La Description Dans Le Mendiant

Fiche de lecture le Banquet de platonLe contexte :Glaucon a entendu parler d’un banquet et va demander des informations à Appolodore qui est au courant. Appolodore raconte alors que le banquet date de plusieurs années et qu’il n’y a pas assisté : c’est Aristodeme, un disciple de Socrate, qui le lui a raconté. Voici l’histoire : Socrate et Aristodeme devait partir manger chez Agathon. Lors du repas il y a : Socrate, Agathon, Aristodeme, Pausanias, Aristophane, Eryximaque, phèdre. À la fin du repas

ménages et jouissait d’un certain confort que les autres jalousaient.. Chapitre III Le repas des mendiants aveugles Zineb, la fille de Rahma est perdue. Une occasion pour lalla Zoubida de se réconcilier avec sa voisine. Tout le voisinage partage le chagrin de Rahma. On finit par retrouver la fillette et c’est une occasion à fêter. On organise un grand repas auquel on convie une confrérie de mendiants aveugles. Toutes les voisines participent à la tâche. Dar Chouafa ne retrouve sa quiétude et son

fait sous le signe de la conquête d'une liberté nouvelle. Il est également présenté comme un exploit accomplit par Rousseau, qui se compare à Annibal; c'est une sorte de point de départ du renouveau de son histoire préfiguré avec optimisme par la description du paysage: p87 « Tous les objets que je voyais me semblaient les garants de ma prochaine félicité. Dans les maisons j'imaginais des festins rustiques; dans les prés, de folâtres jeux; le long des eaux, les bains, des promenades, la pêche; sur les

jeu de cartes allemand. Les trois hommes ont fait la guerre, et en gardent de nombreuses séquelles, telles que des membres en moins remplacés par des prothèses en bois. Ces visages portant de lourdes séquelles ont un nom: "Les gueules cassées" Description de l'oeuvre Deux d’entre eux ont de fausses machoires en métal (dont l'une porte l'inscription "Prothese Marke: Dix, ce qui peut signifier qu'Otto Dix s'identifie au personnage), l’un n’a plus d’oeil et son visage est déformé du fait qu’il lui

comme Cocteau, s'inspire des grands mythes de l'antiquité et poursuivent ainsi la tradition; mais Giraudoux fait une oeuvre originale en transformant le désir de vengeance en quête de la vérité. Le premier acte s’achève sur un long monologue du mendiant tandis qu’Oreste et Electre sont endormis. Le jardinier profite de l’entracte pour venir s’adresser directement aux spectateurs. Sa tirade présente l’originalité de se situer hors de la tragédie. Par la voix du jardinier, Giraudoux propose ses réflexions

plus basses ». B/ La mère, avec laquelle le lien est bien réel : - La première information que nous avons sur la mère de Sartre est son portrait physique : c'est une « grande et belle femme » => l'admiration pour la mère apparaît ici et sa description est en opposition avec le « gringalet » qu'est l'enfant. - Elle est pleine d'illusions, ses idées sont préconçues : si l'enfant est de « courte taille », c'est uniquement parce que « les Sartre sont petits » => elle se voile la vérité et prends

même si la mort pourrait être une libération. Nous allons ensuite continuer cette anthologie par le côté froid et cruel qu'amène la mort, avec le poème Nos morts de Victor Hugo tiré de L'année terrible publié en 1872, dans lequel on peut voir une description de la mort, plutôt repoussante, avec un côté patriotique. Nous étudierons également Les corbeaux d’Arthur Rimbaud qui rend hommage aux morts des guerres passées sur le sol français Aussi Mort de Quatre Vingt Douze d’Arthur Rimbaud exprime la

de persuasion dans L'Intersigne. D'autre part, cette notion religieuse reflète les idées de Villiers. En nous montrant l'existence de l'au-delà où Dieu domine, Villiers dénonce le rationalisme et le matérialisme. Troisièmement grâce à la description précise des personnages et du décor, ce conte nous donne une forte impression de réalité et de vérité. «le baron Xavier de la V*** (un pâle jeune homme que d'assez longues fatigues militaires, subies, très jeune encore, en Afrique, avaient

guerre mondiale. On retrouve cet univers d’avant-guerre grâce à la description agressive faite de la ville qui se rapporte notamment au champ-lexical de l’étouffement et du feu: «  les opulentes vestes brodées se balançant sur le seuil des boutiques allumaient l’œil (…) Il faisait chaud comme il ne fait chaud qu’en enfer (…) sous des feux de miroirs ardent (…) une demi-obscurité étouffante (…) parasol couleur feu ». Cette description nous fait ressentir un sentiment de claustrophobie, s’accordant parfaitement

des conditions de vie très difficiles, et sont confrontés à l'indifférence de la population qui souhaite oublier la guerre. C’est ce climat social qui inspire Otto Dix pour réaliser son tableau. Etape 2 : analyse détaillée de l’œuvre Faire une description technique Ce tableau mesure 81 cm de largeur et 101 cm de hauteur. Otto Dix a mélangé deux techniques: la peinture à l'huile et le collage de timbre, journaux brochures et photos. Ces collages sont souvent appelés collages DADA, en référence au