La Dernière Femme sur Terre

" Autour du mouchoir, de la pipe, de la bague à tabac, laquelle renferme aussi le cahier de feuilles, du couteau, du porte-monnaie et du briquet (le fond nécessaire et indispensable), voici deux bouts de lacets de cuir emmêlés comme des vers de terre autour d'une montre incluse dans une boîte en celluloïd transparent qui se ternit et blanchit singulièrement en vieillissant. Puis une petite glace ronde et une autre carrée ; celle-ci est cassée, mais de plus belle qualité, taillée en biseau. Un flacon

fils de la patrie. Remplacez sur le champ de travail ceux qui sont sur le champ de bataille. Préparez-vous à leur montrer, demain, la terre cultivée, les récoltes rentrées les champs ensemencés ! » Rôles des femmes pendant la Guerre [pic] Analyse : J’ai tenue à évoquer ce passage de l’histoire, car c’est un tournant décisif pour l’indépendance de la femme, en effet lorsque la guerre éclate, elles se voient forcées d’accomplir les obligations qui autrefois n’étaient réservées qu’aux hommes

Eugène l’a accompagné dans ses derniers instants. Il en est de même pour la cérémonie qui a été vite expédiée par le clergé. Problématique : En quoi ce dénouement est-il une ouverture ou un commencement ? Analyse littéraire : I) La mise en terre du père Goriot (1er paragraphe) -le registre réaliste apparait dans la précision du vocabulaire : « corps, corbillard, fossé, bière, tombe » et dans la mention de lieu réel comme le cimetière du Père Lachaise. -« deux voitures armoriées mais vides »

en utilisant le registre pathétique. Vous écrirez sa tirade, en prose. Vous pourrez à certains moments insérer des didascalies. Après cette défaite, les Maures sont de nouveau au pays. Djamel, un de ces soldats, retrouve sa femme et ses amis. Il se rend à la taverne la plus proche et compte à ses camarades l’affront qu’ils viennent de vivre au-delà des mers. DJAMEL On rit, on joue, on pleure, on boit au quotidien mais je vous le dis mes amis, la guerre aussi est quotidienne

millénaire.  Le  lendemain,  ils   célèbreraient  tous  le  dix­huitième  anniversaire de leur princesse adorée.    Elle  trempa  une  dernière  fois  la  longue  plume  dans  l’encre  et  signa  de  sa  plus  belle  calligraphie sa  lettre.  Elle glissa la  missive  dans une petite enveloppe  blanche qu’elle confia à   Pandrea,   sa  plus  dévouée  servante.  Cette  dernière  plaça  le  message  dans  la  poche  de  son  tablier.  Sa  maîtresse  lui  demanda  d’aller   accomplir   la  fin  de  sa  mission

représente une scène de la vie quotidienne, intimiste et sereine comme aime à le travailler Vermeer. Description ; L’œuvre représente une femme debout, la tête couverte d’une coiffe blanche, habillée d’un corset jaune ainsi que d’une jupe rouge. Cette dernière est recouverte d’un tablier bleu. La jeune femme aux allures de servante verse du lait dans un bol en terre cuite, à l’aide d’une jatte elle-même faite de cette même matière, d’où le nom du tableau. Devant le personnage se trouve une table recouverte

métaphore Comparé : Le travail des mineurs sous la terre. => Naissance d’une nouvelle classe ouvrière. Comparant : Double : 1/ Le développement du germe dans la terre => fécondation => poussée des plantes. 2/ Femme : la fécondation, grossesse. => La naissance d’un enfant. On observe le passage constant d’un comparant à l’autre, de l’homme à la nature et réciproquement. Les deux champs lexicaux sont intriqués, en particulier dans les dernières lignes. 2- La germination et l’enfantement La

chacun son lot... • A chaque étape de la vie • A chaque Valentin sa Valentine • A consommer avant 21h30 • A contre courant • A contre pied (A) • A corps et à cris • A deux doigts • A deux minutes près • A femme avare, galant escroc • A fleur de peau • A fleur de peau • A fleurets mouchetés • A fond les ballons • A force d'y croire* • A hue et à dia • A l'attaque • A l'aube du grand chambardement • A l'aveuglette

trop tard. Le dragon avait bloqué la porte, et on était coincés. Il cracha des flammes vers nous, et la chaleur nous étouffa. J’eus une idée : j’ai pris mon arc et, avec précision, je tirai une flèche dans son œil. Il cria de douleur et il tomba par terre. Je l’achevai avec mon épée. Nous fûmes en fin libérés. Je suivis les hommes jusqu’à leur village. Ce fut un moment de grande émotion car la famille crut qu’ils étaient morts, et ils me remercièrent en m’offrant un banquet. En effet, il fut délicieux

AUX CHAMPS Guy de Maupassant Les deux chaumières étaient côte à côte, au pied d’une colline, proches d’une petite ville de bains. Les deux paysans besognaient dur sur la terre inféconde pour élever tous leurs petits. Chaque ménage en avait quatre. Devant les deux portes voisines, toute la marmaille grouillait du matin au soir. Les deux aînés avaient six ans et les deux cadets quinze mois environ ; les mariages et, ensuite les naissances, s’étaient produites à peu près simultanément dans l’une et