La Deuxième Méditation De Descartes

entretenir de relation personnelle avec tous. C’est pourquoi parmi eux nous aimerons ceux vers lesquels nous pousse quelque secrète motivation, d’autant plus justement qu’elle est fondée sur les qualités de l’esprit et, par suite, réciproque. Descartes part d’un exemple personnel, ou censé tel. Il rapporte comment il s’est débarrassé d’une inclination, qui était si mal fondée qu’elle le portait irrésistiblement vers un défaut. Le ressort en était une association d’idées et il lui a suffi de la

conscience de soi est propre à l’homme et assure sa supériorité sur les choses et les autres êtres vivants parce qu’il lui donne de la dignité . Cette dignité lui confère une responsabilité car il est conscient et responsable de ses actes.Dans la deuxième partie (L 7 à 9 ), il démontre que l’entendement est une faculté innée de l’homme et que ce qui importe c' est que le « Je » soit pensé, et non la façon dont il est exprimé.Enfin, dans la dernière partie, il développe l’idée que le fait d’avoir

aboie... Il semblerait étrange et sans intérêt de remettre en question de tels faits. Il y a également ce qui apparaît comme évident au terme d'un raisonnement : tous les hommes sont mortels; Socrate est un homme; donc Socrate est mortel. De même, Descartes, à l'issu d'un raisonnement qui le conduit à une remise en question radicale, découvre qu'il ne peut pas douter de son existence en tant que « chose pensante ». Il semble donc difficile de nier l'évidence et il semble ainsi légitime de refuser d'en

tous les événements de la vie psychique ? La question est donc celle du rapport entre la multiplicité de nos perceptions et de nos idées et, d’autre part, une possible unité, une éventuelle unification sous un moi frappé du sceau de l’identité. Descartes posait une telle identité personnelle avec l’existence assurée du cogito (Cf. le « je pense donc je suis » de la quatrième partie du Discours de la méthode). Hume, au contraire, répond par la négative : le moi n’existe pas. L’homme n’est, en dernière

compose comme un seul tout avec lui » Descartes montre que la conscience et le corps sont liées mais distincte. Donc d’après Descartes la conscience n’est pas seulement logée dans le corps comme un pilote en son navire mais compose un seul tout. Donc nous nous demanderons comment Descartes démontre la relation entre l’âme et le corps tout en les distinguant. Dans un premier temps nous verrons que Descartes montre la relation entre l’âme et le corps puis dans un deuxième temps la relation de l’âme et du

Cours sur la conscience et l’inconscient 1- René Descartes René Descartes (philosophe du XVIIe siècle), dans Méditations métaphysiques, soumet ses connaissances à l’épreuve du doute. Le doute de Descartes est provisoire et méthodique, à l’inverse du doute des sceptique qui est définitif. En outre, Descartes doute dans le but de supprimer ses opinions et forger un véritable savoir, s’appuyant sur des certitudes. Le doute méthodique de Descartes est radical : il remet en question les évidences

l’associer aux deux termes ? Car, en effet, on entend par conscience au moins trois sens. Dans sa première définition, la conscience immédiate accompagne tous nos actes, elle est reliée à nos connaissances, notre intuition, notre réflexivité. Le deuxième concept est la conscience réfléchie qui, quant à elle, est la capacité de retour critique sur nous-mêmes, c’est-à-dire être capable de déterminer les conséquences de nos actes. Enfin, la conscience morale désigne notre capacité mentale à porter des

ceux ou celles d’entre vous qui ne pourraient pas le tirer j’en donnerai des exemplaires photocopiés à la rentrée. Bonne fin de vacances et bonne année à tous, Alain David PS Lisez également le cours sur Descartes (avec le texte correspondant de la première Méditation, dans le manuel, pp. 103- 107) ainsi que le cours sur Kant. La vérité Introduction La scolastique (« philosophie de l’école ») est au Moyen Âge la manière dont les théologies chrétienne, juive, musulmane, utilisent

et connaissance ? I – Sommes-nous capable de connaître la vérité ? a) Peut on échapper à l’erreur et à l’illusion ? Texte 2 – Descartes Les causes de l’erreur sont au nombre de deux. L’erreur est due à l’interférence de ces deux causes. Elles sont l’entendement (puissance de connaître) et la volonté (puissance d’élire, le libre arbitre). Pour Descartes, la volonté est infinie, on ne peut pas se plaindre de ne pas en avoir assez. Toutes nos autres facultés sont bornées. Nous n’avons pas

sujet ou d’une subjectivité. En effet, en même temps que je pense cet avis je peux apercevoir que je suis en train de le penser. Ce qui nous renvoie à l’évidence de l’expérience décrite par Descartes dans la quatrième partie du Discours de la Méthode « cogito, ergo sum ». Selon la définition donnée par Descartes dans Principes de la philosophie, I, § 9 : « Par le mot de penser, j’entends tout ce qui fait se fait en nous de telle sorte que nous l’apercevons immédiatement par nous-mêmes ; c’est pourquoi