Idéal 1 :Idéal 1 :
a) -Dans Voyage à Cythères, on retrouve de nombreuses fois le champ lexical de la mer : “cordages” v.2,”navire” v.3, “mers” v.11,
“brises passagères” v.24, “la côte” v.25. Le champ lexical de la nature est aussi présent,de façon explicite comme avec ; “terre”
v.8 , "arôme" v.11 , “îles aux myrtes vertes” v.13 , “fleurs écloses”
v.13 ,, "jardins de roses” v.16 , “désert rocailleux” v.19, “fleur” v.22,
“la côte” v.25, “trois branches” v.27, “cyprès” v.28 et enfin "pâture"
v.29. …afficher plus de contenu…

C) On retrouve plusieurs notions religieuses et mystiques, la première est lorsque est mentionnée au v.10 Vénus, déesse dans la mythologie
Romaine, la deuxième est “éternel” v.17,également “temple” et finalement au vers suivant “prêtresse”. L’aspect onirique du texte va être appuyé par l’allitération en “l” dans la première strophe, cette allitération renforce le côté onirique car la lettre “l” donne un son fluide, léger, donc peut-être la légèreté du poète lorsqu’il est dans son Idéal.
Son idéal qui est, rappelons-le, de quitter le sol ou il est si maladroit afin de s’envoler telle l’Albatros et donc ne plus être dans cette situation de mal-être au sol pour enfin être dans son domaine de définition, les airs.
Transition : Malgré ce confort dans l’Idéal, nous allons voir que la …afficher plus de contenu…

C) Le dernier quatrain est bien différent du premier, en effet ils sont les exact opposé, et ce pour plusieurs raisons, ce que nous allons tenter d’expliquer à présent. Tout d’abord, dans le premier quatrain, on remarque une allitération en “l” qui comme nous avons dit précédemment était un son fluide et léger,donc incarnant l'Idéal de
Baudelaire puisque ce dernier est en constante quête de légèreté afin de pouvoir s’envoler dans les airs tel l’Albatros. Tandis que dans le dernier quatrain, nous avons également une allitération, mais d’un son sec et plus agressif que doux ; le “p”. Mais on remarque que ces deux