La Dernière Femme sur Terre

par les hommes pour les hommes, chants de violence et d’amour -> Montre comment les hommes sont et doivent être.I – La Genèse A) La CréationCommence dans le noir, il y a un préambule avant 6 jours de création. Avant, la Terre était déserte, vide et occupée par les ténèbres mais le souffle de Dieu était au-dessus de tout. Pendant 6 jours la parole de Dieu est performative puisque quand il dit qqch cela se produit : Dieu démurge -> fiat lux :

maison fêter Noël. C’est avec l’aide de Dieu et de ses belles paroles qu’elle réussit à toucher l’âme de son frère. Cela fait donc référence à l’important pouvoir que l’église a sur les paysans au Québec. La situation suivant représente bien cette dernière explication : « Mais ces pleurs réconfortaient, et d’avoir songé à l’amour de Jésus, des effluves de joie vinrent à la fin bercer son cœur […] son âme était gagnée (l .116 à 120). Dans le deuxième texte, la religion est présente mais sur tout un

d’ailleurs dédié un essai nommé très originalement André Breton. Gracq semble soutenir grandement la rôle fondamental que joue la femme dans le surréalisme et en particulier chez Breton. Chez son idole, la femme serait une sorte de magicienne-sorcière intermédiaire entre l’homme et les choses qu’elle rapproche de lui. Vanessa, dans le Rivages des Syrtes occuperait donc ce rôle de femme médiatrice qui serait capable de réveiller un monde qui dort. De plus, le surréalisme serait le lieu où le contraire n’existe

dans la ville de Babylone à 50 km au sud de Bagdad. Ils auraient été construits en 600 av. J-C, cependant aucun historien grec n'en a trouvé des traces. Selon la tradition, le roi Nabuchodonosor II (604-562 avant J-C) aurait fait construire pour sa femme Sémiramis, les célèbres jardins suspendus de Babylone en souvenir de la végétation des montagnes de son pays, la Médie (Iran actuel). Ces jardins étaient composés de plusieurs étages en terrasses, de cent vingt mètres carré, soutenus par des voûtes

représente une femme debout, elle est vêtue d’un camaïeu de couleurs froides, vert et bleu, qui répondent aux couleurs de la nappe, de l’aiguière et du torchon. Le bas de sa jupe est d’un brun chaud qu’on retrouve sur le sol et sur les pots de terre. Le jaune ocré de son caraco renvoie à celui du pain et de l’osier, et le blanc de sa coiffe se détache avec légèreté du mur blanc. Cette dernière est recouverte d’un tablier bleu. La jeune femme aux allures de servante verse du lait dans un bol en terre cuite

et en harmonie avec la nature. Les jeux et les fêtes y tenaient une grande place et tous y participaient avec beaucoup d’entrain et de bonne humeur. Un jour, le roi de Vitaland annonça à son fils aîné qu’il était temps pour lui de se trouver une femme afin qu’elle devienne reine et donne au Royaume un héritier. En effet, le roi commençait à se faire du souci car il se faisait vieux et se sentait faiblir. Or, son fils aîné, qu’il avait choisi pour lui succéder car il était son favori, n’était toujours

personnage et futur narrateur. De fait, Dumas lie son écrit autobiographique, Impression de voyage en Suisse, avec cette fiction, ce roman. Ceux qui ont lu mon Voyage en Suisse se rappelleront peut-être ce jeune homme qui servait de cavalier à une femme mystérieuse et voilée qui m’était apparue pour la première fois à Fluelen, lorsque je courais avec Fransesco pour rejoindre la barque qui devait nous conduire à la pierre de Guillaume Tell. Cette phrase extraite de Pauline fait référence au récit de

vanité violente( s'agit de rappeler à l’homme le caractère inéluctable de la mort, et « l'inutilité des plaisirs du monde face à la mort qui guette » (= illusions) ) La charogne est décrite jusqu'au 3 dernières SS ; rupture illustrée par le tiret et le « pourtant » Les 3 dernières SS → femme est comparée à la charogne Future--> obligatoire/ pas une hypothèse → Idéalisation volontairement superficielle qui va encore plus contraster avec la charogne Ce contraste est présent dès le premier

manque d’inspiration qui va s’assimiler selon lui à sa mort, il va ainsi par la suite tomber dans l’oubli. Deuxième question : Dans votre dossier, vous citez et recopiez 3 poèmes évoquant chacun une femme différente, vous expliquez pour chaque poème comment vous savez qu’il s’agit d’une femme particulière. Le serpent qui danse : Que j’aime voir, chère indolente, de ton corps si beau, Comme étoffe vacillante, Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde Aux acres parfums, Mer odorante

-Dans Voyage à Cythères, on retrouve de nombreuses fois le champ lexical de la mer : “cordages” v.2,”navire” v.3, “mers” v.11, “brises passagères” v.24, “la côte” v.25. Le champ lexical de la nature est aussi présent,de façon explicite comme avec ; “terre” v.8 , "arôme" v.11 , “îles aux myrtes vertes” v.13 , “fleurs écloses” v.13 ,, "jardins de roses” v.16 , “désert rocailleux” v.19, “fleur” v.22, “la côte” v.25, “trois branches” v.27, “cyprès” v.28 et enfin "pâture" v.29. Mais le champ lexical est