La Doctrine Naturaliste

s’intéresse aux éléments de la nature et à leur classification. Pendant des siècles, elle reste relativement stationnaire, depuis le Ve après J-C, c’est l’héritière des théories d’Aristote. Cad que les naturalistes ne se contentent que de commenter et d’illustrer les œuvres d’Aristote. Le travail des naturalistes va être essentiellement un travail de compilation, très peu d’observation des espèces dans leur milieu naturel, très peu d’inventaires systématiques. À partir de la Renaissance, avec les débuts

Cependant, si les enseignants du secondaire accueillent favorablement ces thèses, les instituteurs souffrent de l’ »exagération de l’esprit critique » et adhèrent pour 15000 d’entre eux aux doctrines de l’Ecole émancipée qui achève la famille. Ils ont dans l’ensemble un comportement contradictoire avec la doctrine naturaliste puisque n’élevant qu’un enfant pour25% d’entre eux contre 36% célibataires Les enseignants sont submergés de brochures, exposés et manuels pour maintenir sur eux un contrôle sur l’usage

éléments typiques de la renaissance : L’anthropocentrisme., l’esprit critique, la valeur de l’expérience en opposition à la théorie, la curiosité, l’influence de l’antiquité , et la liberté par rapport aux doctrines. 3) Les aspects de la pensée de Montaigne.  Une pensée humaniste et naturaliste. Ce qu’on retrouve principalement dans les textes 1 et 3 (voir feuille annexe). On y retrouve des éléments du stoïcisme, ce qui l’amène à être stoïque c’est la mort de la boétie. En plus, ces différentes

bonheur est la fin de notre existence. Doctrine qui prône le bonheur # Le capitalisme  profit. Weber écrivain allemand, textes traduit tardivement en français. Marqué par le positivisme avec Durkheim. Il se base sur l’économie et l’histoire. Pour lui la forme pure du capitalisme est celle qu’on trouve en Occident. *« désenchantement du monde » la vie est désenchanter à cause de tous les bouleversements connus au 19ème * pluralisme des valeurs * anti-naturaliste  il ne cherche pas ses exemples

déterminé par avance. Cette école croyait plus en la fatalité qu'en l'égalité (contrairement à Bécaria). À cette époque nait la criminologie, la science du crime, des comportements criminels. Cette époque est aussi marquée par l'éclosion du courant naturaliste (Balzac, Zola, Flaubert et ???). Ces auteurs (dont Lombroso) mettent le doigt sur l'environnement des criminels, ils incluent la part morale dans la criminologie, ainsi, la sanction n'a plus lieu d'être, il faut soigner. On parle plus du droit de

une approche naturaliste des auteurs « jus naturalis ». Ces naturalistes considèrent que la société est une donnée humaine. Alors que dans pensée catholique la pensée est une donnée divine. Là ou tout le monde s’interroge c’est au niveau de la société. Dieu n’est pas à l’origine des sociétés ce sont les Hommes. Un raisonnement nouveau apparait donc à cette époque. Les philosophes du XVIII ont une approche plus pratique de la réflexion politique ils font av tout œuvre de la doctrine ; les penseurs

ans avant qu'il n'en expose la doctrine. Dès 1868, il trace le plan d'ensemble du cycle des Rougon-Macquart et, à partir de 1871, au prix d'un labeur régulier, il va publier à la cadence moyenne d'un roman par an les 20 livres de cette "histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire". C'est à partir du 7ème volume, L'Assommoir (1877), que le succès, dû au scandale, le rend célèbre. Autour de Zola se groupent alors les écrivains de l'école naturaliste (1881). Désormais, chacun de

la biographie consacrée par Ernest Jones, proche contemporain de Freud, qui est devenue une référence bien que critiquée pour ses aspects hagiographiques[3]. Le premier biographe fut cependant Fritz Wittels, qui publie en 1924 Freud. L'homme, la doctrine, l'école. L'écrivain Stefan Zweig a aussi écrit une biographie de son ami Freud[F 1] [4]. Le médecin de Freud, Max Schur, a également narré le rapport de Freud à la mort et à la maladie qui devait l'emporter en 1939[5]. De nombreux contemporains

l'accusateur et le juge sont une seule et même personne. “Tout homme a une conscience et se trouve observé, menacé et surtout tenu en respect (respect lié à la crainte) par un juge intérieur” ( La Métaphysique des mœurs , II Doctrine de la vertu, ch.1) Ce tribunal créé toute une suite de troubles psychiques (regrets, doutes, remords, comme le souffrent les personnages du roman) lorsque l’individu entre en contradiction avec sa conscience. L’homme ne peut pas échapper à ce tribunal

s'interroge depuis longtemps sur l'origine du caractère coercitif de la règle de droit. Qu'est-ce qui justifie le caractère obligatoire de la règle de droit. Dans toutes les réflexions proposées on retrouve 2 familles de doctrines : les naturalistes et les positivistes. Les naturalistes considèrent en effet que le fondement de la règle de droit est le droit naturel. Le droit naturel est l'ensemble des règles idéales de conduite humaine auquel le droit positif (droit applicable aujourd'hui) doit être