La Culture Républicaine 1870 A 1914

L’école républicaine a été (et reste) un outil d’émancipation et de promotion sociale (« méritocratie » républicaine).   2) Le modèle républicain.  Définition : « selon ses partisans, la république correspond à l’organisation démocratique idéale de la nation, sur la base des grands principes de la Révolution française (droits de l’Homme, souveraineté du peuple, citoyenneté, égalité des chances dans la société, solidarité) et de valeurs de laïcité et de fraternité ». 3) Les vecteurs des idées républicaines

AVANT 1914 : UN REGIME POLITIQUE, UN EMPIRE H3-3 METROPOLE ET COLONIES (1870-1914) Introduction : Avec la mise en place du régime républicain sous la Troisième République s’installe une culture républicaine basée sur la devise Liberté, Egalité, Fraternité et sur le culte voué à la Révolution Française et à ses principes égalitaires. Dans les écoles, l’instituteur, après avoir expliqué la morale républicaine et l’importance de l’égalité, met en avant la politique coloniale qui s’accélère à la fin

instrument d'unification de la nation (cf. Braudel, L'identité de la France).  · Une transition démographique précoce - A la fin du XIXe siècle le spectre de la dépopulation hante les esprits (cf. Zola, Fécondité). La population française n'augmente plus guère : 36 M. en 1846 ; 39,6 M. en 1911 (dans le même temps l'Allemagne passe à 66 M.) Entre 1890 et 1914 il y a plusieurs années où les décès sont plus nombreux que les naissances. - Explications ? Pour les contemporains, les Français veulent

progressivement dans le pays. Entre 1870 et 1914, les républicains réalisent un projet dont les racines remontent à la Révolution française. Celui‑ci s’appuie sur les libertés, la démocratie parlementaire, l’égalité ou encore la laïcité. Sa mise en œuvre s’effectue toutefois sans plan préétabli, au fil des événements politiques. En outre, de nombreuses contestations existent, que ce soit dans le domaine politique, social ou religieux. Si elles font tanguer l’édifice républicain, celui‑ci tient pourtant bon

La société Française à la Belle Époque La prospérité de la Belle Époque devrait profiter aux plus grand nombre mais la société Française reste rurale donc une société qui majoritairement ne profite pas de la prospérité ce qui nous amène à nous poser la question du profil de cette société française à la Belle Époque et de son unité. Mais une partie est urbaine et vit l'industrialisation. Quelle unité la société française peut elle trouver alors que cette société rurale ne profite pas de la

Histoire : Théme 1. La France en république. (1880-1945) I. moments et actes fondateurs. Cf. schéma des républiques. Bilan du Schéma : * Avant 1870 on a une alternance du système autoritaire (voir absolu) et libéraux (voir démocratiques) * De la II e à la V e république : une seule parenthèse de régime non démocratique. Celui de Vichy. Introduction : La France avait connu 2 républiques qui s’étaient éffondrées devant des régimes autoritaires : 1er puis le second empire.

Tableau de la France à la belle époque Introduction Cette période est comprise entre 1900 et 1914. C’est une période faste, de prospérité économique, résultat des avancées de la 2nde révolution industrielle. Au niveau politique, c’est la 3ème République. Les français adoptent le consensus républicain, le régime est stable avec une unité nationale. L’appellation Belle époque est un terme nostalgique, les gens se souviennent du temps d’avant la guerre. Il y a toutefois des problèmes, comme un

ses adversaires, des épreuves et des crises, elle met en place une véritable culture politique républicaine. Ainsi sont posés des principes fondamentaux et durables (la démocratie, les libertés, la laïcité et les droits sociaux) qui entraînent l’adhésion de la Nation française. I. La France devient républicaine 1. La mise en place de la République (1870-1880) - En 1870, à l’occasion de la défaite de Napoléon III face à la Prusse, la République est proclamée pour la troisième fois en France .

Le patriotisme et le nationalisme en France 1870-1914   Intro : L'écrivain Romain Gary, né en 1914, disait ceci : « Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres. » C'est ainsi qu'ont pu être comparés, distingués, opposés le patriotisme et le nationalisme : le premier serait la lumière et le second l'obscurité. Si l'on se positionne encore vers la moitié du XXe siècle par rapport au patriotisme et au nationalisme, cela vient de ce que ces deux concepts ont été

Le parti radical de 1870 à 1940 La première partie du XIXe siècle a été marqué par l'émergence de groupements révolutionnaires. Ces groupements avaient des visées diverses: anarchisme, socialisme etc. Ces mouvements possédaient une audience limitée, mais n'en n'étaient pas moins actifs. Parmi eux des noms célèbres se dégagent tel que Proudhon ou encore Blanqui. Par ailleurs ces mouvements se sont tous plus ou moins inspirés par la Révolution française qui fait tout à la fois office d'idéal