La Description Dans Le Mendiant

d’Histoire Courant artistique : DADA et expressionisme Catégorie : Art du visuel 2) Contexte historique : En 1920, juste après la guerre mondiale de 1914-1918 et après la signature du traité de Versailles. 3) Description et analyse de l’œuvre : a) Description : Ce tableau nous présente la rue de Prague à Dresde. On y voit des hommes diminués, porteurs de prothèses mécaniques, des cicatrices hideuses, des greffes, un monde grotesque d'anciens combattants pour les uns réduits à

(cequejesais) Il s’agit d’un tableau de 101 cm sur 81 cm Titre : Prager strasse (la rue de Prague) Date : 1920 Auteur : Otto Dix Matière et support : huile sur toile et collage Lieu de conservation : Stuttgart, Galerie der Stadt Description : (cequejevois) Ce tableau représente une rue de Prague. On peut voir des hommes mutilé, ayant de prothèses en bois, des blessures, un monde d'ancien combattants, certains, obliger de mendier et vivant dans la misère, d'autres exhibant leurs

pièce (1937) : Agathe, le président Théocathoclès (« gloire des Dieux d’en bas »), le jardinier. En fait, le jardiner existe déjà dans la pièce d’Euripide. Il est un laboureur auquel on a marié Électre. o Trois personnages à part : les Euménides, le mendiant, la femme Narsès qui ne jouent aucun rôle dans le déroulement de l’histoire. Leur présence apparaît plutôt symbolique. • Quelle pourrait être la fonction de ces personnages ? o Euménides => leur croissance suggère qqch de monstrueux. Semblent n’avoir

établi que ce jour-là appartenait exclusivement à ma mère. »( page 14) S’ensuit une dispute verbale des plus violentes où chaque femme donne libre cours à son registre, mais en cela Lalla Zoubida est une championne « Je sais qui tu es, une mendiante d’entre les mendiantes, une domestique d’entre les domestiques, une va-nu- pieds, crottée et pouilleuse, une lécheuse de plats qui ne mange jamais à sa faim … » (page16). Le lecteur ne peut pas remarquer le code de l’utilisation par les hommes de la porte

la déesse, devient une véritable chasse : la performance est en branle et l'action continue, le Sujet étant encore manipulé par le Destinateur et donc par l'Objet de valeur, qui a été désigné et assigné mais qui n'est pas encore destiné. Le rêveur-mendiant est le prédateur (le regardant symbolique) de la déesse, mais il est la proie (le regardé imaginaire) de son rêve... Dans la troisième séquence, nous sommes d'abord témoins de l'épreuve décisive : il y a confrontation puis conjonction entre le

regard éloigné : évocation faite par un regard qui est le support de la description : regard faussement naïf de celui qui découvre (Candide en Eldorado), la perspective de "l'étranger" : Rica et Usbek dans les Lettres persanes. Le personnage qui découvre donne à son voyage un caractère initiatique - la séduction des univers lointains, de l'ailleurs, d'un "any where out of the world" : dimension poétique et esthétique des descriptions en faisant VOIR des mondes d'une beauté incomparable : il s'git de

la fille du roi de Colchide, lui-même fils d'Hélios, le dieu du soleil, d'où d'ailleurs la répétition de « je brillais » pour qualifier sa lignée royale mais également divine. L'opposition de son âge d'or et de sa ruine est notable aussi dans la description du pays de son père, qu'elle évoque non sans une certaine nostalgie, en mentionnant ses frontières géographiques : « tout le pays au-delà de la mer Noire, les marais saumâtres de Chersonnèse, les rivages de Cappadoce ». Enfin, Médée insiste sur

diable | | | | Le prêtre séculier | | | | Le moine | | | | Le chevalier et sa dame | | Dame : attrait des bijoux | | La moniale | | | | Le moine mendiant | | | | La charité | | | | l'ermite | | | | Les anges protecteurs | | | | Les démons tentateurs | | | Sur la miniature, fais des cercles regroupant

de solemnidad mais l'attribut obligé de ce mendiant muet)     Ce tableau reflète ainsi, par delà le mélange des genres peu habituel, le problème social de la pauvreté dans une Espagne où, à partir de la fin du XVIe siècle et tout particulièrement au XVIIe siècle, une part croissante de la population vivait dans la misère et dépendait de la bienfaisance publique. Cette réalité sociale trouva également dans la littérature picaresque son expression la plus achevée, à travers la description des bas-fonds de la société

Euménides : Vera Phares, Nicole Munie, Clairette Fournier. Le mendiant : Louis Jouvet. Égisthe : Pierre Renoir. Le président : Romain Bouquet. 5 Oreste : Paul Cambo. Le jardinier : Alfred Adam. Le jeune homme : Jean Deninx. Le capitaine : Robert Bogar. Le garçon d’honneur : Maurice Castel. Les majordomes : Julien Barrot, René Belloc. Un mendiant : André Moreau. Invités villageois, soldats, serviteurs, écuyers et suivantes, mendiantes et mendiants : Pamela Stirling, Émile Villard, Paul Ménager, Robert