La Crise De 1929 Remet Elle En Cause Le Capitalisme Libéral

travaillent au sein d'un même paradigme et cherchent à résoudre des énigmes partielles et spécialisées. A certains moment il existe des périodes courtes (20-30 ans qui sont des périodes de révolution scientifique) à cause d'anomalies que le paradigme n'explique pas. Le paradigme est alors remis en cause, une révolution scientifique se met en œuvre et on voit l’apparition d'un nouveau paradigme. Si l'économie suit la même logique de développement que la science physique alors on peut lui attribuer les notions

10 B- Les spécificités de la production publique marchande 10 Chapitre 2 : Les fondements de la macroéconomie 12 Section 1 : L'émergence de l'approche macroéconomique 12 I- Les mercantilistes 12 II- Les économies du circuit 13 A- Du plaidoyer libéral de Boisguilbert... 13 B- ...au tableau économique des physiocrates 14 III- L'approche macroéconomique de Karl Marx 15 A- L’État substitut du marché défaillant 15 B- Aliénation marchande et exploitation capitaliste 15 Section 2 : La spécificité

Révolution industrielle, à travers les auteurs fondateurs de l’analyse économique moderne : Adam SMITH, David RICARDO et MALTHUS en particulier. La naissance de l’école néo-classique et les courants socialistes sont également étudiés avant d’aborder la crise de 1929 et l’analyse keynésienne. Les grands courants de l’analyse macroéconomique de la fin du 20ème siècle sont enfin brièvement présentés conjointement au cadrage sommaire de l’évolution économique des grandes puissances et celle de la mondialisation

» 2. Les socialismes « utopiques » : des reconstructions sociétales 17 Marx et le socialisme « scientifique » 1. La « microéconomie » de Marx : aliénation marchande et exploitation capitaliste 2. La « macroéconomie » de Marx : l’analyse de la crise comme expression des contradictions de l’économie capitaliste IV 63 63 64 67 67 68 Table des matières 18 La diffusion du marxisme : les épigones 1. Les « orthodoxes » 2. Les révisionnistes et la réapparition d’un socialisme réformiste

socialismes « utopiques » : des reconstructions sociétales 63 63 64 17 Marx et le socialisme « scientifique » 1. La « microéconomie » de Marx : aliénation marchande et exploitation capitaliste 2. La « macroéconomie » de Marx : l’analyse de la crise comme expression des contradictions de l’économie capitaliste IV 67 67 68 Table des matières 18 La diffusion du marxisme : les épigones 1. Les « orthodoxes » 2. Les révisionnistes et la réapparition d’un socialisme réformiste 71 71

chaque fois, on passe à un nouveau mode de production car il y a révolution entre les classes. Selon Marx, le marché mondial représente l’aboutissement du capitalisme. C'est-à-dire que dans chaque mode de production on a des stades différents et dans le dernier stade (capitalisme), c’est la création du dernier marché mondial. Comment le capitalisme abouti à la création de ce marché mondial ? * Le colonialisme : parce-que dans le choc des deux modes de production il va y avoir un mode de production

suffisamment d'épargne (d'argent investit) pour s'entretenir sans travailler. Le terme de capitalisme va se répandre à partir du XIXe siècle. C'est une économie basée sur l'individu, la propriété privée. et l'échange. C'est également une économie basée sur l'entreprise. Il y a concurrence entre les acteurs, dont la finalité est de faire du profit. Les marxistes apportent en plus à cette définition, que le capitalisme est un système d'organisation économique et sociale de production dans lequel les instruments

du travail 70 2) Les causes du chômage 72 3) La politique de lutte contre le chômage 74 IV - LA CROISSANCE (TD3) 76 A) LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE 76 1) Les mécanismes de la croissance 76 2) Croissance et crise : les cycles économiques 77 3) La crise économique dans les pays industrialisés 79 B) La croissance endogène en vogue 81 1) L’analyse de Solow 81 2) Le progrès technique, un facteur tombé du ciel 82 3) Paul Romer, ou la théorie de la croissance endogène

précieux. Même si certains marxistes se rangent dans cette catégorie, par exemple des économistes de l’ancienne URSS, le terme matérialiste n’est pas réduit en erreur : de très nombreux libéraux sont métallistes, depuis Ricardo jusqu’à Jacques Rueff en passant par Wilfredo Pareto, mais tous les libéraux ne sont pas métallistes (Milton Friedman). Aux substantialistes s’opposent les nominalistes pour qui la monnaie est un signe dont la valeur ne repose que sur

l'intérieur la structure économique, en détruisant continuellement ses éléments vieillis et en créant continuellement des éléments neufs. Ce processus de destruction créatrice constitue la donnée fondamentale du capitalisme : c'est en elle que consiste, en dernière analyse, le capitalisme et toute entreprise capitaliste doit, bon gré mal gré, s'y adapter. » La croissance « sur le fil du rasoir » : Harrod et Domar Après la seconde guerre mondiale, les économistes Harrod et Domar, influencés par Keynes