, à l'urbanisation, voire à l'exploitation excessive ou anarchique de certaines essences forestières

est hors du temps. Pour preuve, ce roman a pour toile de fond la télé-réalité, alors que le sujet n’intéresse plus personne – ou plutôt qu’il s’est banalisé, terriblement banalisé – une fois l’hystérie «loftienne» de l’an 2000 passée, et tout son corrélat d’essais alarmistes, d’articles intello-psycho-démagogiques, d’ouvrages catastrophistes et de témoignages vulgaires (une manne pour l’édition et la presse françaises). Au moins, on ne pourra pas reprocher à la Belge de surfer sur les sujets «tendance»